1950-2014 : toujours les mêmes bidonvilles. Bidonvilles : un survol photo. Bidonville de Caracas (Vénézuéla): Bidonville de Mumbai (Inde): Bidonville de Sao Paulo (Brésil): Évolution de la population mondiale en deux siècles : 1800 : 1 milliard 1860 : 2 milliards 1910 : 3 milliards 1950 : 4 milliards 1980 : 5 milliards 1999 : 6 milliards 2006 : 6,5 milliards2007 : la population urbaine passe la barre des 50% de l’humanité 2012 : 7 milliards 2020 : 8 milliards2030 : la population urbaine passera la barre des 70% de l’humanité2050 : 12 milliards, avecplus de 80% de population urbaine Un rapport récent de l’ONU souligne qu’en 2007 s’opéra une transition historique vers une population mondiale en majorité citadine.
Pour l’essentiel, les nouvelles populations urbaines des pays en développement s’agrègent et s’entassent dans des bidonvilles et bénéficient d’un niveau de vie similaire ou moins élevé que celui qu’ils connaissaient dans leurs campagnes d’origine. source: carnetsdenuit.typepad.com. Recherche images Google. Favelas / Slum. 1 milliard d'habitants dans les bidonvilles. La moitié de la population mondiale, estimée à un peu plus de 6.7 milliards d'individus en 2010, vit dans les villes.
De ce total, une majorité vit dans des grandes villes, voire d'immenses métropoles de plusieurs millions d'habitants. Bien que certaines de ces villes, comme Tokyo, New York ou Paris, soient situées dans des pays industrialisés et donc possèdent des équipements et infrastructures adéquats (ou à peu près), la plupart de ces grandes villes sont désormais dans des pays dits du Sud. Djakarta, Kinshasa, Sao Paulo, Mexico, Bombay, Le Caire, tous ces noms sont familiers et synonymes de métropoles géantes congestionnées, polluées et dans lesquelles de nombreuses personnes vivent dans ce que nous appelons des bidonvilles. Les grandes métropoles du Nord ont eu par le passé des zones de bidonvilles dans leurs environs, zones qui ont été depuis plusieurs décennies reconquisent par la salubrité.
Les défis pour ce siècle sont énormes mais pas insurmontables. 1 milliard d'habitants dans les bidonvilles. 3 octobre 2006 -
Bidonplanète. Un milliard d’humains dans les bidonvilles. En 2007, l’ONU a annoncé que, pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, il y a sur Terre autant d’urbains (3,3 milliards) que de ruraux.
Presque un tiers de ces urbains (un milliard) vit dans des bidonvilles (2 milliards prévus en 2030). C’est à cette « urbanisation de la pauvreté » (p. 63) que Diana Bernaola-Regout et Philippe Godard consacrent un petit ouvrage dans la collection « J’accuse ! », destinée à la jeunesse. Diana Bernaola-Regout est une ethnologue et photographe péruvienne, qui a travaillé sur les bidonvilles de Lima, sur les communautés indiennes du Pérou, mais aussi sur les graffitis à Barcelone.
Philippe Godard, qui a beaucoup voyagé en Amérique latine et en Inde, a dirigé plusieurs collections Jeunesse chez Autrement et La Martinière. Bidonplanète s’ouvre sur deux témoignages. La deuxième partie de l’ouvrage propose deux documents qui remettent les témoignages en perspective. Enfin la troisième partie du livre est constituée de deux entretiens.
Bidonville. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Un bidonville, comme défini par le Programme des Nations unies pour les établissements humains, est la partie défavorisée d'une ville caractérisée par des logements très insalubres, une grande pauvreté et sans aucun droit ou sécurité foncière. Bidonvilles : un milliard de laissés-pour-compte. Pour la première fois dans l’histoire de l’Humanité, la terre compte davantage d’urbains que de ruraux.
Au Sud, cette évolution engendre une explosion des bidonvilles. Le fruit du hasard, vraiment ? Le basculement précis s’est-il produit l’année dernière ? Ou aura-t-il lieu l’année prochaine, comme l’estime le Fonds des Nations unies pour la population (UNFPA) ? Peu importe, le fait est là : sur les 6,6 milliards de terriens, près de 3,3 vivent déjà en ville. Un milliard d'êtres humains s'y entassent : que faire des bidonvilles ? - rts.ch - émissions - geopolitis. Un monde de taudis. Un monde de taudis - Page 2. L'absence de toilettes tue Si le bidonville est par certains aspects moins infernal qu'on ne l'imagine, il demeure un lieu de vie extrêmement précaire.
Certes, la solidarité collective se révèle forte pour ces habitants qui se considèrent comme une communauté. Néanmoins, les tensions sont exacerbées du fait du manque d'espace et des conditions de vie difficiles. Peu de lumière à cause d'habitations trop rapprochées, pas de ramassage des ordures : les habitants jettent leurs détritus devant la porte du voisin ou balancent leurs excréments empaquetés sur le toit d'à côté. A Mumbai, la moitié de la population de la ville n'a pas de toilettes, alors, comme l'explique Prahlad Kakkar, réalisateur d'un documentaire sur le sujet : "Ils chient dehors. Bidon contre appartement Que fait l'Etat pour améliorer la situation de cette population grandissante ? Enquête sur les améliorations à Kibera (Afrique) Kibera. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Kibera, situé au Kenya au sud de la capitale Nairobi, est l'un des plus grands bidonvilles d’Afrique[1]. Les estimations font état d'un million d’habitants. Histoire[modifier | modifier le code] Les premières fondations de Kibera remontent à 1912 lorsque le gouvernement colonial britannique installa les soldats nubiens (ou soudanais) qui avaient fait partie des « Kings African Rifles ». Le terrain sera appelé plus tard Kibera, ce qui signifie « Forêt » en langue nubienne. Le gouvernement britannique fit alors de Kibera une réserve militaire et l’établit officiellement comme terre de résidence pour les soldats nubiens et leur famille à partir de 1918.
Kibera — Wikipédia (ang.) View of Kibera Dwellings in Kibera, Nairobi Kenya (ca. 2008).
KTDP - Kibera Transformation and Development Program. Shining Hope.