True Blue. Mohamed Aboutrika, un Pharaon dans la tourmente - Autres championnats. Football : Luzenac, la saison d’après. Dans les tribunes en bois de Paul-Fédou, « pas repeintes depuis plus de vingt ans » de mémoire d’anciens, revient souvent ce constat parmi les spectateurs : « On a peut-être grandi trop vite. » Les récents événements ont rendu les ambitions plus modestes. « Avant, on roulait en phares, on regardait loin devant.
Maintenant on roule en codes et on regarde moins loin », résume Carlos Pires. Vêtu d’un manteau rouge avec le logo du club, il est venu assister à la large victoire face au Mirail (3-0), en spectateur fidèle. Avec un regard bienveillant : Sébastien Mignotte, l’entraîneur et ancien joueur, est son gendre. « Mimi », comme on le surnomme dans le village, est l’un des principaux artisans de la survie du club. L’ensemble de l’effectif professionnel, sauf trois joueurs – Nicolas Dieuze, Franck Akaza et Assane Karaboualy –, est parti voir ailleurs.
Joueur de Luzenac depuis 1999, Sébastien Mignotte a usé de ses vieilles amitiés pour bâtir une équipe. De l’Afrique à la Premier League, long chemin entre rêve et réalité. L’Afrique, terre d’un football sauvage, improvisé, formidable concentré de passion et de folklore, a ralenti son pouls alors que la CAN 2015 touche à sa fin.
Les regards sont braqués sur elle, le temps d’un instant au moins. « Nous sommes les hommes de la danse, dont les pieds reprennent vigueur en frappant le sol dur », écrivait Léopold Sédar Senghor, ancien président sénégalais et illustre écrivain. Le Roi David David Trézéguet prend sa retraite. Kung Fu Cantona, 20 ans après Retro - Le coup de pied d'Eric Cantona. Et à la fin, les Allemands... Rétro - Mondial 1982 - Demi Finale - RFA/France (3-3, 5,4 tab) Analyse - Football et binationalité : Les "oriundi africains" La Coupe du monde approche, un événement planétaire unique dans la carrière d'un footballeur. 32 pays et 736 joueurs disputeront l'édition 2014.
Pour chaque sélection nationale et pour chaque footballeur, il est très difficile de se qualifier pour y participer. Une des stratégies parfois décriée mais qui s'est développée ces quinze dernières années est la naturalisation sportive. La pratique est devenue courante en Afrique où on rapatrie les jeunes de la diaspora : les "oriundi africains". Étaient désignés Oriundi les Argentins, et notamment les footballeurs et rugbymans qui, grâce à leur filiation italienne plus ou moins lointaine, rejoignaient la sélection nationale italienne.
Ainsi en 1934, l'Italie de Mussolini remporte la Coupe du monde qu'elle organise avec en son sein trois ex-internationaux argentins : Luis Monti, Enrique Guaita, Raimundo Orsi. Direction l'Afrique Les sélections espoirs ont longtemps été un moyen de "verrouiller" la nationalité sportive des footballeurs. Reportage: Au revoir Cantona. Les résultats du Ballon d'Or FIFA 2013 en détails. Le 13 janvier dernier, la FIFA a dévoilé les résultats des votes du Ballon d’Or 2013.
Cristiano Ronaldo est arrivé premier devant Lionel Messi et Franck Ribéry. Le règlement de la FIFA précise que, pour chaque pays, les votants sont : l’entraîneur de l’équipe nationalele capitaine de l’équipe nationaleun journaliste Chacun vote pour 3 joueurs (parmi une pré-sélection de 23 joueurs) ; le premier obtient 5 points, le deuxième 3, le troisième 1. Un joueur ne peut pas voter pour lui-même. Avec ce système, l’Europe est le continent avec le plus de votants. Répartition des points par continent Le Portugal, l’Argentine et la France ont voté pour les joueurs de leurs pays. Cristiano Ronaldo et Franck Ribéry sont au coude à coude quant au nombre de meilleurs votes (5 points) ; Lionel Messi est distancé.
Premières places Franck Ribéry a fait le triplé entraîneur/capitaine/journaliste dans 9 pays, dont la France. Nombre de premières places obtenues par Franck Ribéry par pays Points par club (Monde) Espagne-Italie (1-1) : Le Résumé du 11 juin 2012, Euro 2012 : RTBF Vidéo. Les Dé-Managers : pour parler tactique, pas pour meubler. » Blog Archive » FAIRE-PART DE NAISSANCE : LE BAYERN GUARDIOLESQUE. Pep Guardiola n’invente rien, il prend des modèles existants et les détourne, expérimente dans le but de les sublimer.
Avec succès souvent, même si sa jeune carrière d’entraîneur l’a toujours mise dans les conditions avantageuses d’avoir un groupe de grande qualité. Pourtant, depuis le début de saison, le Bayern tâtonnait, et si son équipe gagnait relativement facilement la bataille de la possession, le jeu se résumait souvent à de longues phases de possession suivies de centres sur la tête de Mandzukic. Un pis-aller, un aveu de faiblesse démontrant les limites du jeu au sol.
Suffisant pour gagner la plupart du temps certes, mais loin des standards de jeu beaucoup plus pragmatiques et efficaces de Jupp Heynckes. La victoire face à City sonne pourtant comme une alerte : la patte Guardiola est en train de prendre et le Bayern a ce qu’il faut pour emmener encore plus loin le tiki taka. On est à la fin du mois de février 1989. Christophe Kuchly.