Notre sélection, Jan-Werner Müller, Populisme, Démocratie, Peuple, Erdogan, Trump, Hugo Chavez, Marine Le Pen. « La démocratie est toujours chose difficile et nerveusement éprouvante », avertit d’emblée Jan-Werner Müller.
Or, s’il y a quelque chose qui met aujourd’hui nos nerfs à l’épreuve, c’est bien ce phénomène que les médias, les analystes et les politiques eux-mêmes nomment « populisme ». Umberto Eco Makes a List of the 14 Common Features of Fascism Open Culture. Creative Commons image by Rob Bogaerts, via the National Archives in Holland One of the key questions facing both journalists and loyal oppositions these days is how do we stay honest as euphemisms and trivializations take over the discourse?
Can we use words like “fascism,” for example, with fidelity to the meaning of that word in world history? The term, after all, devolved decades after World War II into the trite expression fascist pig, writes Umberto Eco in his 1995 essay "Ur-Fascism," “used by American radicals thirty years later to refer to a cop who did not approve of their smoking habits. " The dangers of crying wolf with ‘post-truth’ – Poynter.
On Thursday night, President-elect Donald Trump tweeted to his 15 million followers that Ford would no longer move a plant from Kentucky to Mexico.
He portrayed it as a breakthrough in which he played a decisive role. États-Unis. L’étonnante carte des deux Amérique de 2016. The New York Times publie deux cartes très parlantes montrant deux “pays” au sein des États-Unis : celui d’Hillary Clinton et celui, beaucoup plus vaste et moins peuplé, de Donald Trump.
Offre spéciale Élections Américaines L’élection de Donald Trump à la tête du pouvoir laisse apparaître deux Amérique distinctes, comme le montrent bien deux cartes publiées par The New York Times. D’un côté, les plus grands centres urbains du pays, tels que New York, Los Angeles ou Boston. Dans ces villes où la population est dense, Hillary Clinton a remporté la majorité des voix lors de l’élection du 8 novembre. Mais, dans l’essentiel du pays, notamment dans l’intérieur et dans la périphérie de beaucoup de métropoles, une majorité d’électeurs ont choisi Trump.
Victoire de Trump. La faute aux médias ? Appâtés par l’argent et l’audience facile, les sites et journaux sont en partie responsables de l’ascension de Trump.
Il faut désormais repenser leur rôle, estime ce professeur américain spécialiste des médias. S’il y a une chose que l’on ne peut nier au sujet de la campagne de 2016, c’est le nombre record de mensonges et de propos trompeurs formulés par Donald Trump. Selon Politifact, plus de 70 % de ses affirmations ont été “plutôt fausses”, “fausses” ou “archifausses”, contre 26 % pour Hillary Clinton.
Contre les idées reçues. Tout au long de la campagne, rappelle le site BIG BROWSER, le milliardaire avait, notamment, été jugé en difficulté dans l’électorat féminin à cause de ses propos et comportements sexistes.
Log In. Journalists didn’t question the polling data when it confirmed their gut feeling that Mr.
Réactions. La victoire de Donald Trump vu par les JT du monde. Maybe the Right-Wing Media Isn’t Crazy, After All. Virtually every day during the past year, I’ve digested a daily dose of Breitbart, the alt-right Web site that many journalists, including myself, have described as “Trump Pravda.”
The Trump Campaign in Pictures. EN IMAGES. Présidentielle américaine : la victoire de Donald Trump vue par les dessinateurs de presse. L'outsider a gagné.
En remportant l'élection présidentielle américaine, dans la nuit du 8 au 9 novembre, Donald Trump a créé la surprise. Après une campagne électorale très violente, marquée par de nombreuses attaques personnelles, le candidat républicain a adopté un ton rassembleur lors de son discours de victoire. Le magnat de l'immobilier a affirmé qu'il "serait le président de tous les Américains". Il a remercié son ex-rivale en déclarant que les Etats-Unis étaient "redevables" envers Hillary Clinton. L’Amérique de Donald Trump : les programmes de France Culture. Avec l’élection de Donald Trump, les Etat-Unis et le monde entier se sont réveillés ce mercredi matin face à une foule de questions : comment expliquer qu’autant d’observateurs, de commentateurs et d’analystes se soient trompés dans leurs pronostics ?
Quel nouveau regard faut-il jeter sur les réalités sociales, économiques, politiques de l’Amérique ? Les formes traditionnelles de la démocratie sont-elles dépassées ? L’élection de Trump et les trois échecs du « big data » électoral. La campagne de Hillary Clinton, supposée être à la pointe des technologies de ciblage électoral, a échoué à la faire élire. Du côté des médias, les modèles prévisionnistes, eux aussi basés sur le « big data », n’ont pas su prédire l’issue du scrutin. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Samuel Laurent Ce devait être le triomphe du « big data », selon l’expression (impropre) consacrée aux méthodes modernes de ciblage des électeurs.
Mais l’élection américaine aura finalement signé sa grande faillite. Les élections américaines 2016 - Google Trends. Après les critiques, l’autocritique. Médias et réseaux sociaux ont-ils réellement fait gagner Trump. Danah boyd (sociologue spécialiste des réseaux sociaux, chercheuse chez Microsoft Research) Dans son billet, la chercheuse produit une critique acerbe de la sphère médiatique, coupable selon elle de faire de la joute électorale un spectacle, au point d’en perdre de vue les conséquences sur les électeurs.
À force, par exemple, d’abuser de sondages de moins en moins fiables, les médias ont poussé au désengagement de nombreux électeurs. Rodney Benson (professeur de sociologie, université de New York) After Trump’s win, news organizations see a bump in subscriptions and donations. As election results came in last Tuesday night, ProPublica started seeing a big increase in donations. In the first days after Donald Trump was elected, ProPublica’s donations were “running at about 10 times the rate that we’re used to,” said president Richard Tofel. Last Thursday, ProPublica sent out a request for donations. Then, on Sunday night, John Oliver directed his viewers to donate to ProPublica and subscribe to The New York Times and The Washington Post.
“The Oliver show took it to yet another level,” Tofel said. (At least two former ProPublica staffers now work for Last Week Tonight.) As a result of Trump’s unexpected election, news organizations have reported subscription growth as readers respond to Trump’s threats against the independent press and First Amendment. Il est grand temps que les médias d’information se sortent les doigts du nez – Medium. Les médias d’information sont de cette colonne traditionnelle qui est censée voir, au nom des citoyens, à ce que les pouvoirs en place soient tenus sur le qui-vive par un journalisme d’enquête percutant et par des questions pertinentes sur leurs actions, leurs agissements, leurs programmes, leur apparente intégrité et leur comportement démocratique.
Ces médias n’hésitent pas à défendre leur droit d’accès aux couloirs de ces pouvoirs, et à l’occasion ils montent fièrement aux barricades pour défendre celui des citoyens de recevoir toute l’information nécessaire pour remplir adéquatement leurs obligations d’électeurs éclairés. Mais il se passe quelque chose d’extraordinaire sur la planète Mars et dans le voisinage de la Terre qui à la fin bouleversera le monde entier, et pourtant ces médias ne se trouvent nulle part. Les médias donnent des leçons mais n'éduquent pas. L’élection de Donald Trump à la Maison-Blanche sera-t-elle l’événement qui conduira tous les médias – traditionnels comme nouveaux – à une remise en question profonde de leurs méthodes ? Affirmer qu’ils sont pleinement responsables ou totalement innocents du résultat de ce scrutin est uniment aberrant. Leur influence, démontrée par des données objectives (cf. infra), pose des questions majeures pour l’avenir de la démocratie à l’ère numérique, sociale et mobile.
La controverse. Facebook a-t-il contribué à l’élection de Donald Trump ? Depuis l’élection surprise du milliardaire républicain, le réseau social est accusé d’avoir influencé le vote en laissant proliférer de fausses informations et en ne diffusant aux internautes que des contenus déjà conformes à leurs opinions. Il a diffusé de fausses infos The Guardian (extraits), Londres Dans les premiers mois de 2014, un étudiant de Harvard appelé Mark Zuckerberg [fondateur et actuel dirigeant de Facebook] était tellement ivre dans sa chambre située au rez-de-chaussée de sa cité U qu’il trébucha sur un rouleau de câbles, passa à travers la fenêtre et se retrouva le nez dans l’herbe mouillée juste au moment où la fille qu’il admirait arrivait bras dessus bras dessous avec deux copines. Bursting the Facebook bubble: we asked voters on the left and right to swap feeds. Donald Trump ? La preuve que Facebook vous enferme dans votre bulle - ZDNet.
Au matin du 9 novembre c'est en consultant mon fil Facebook que j'ai appris l'élection de Donald Trump à la présidence américaine. Comme des millions de personnes. Plus de 51 % des Américains utilisent les réseaux sociaux pour s'informer affirme une étude de Nieman Lab. Pour Trump, les réseaux sociaux ont contribué à sa victoire. Le président élu américain Donald Trump estime que les réseaux sociaux Facebook, Twitter et Instagram l'ont aidé à gagner des Etats où ses adversairs démocrates "dépensaient beaucoup plus d'argent" que lui. Donald Trump, l'autre président des réseaux sociaux.
Désinformation sur Facebook : Obama dénonce un système où « les faits et la vérité n’ont pas d’importance » Le président américain a fait part de ses inquiétudes pour le débat démocratique, face aux articles mensongers diffusés sur les réseaux sociaux. États-Unis. Comment le site extrémiste Breitbart News s’est hissé jusqu’à la Maison-Blanche. Créé en 2007, le site de la droite radicale et xénophobe a favorisé la victoire de Trump. Son patron Stephen K. Polémique. Peut-on comparer l’ascension de Trump à celle de Hitler ? Le succès de Donald Trump aux États-Unis permet de mieux comprendre comment Adolf Hitler est arrivé au pouvoir en Allemagne, selon un journaliste israélien.