Actus THD & télécoms. Les réseaux sociaux au secours de la santé publique. La propagation d’une maladie infectieuse tient à deux phénomènes : la contagion biologique qui fait passer le virus d’une personne à l’autre et la contagion sociale, c’est-à-dire la façon dont la société réagit à cette menace épidémique.
Cette dernière est beaucoup moins rationnelle et difficilement prévisible, ce qui pose problème aux épidémiologistes pour concevoir des modèles prédictifs. Comment savoir quelle va être la réaction de la population face à telle ou telle nouvelle mesure de précaution ou face à la menace d’une maladie infectieuse ? « Grâce aux réseaux sociaux, plaide le Pr Chris Bauch, chercheur en Mathématiques appliquées à l’Université de Waterloo au Canada et auteur d’un article publié sur ce sujet vendredi dans la revue Science.
Attirer de jeunes recrues Pour le moment, les réseaux sociaux sont plutôt utilisés en épidémiologie pour recruter des volontaires pour participer à des études. Observer l’état de santé des populations en temps réel. Les agriculteurs s’approprient la technologie Big Data. Pour améliorer la productivité de leurs exploitations, les agriculteurs s’orientent vers une agriculture de précision grâce à la collecte de données Big Data.
Alors que le céréalier Monsanto vient d’annoncer le rachat de Climate Corp, compagnie d’analyse de données, pour près d’un milliard de dollars, des startups se multiplient pour favoriser la collusion entre l’internet des objets, la technologie Big Data et l’agriculture. Cette tendance fait écho à une transformation de cette industrie multiséculaire alors qu’un nouveau mode de consommation local émerge dans les pays développés et qu’une nouvelle génération d’agriculteurs intègre davantage d’objets connectés pour améliorer le rendement des exploitations. Les agriculteurs libérés de la contrainte des aléas climatiques La multiplication de capteurs intelligents Le développement du Big Data doit va de paire avec la multiplication d’objets connectés permettant la collecte d’informations plus raffinées.
La démocratie 2.0 exige la présence des collectivités locales sur les médias sociaux. Afin d’enrichir le dialogue citoyen, les collectivités territoriales ont entamé leur mutation numérique.
Investir Facebook et Twitter semble être la priorité. Suite à un colloque du Sénat en mars 2012 intitulé « Le numérique moteur du changement », l’Institut Edgar Quinet a créé un baromètre mensuel permettant de suivre et d’analyser les évolutions de la présence des collectivités territoriales en ligne. Profitant d’une année complète d’analyse, une cartographie réalisée en partenariat avec NXA et dévoilée lors de la présentation de l’étude « Collectivités Locales & Réseaux Sociaux » organisée par les Argonautes montre que Facebook et Twitter sont devenus des supports privilégiés pour aborder l’évolution de la communication numérique territoriale.
En effet, le taux de présence des collectivités territoriales sur Facebook est passé de 56,7 % en mars 2012 à 72,7 % en mars 2013. Paris et Grenoble sur le tableau d’honneur, les départements en progression. Les sciences du numérique... en fête ! La carte des sites les plus populaires par pays, ou l'impérialisme de Google. Ok, ce n'est pas très surprenant de voir que Google et Facebook sont les sites web les plus visités de presque chaque pays du monde.
Ce qui est plus intéressant, c'est les endroits où ils ne le sont pas. En utilisant des données publiques du service de trafic internet Alexa, le blog Oxford Internet Institute's Information Geographies a créé une carte des sites web les plus populaires par pays (la carte de style colonial qui illustre cet article s'appelle «l'âge des empires d'Internet»). Et même si les chercheurs ont conclu que Google et Facebook reignent parmi les internautes de la planète, il existe quelques exceptions notables. publicité Le journal al-Watan voice, par exemple, est le site le plus visité des territoires palestiniens, tandis qu'un service de mail russe, Mail.ru, domine au Kazakhstan.
La Chine est un cas particulièrement intéressant: le moteur de recherche chinois Baidu est le site le plus visité du pays, mais son succès pourrait bien venir en partie du gouvernement. Les comportements des français face à l'e-mail en 2013.