Libye: Jusqu'où iront les violences? - L'édito de Christophe Barbier. Exilés de Tripoli, les parlementaires libyens sont réfugiés sur un ferry grec. Propa. Sarkozy. Syrie : Obama destitué s'il rejouait le scénario libyen. Allan Francovich. Allan Francovich (1941 – April 24, 1997) was an American film producer and director who made a series of films purporting to expose Central Intelligence Agency (CIA) covert operations.
Francovich suffered a heart attack while going through US customs at George Bush Intercontinental Airport in Houston, Texas on April 17, 1997, and died at the age of 56.[1] [2] His latest release[edit] The Maltese Double Cross[edit] Allan Francovich produced, wrote and directed The Maltese Double Cross – Lockerbie, a controversial documentary which challenged the official view that Libya was responsible for the sabotage of Pan Am Flight 103. Instead, an unwitting drug mule, with links to Hezbollah and to both the Drug Enforcement Administration (DEA) and the CIA, was alleged to have carried the bomb on board the aircraft. Channel 4 television decided to broadcast the film in Britain on May 11, 1995. Bashir Saleh, l’homme qui valait sept milliards. « Il est protégé par la France : un homme qui pèse 7 milliards de dollars peut s’acheter beaucoup de protection ».
Une déclaration sans ambiguïté d’un membre du Conseil national de transition (CNT) libyen (Financial Times, 8 avril). Homme de confiance de Kadhafi, il « blanchissait des milliards de dollars en investissements et servait d’intermédiaire entre le régime libyen, l’Afrique et la France » (Ibidem). Né au Niger, Bashir Saleh Bashir était directeur du cabinet de Kadhafi depuis 1998.
À sa création en 2006, il devient directeur du Fonds d’investissement libyen en Afrique (Lybia Africa Investment Portfolio, LAP). Si son nom revient avec insistance dans les colonnes d’une partie de la presse française depuis un mois, on s’étonne toutefois de n’avoir eu vent plus tôt de ce personnage sulfureux. Dès 2003 à l’Elysée.... Des accords de coopérations dans les domaines culturels, universitaires et fiscaux sont aussi signés en 2004 et 2005. Michel Collon face à F. Encel dans CSOJ. US confirms its Libya ambassador killed in Benghazi. 12 September 2012Last updated at 11:14 ET US President Barack Obama: "There is absolutely no justification for this type of senseless violence" The US ambassador to Libya is among four Americans killed in an attack on the US consulate in Benghazi, President Barack Obama has confirmed.
Muhammad Movie Trailer. Vidéo islamophobe : réalisateur copte ? Nakoula Basseley Nakoula, 55 ans, un copte californien, s'est présenté à l'agence AP comme responsable de la société qui a produit le film "Innoncence of Muslims".
Il a assuré ne pas être le réalisateur, qui serait une de ses connaissances, "Sam Bacile". Mais l'enquête de l'agence AP situe Nakoula et Bacile à la même adresse, près de Los Angeles. Pakistan: violentes manifestations contre le film anti-islam. Pakistan minister offers bounty on film-maker - Central & South Asia. Demonstrations spread over anti-Islam film. "Charlie Hebdo" caricature Mahomet : pas du courage, mais du pur opportunisme. Charb tenant le numéro de "Charlie Hebdo" de la semaine, le 19/09/12 (F.
DUFOUR/AFP) Le principe de liberté fondamentale de caricature ne se discute pas, il faut l'affirmer clairement. Le nouveau numéro de "Charlie Hebdo" offre néanmoins l'occasion de s'interroger sur (au moins) deux dimensions dans les choix de sa rédaction. Caire : la communauté française reste calme. Charlie Hebdo et son fonds de commerce. 22 septembre 2012 [Misère et décadence de l’esprit satirique, Charlie Hebdo et son fonds de commerce — De l’autodérision subversive à sa monomanie caricaturale.]
Au milieu des années 60, les fondateurs de Hara Kiri (et du futur Charlie) se sont ouvertement inscrits dans une tradition satirique à-la-française, cette verve confusément libertaire qui fit les heures de gloire du Canard sauvage, de l’En-dehors ou de l’Assiette au Beurre durant la Belle Époque. Ils ont donc repris à leur compte le flambeau iconoclaste des dessinateurs et polémistes du début du XXe siècle, eux qui avaient combattu l’alliance du sabre & du goupillon à la tête d’un Etat soi-disant laïcisé et mis en pleine lumière, au revers de cette médaille, la logique homicide des injustices sociales. Si, un demi-siècle plus tard, le programme restait le même, il s’agissait désormais, pour la bande à Charlie, de renouveler leur cible, au diapason contestataire des seventies. Charlie Hebdo : des caricatures cyniques et désolantes. Pas d’avis définitif quant au caractère souhaitable de publier de tels dessins (ça fait pas avancer le schmilblick) mais...
Lisant Charlie par intermittence, j’ai un peu de mal à comprendre les termes du procès intenté. 1) arrêtons de sortir en permanence l’affaire Siné. Charlie Hebdo en version "responsable" et "irresponsable" Au pays de Candy. Le droit français tordu pour Kadhafi. La société française Amesys aurait vendu en toute légalité à Kadhafi des systèmes d'espionnage d'Internet, lui permettant d'attraper des opposants.
Une plainte a été déposée contre cette opération commerciale. Qui pourrait avoir violé deux trois principes fondamentaux. Ces dernières semaines, du ministère de la Défense jusqu’à Matignon, personne n’a été en mesure de nous détailler le cadre juridique ayant permis à la société française Amesys de vendre des matériels d’espionnage électronique et de surveillance d’Internet au régime du colonel Kadhafi. En particulier le redoutable système de surveillance Eagle. Des esprits soupçonneux en déduiraient que ces livraisons débordaient largement les cadres juridiques existants. Dans le seul communiqué publié par Amesys, le 1er septembre, la direction de la communication du groupe Bull, dont Amesys a pris le contrôle l’an passé, affirmait : Une direction de la communication confiée à la fille de l’actuel ministre de la Défense Gérard Longuet.
Libya Sufi shrines attacked 'by Islamist hardliners'