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Presse papier vs presse en ligne

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Acteurs traditionnels vs pure players, qui domine l'eCommerce US ? par Michel de Guilhermier - Chronique e-Business. L'arithmétique est impitoyable : la réalité est dure pour les marchands pure players aux Etats-Unis.

Acteurs traditionnels vs pure players, qui domine l'eCommerce US ? par Michel de Guilhermier - Chronique e-Business

Regarder les chiffres permet souvent de donner un éclairage lumineux… Sur les 100 1ers acteurs de l'eCommerce aux US (par le CA généré), qui représentent 77% du total (sur peut-être 500,000 eCommerçants), on ne compte que 17 pure players. Les acteurs traditionnels, retailers et VADistes dominent en fait très largement en nombre, au delà d'une proportion 80/20. Si l’on regarde le CA généré, la vue pourrait paraître différente car la part des pure players dans le Top 100 est de 34%, soit 2 fois plus que les 17% en nombre. On serait tenté de conclure que les pure players de l'eCommerce US représentent un poids significatif de ce canal ? La réalité est donc simple et duale, l’eCommerce US est archi dominé par les acteurs traditionnels et Amazon, point ! Dans le futur, il n'y a pas de raison que ce phénomène de bi-polarisation ne continue pas à s'accentuer.

Information: le web en voie de détrôner la télé. Les plus récentes statistiques compilées par le Centre francophone d'informatisation des organisations (CEFRIO) confirment en effet une nette progression du web dans les habitudes des Québécois.

Information: le web en voie de détrôner la télé

Si la télévision demeure encore la source première d'information, elle perd rapidement du terrain: 14% depuis 2010 contre 22% pour l'ensemble des trois dernières années. Ces nouvelles habitudes sont encore plus marquées chez les jeunes: l'internet est la source d'information principale chez les 18-24 ans, alors que chez les 18-44 ans (ou chez les personnes qui ont des enfants à la maison), l'internet a détrôné la télévision quand vient le temps de s'informer (l'étude ne fait toutefois pas la distinction entre tablettes numériques, téléphones intelligents et ordinateurs comme façon d'accéder au web). «Il s'agit d'une croissance très marquée, note Claire Bourget, directrice de la recherche marketing au CEFRIO et coordonnatrice de l'étude NETendances.

Matignon soutient la presse en ligne. La presse traverse une zone de turbulences sans précédent qui l'oblige à se transformer radicalement.

Matignon soutient la presse en ligne

Le Centre d'analyse stratégique formule cinq recommandations. Le constat est sévère mais réaliste: la presse traverse une zone de turbulences sans précédent qui l'oblige à se transformer radicalement si elle ne veut pas disparaître. Le Centre d'analyse stratégique (CAS), qui dépend de Matignon, a publié hier une note sur le sujet, qu'il juge «préoccupant». L'érosion continue des ventes de journaux -qui est cependant moins violente en France que dans d'autres pays comme le Royaume-Uni- conjuguée à la baisse des recettes publicitaires -notamment générées par les petites annonces, qui ont migré sur Internet- a créé «un effet de ciseaux redoutable», souligne Vincent Chriqui, directeur général du CAS.

En perte de vitesse, avec moins de moyens pour financer sa mutation numérique, le secteur cherche encore son modèle économique. La presse à l'ère numérique : comment ajouter de la valeur à l'information ? Alors que le nombre de Français déclarant lire tous les jours un quotidien payant diminue régulièrement : de 43 % en 1989, à 36 % en 1997, il est passé à 29 % en 2008, le nombre de lecteur en ligne ne cessent lui d’augmenter.

La presse à l'ère numérique : comment ajouter de la valeur à l'information ?

Ainsi, chaque jour, près de 6,6 millions d’internautes se connectent en France pour consulter les informations sur des sites d’actualité. Le formidable essor d’Internet a en effet créé une très grande facilité de diffusion de l’information que les internautes ont pris l’habitude de consommer de façon gratuite. 100.000 abonnés pour « The Economist » en ligne, Actualités. "La presse est morte ! Vive la presse" - Retour sur une mort annoncée. L'arrivée de la presse en ligne, l'entrée dans le marché de l'information des journaux gratuits, le développement des initiatives personnelles de publication, ont été ressentis comme autant d'attaques à la presse écrite traditionnelle.

"La presse est morte ! Vive la presse" - Retour sur une mort annoncée

Mais qu'en est-il vraiment ? Comment et dans quelle mesure l'internet, le gratuit, et l'expression non-professionnelle ont-ils modifié l'environnement informationnel ? Les sites d'information "pure player" s'organisent. Ils viennent de créer le Syndicat de la presse indépendante d'information en ligne (Spiil).

Les sites d'information "pure player" s'organisent

L'objectif est d'accéder au statut d'éditeur sur le Web, avec un numéro de commission paritaire ouvrant droit à divers avantages consentis jusqu'ici uniquement à la presse papier. Les “pure players” ou le pari de la presse en ligne. La presse papier est en crise ?

Les “pure players” ou le pari de la presse en ligne

De plus en plus de médias font le pari d'une présence exclusive sur le Net. Entre quête du clic et précarité financière, ces “pure players” peuvent-ils tirer leur épingle du jeu ? Rue89, Mediapart, Slate, Huffington Post, Owni... depuis 2007, de nouveaux médias en ligne avec des drôles de noms bousculent le paysage traditionnel des Figaro(.fr), Le Monde(.fr), Libé(.fr). Ces sites d'information généraliste nés sur le Web sont des « pure players », indépendants (ou presque) des groupes de presse.

Hérauts du numérique, ils revendiquent un autre ton, une liberté éditoriale, sans toujours en avoir les moyens. De Rue89 au Huffington Post, tous les pure players français passés au crible sur notre infographie. De ta cuisine tu sortiras« Maintenant, on a un téléphone par personne ! Les pure players s'imposent sur le Net français. Considérés comme des médias alternatifs il y a encore un an, ce nouveau modèle de site séduit de plus en plus.

Les pure players s'imposent sur le Net français

Qu’est-ce qu’un pure player? C’est une société dont l’activité fonctionne uniquement sur Internet. Il existe des pure player commerciaux, comme Amazon, ou d’information, comme Mediapart. Ces sites d’informations diffusent leur contenu exclusivement en ligne, sans support imprimé. Presse, une rentrée dans le vif du sujet. Internet & Presse écrite. De la presse écrite à la presse en ligne. Internet et la presse en ligne. Internet et la presse en ligne Internet et ses applications Le Web ou World Wide Web C'est la partie la plus attractive de l'Internet et celle qui l'a rendu populaire.

Internet et la presse en ligne

Le Web est un ensemble d’informations multimédia et hypertexte : - Le multimédia permet de mêler texte, image, sons et même vidéo sur une même page Les documents répartis sur des centaines de serveurs de part le monde sont accessibles à toute personne disposant d’un accès Internet quel que soit le système d’exploitation utilisé. Presse écrite : en 2011, suite de la chronique d’une mort annoncée ? {*style:<b> </b>*} Il est devenu terriblement banal de parler de l’agonie de la presse écrite. Elle serait au bord de l’effondrement, et ce n’est pas ce début d’année 2011, dernière période d’engagement exceptionnel de l’Etat suite aux états généraux de la presse en 2008, qui est fait pour rassurer. Cette année, selon Owni , le secteur devrait de nouveau toucher 464 millions d’euros de la part de l’Etat.

Les lecteurs de presse en ligne attachés au papier. Plus de quatre lecteurs de presse écrite sur dix se sont convertis aux supports numériques, selon une étude de l'institut GfK.

Les lecteurs de presse en ligne attachés au papier

Le numérique rentre dans les mœurs mais le papier reste un pilier pour les lecteurs de presse. Au cours des trois derniers mois, 42% d'entre eux ont téléchargé ou lu de la presse numérique sur des sites Internet, contre 58% qui n'ont pas sauté le pas, selon le troisième baromètre REC réalisé par l'institut GfK en France. Chez les lecteurs numériques, 53% de leur temps est consacré aux supports numériques, contre 47% au papier. «Ces chiffres évoluent lentement, indique Philippe Person, directeur entertainment chez GfK.

Mais tous les lecteurs de presse se convertissent progressivement aux nouveaux supports, bien plus vite que les lecteurs de livres, qui ne sont que 10% à télécharger des e-books.» Le basculement est donc bien réel, mais il est loin d'être total. Les quotidiens favorisés. Davantage de lecteurs pour la presse en ligne que sur papier. Que manque-t-il à la presse en ligne ? Que manque-t-il à la presse en ligne pour la rendre vraiment intéressante (du point de vue du lecteur) ? Pour la presse d’information, la migration numérique est un enjeu vital ; le lectorat « papier » s’érode régulièrement, la concurrence de l’information gratuite (digitale ou non) se fait de plus en plus de pressante et les frontières s’estompent entre médias Papier – Radio et Télévision… Se « digitaliser » est perçu par beaucoup (à tort ?)

Comme un passage obligé, voire comme la seule alternative à la disparition pure et simple à plus ou moins long terme. Pourtant il faut bien avouer que la plupart des versions digitales peinent à convaincre. Souvent par manque d’investissement ou de conviction de la part des rédactions. A défaut de trouver ici une solution structurelle ou un nouveau business model, je vais me contenter de décrire quelques fonctionnalités qui selon moi permettraient de rendre plus utile et plus intéressant un journal digital par rapport à son alter ego papier.

Les soucis des pure players sur internet. (hdzimmermann - Flickr - CC) Rue89, Mediapart, Slate, Huffington Post, Owni... Depuis 2007, de nouveaux médias en ligne avec des drôles de noms bousculent le paysage traditionnel des Figaro(.fr), Le Monde(.fr), Libé(.fr). Ces sites d'information généraliste nés sur le Web sont des « pure players », indépendants (ou presque) des groupes de presse. Hérauts du numérique, ils revendiquent un autre ton, une liberté éditoriale, sans toujours en avoir les moyens. Un parcours du combattant. De ta cuisine tu sortiras Du même auteur « Maintenant, on a un téléphone par personne ! La presse quotidienne nationale veut taxer les acteurs du numérique. Après le cinéma, l'audiovisuel et la musique, c'est au tour de la presse quotidienne de vouloir taxer Internet pour financer son développement.

Le Syndicat de la presse quotidienne nationale (SPQN) va proposer aux candidats à la présidentielle une nouvelle taxe visant à financer la presse en ligne. Selon Les Echos, le président du SPQN, Marc Feuillée, estime en effet que la presse en ligne a contribué au succès du numérique dans l'hexagone sans en tirer suffisamment profit. Ainsi, malgré des audiences effectivement importantes, ces sites n'arrivent pas à trouver de business model (lire le dossier : Quel business model pour la presse en ligne ?

; du 21/12/2011) et se bornent pour la plupart à dupliquer leur modèle papier sur le web. Selon Marc Feuillée, les sites de presse papier devraient bénéficier d'un "mécanisme de redistribution de la valeur générée par le numérique".