background preloader

Processus 5:Analyse et prevision de l'activité

Facebook Twitter

Le coût unitaire moyen pondéré (CUMP) La méthode du coût unitaire moyen pondéré (CUMP) est une technique comptable d’évaluation des stocks de l’entreprise qui permet de calculer le coût unitaire moyen d’un produit à l’occasion de chaque entrée en stock ou en fin de période.

Le coût unitaire moyen pondéré (CUMP)

Ce dossier vous explique en quoi consiste la méthode du coût unitaire moyen pondéré, comment le calculer à chaque nouvelle entrée ou à chaque fin de période, et vous propose deux exemples de calcul. Qu’est-ce que la méthode du coût unitaire moyen pondéré ? La méthode du coût unitaire moyen pondéré (CUMP) consiste à calculer un coût moyen pondéré en divisant le total des coûts d’acquisition par le total des quantités acquises. Il s’agit d’une technique comptable de valorisation des stocks reconnue fiscalement, la seconde étant la méthode PEPS.

Le calcul du coût unitaire moyen pondéré peut être effectué : Le coût unitaire moyen pondéré à chaque entrée en stock. La méthode PEPS pour les stocks. La méthode du premier entré premier sorti, PEPS en abrégé, est une technique comptable d’évaluation des stocks de l’entreprise qui consiste à valoriser les sorties de stock au coût du produit le plus ancien dans les stocks.

La méthode PEPS pour les stocks

Nous vous expliquons en quoi consiste la méthode du PEPS et comment l’appliquer pour évaluer les stocks de l’entreprise. La méthode du premier entré premier sorti (PEPS) La méthode du premier entré premier sorti, ou PEPS, consiste à évaluer les stocks aux derniers coûts d’acquisition ou de production. Il s’agit de l’une des deux techniques de valorisation des stocks reconnues par la législation comptable française, l’autre technique étant celle du coût unitaire moyen pondéré (CUMP). Pour cela, chaque sortie de stock est valorisée au coût du produit le plus ancien en stock. La méthode du PEPS est admise fiscalement uniquement pour les produits en stock qui sont interchangeables. Les couts complets : méthode, calcul. Les couts complets est une méthode de calcul avancée permettant de déterminer le coût de revient d’un produit vendu. Les couts complets correspondent à la somme de tous les coûts liés à la fabrication jusqu'à la vente d’un produit. Une détermination pertinente des couts complets est indispensable afin de fixer un prix de vente, permettant d’une part d’être rentable et d'autre part d'analyser la compétitivité du prix déterminé.

L’analyse des couts complets, c’est déterminer en quelque sorte si le projet est à envisager ou non. Charges directes, charges indirectes : comment les distinguer ? Quelle utilité ? Savoir identifier et différencier une charge directe d’une charge indirecte est important pour une entreprise car cette procédure va permettre d’effectuer des calculs de coûts dans de nombreux domaines de l’entreprise (stocks, immobilisations, etc.). Compta-Facile vous propose sa fiche complète sur les charges directes et les charges indirectes : définition, différence, intérêts et exemples concrets. Besoin d'un expert-comptable ? Obtenez rapidement un devis gratuit et adapté à vos besoins de la part de notre partenaire Amarris Direct 1. Qu’est-ce qu’une charge directe ?

Une charge directe est une charge qu’il est possible d’affecter immédiatement au coûts d’un produit, d’une marchandise ou d’un service, sans n’avoir à effectuer de calculs intermédiaires. 2. Les charges incorporées au calcul des coûts. BIC - Base d'imposition - Erreurs et décisions de gestion - Conséquences fiscales découlant de la distinction entre erreurs et décisions de gestion.

5796-PGPBIC - Base d'imposition - Erreurs et décisions de gestion - Conséquences fiscales découlant de la distinction entre erreurs et décisions de gestion1 BIC - Base d'imposition - Erreurs et décisions de gestion - Conséquences fiscales découlant de la distinction entre erreurs et décisions de gestion Le résultat déclaré par les entreprises peut être rectifié : - d'une part, par l'administration, dans l'exercice de son droit à vérification des déclarations souscrites au titre d'exercices non prescrits (CGI, art. 55 ; cf.

BIC - Base d'imposition - Erreurs et décisions de gestion - Conséquences fiscales découlant de la distinction entre erreurs et décisions de gestion

BOI-CF-IOR-10); - d'autre part, à la demande du contribuable, sous la forme, soit de la souscription d'une réclamation régulière dans le délai légal, soit d'un recours au droit de compensation dans le cas de redressements envisagés par le service. Selon la juridiction administrative, l'administration ne peut remettre en cause les décisions de gestion prises régulièrement par les entreprises.

On examinera successivement : A. B. A. 1. 2. B.