EN IMAGES. Les dix secteurs qui recruteront le plus d'ici 2020. 7 fonctionnaires sur 10 jugent le secteur public moins attractif qu'avant, Actualité/Actu Quotidien. Les fonctionnaires ont le blues. D’après le dernier Panel Prefon, 71,5% d’entre eux jugent que le secteur public est devenu moins attractif qu’auparavant. Certes cela ne constitue qu’une demi-surprise puisque les agents du public déplorent depuis de longs mois la faible attractivité de leur secteur. Ceci étant, le camp des déçus a grossi de près de 9 points en à peine trois mois. Les fonctionnaires se sentent pourtant reconnus dans leur métier. Ils sont 53,5% dans ce cas, contre 50,4% lors du sondage précédent. En revanche, c’est du côté des rémunérations qu’il y a un hic. Plus de la moitié des sondés (51,8%) s’estiment moins bien rémunérés que leurs collègues du privé.
Difficile sur ce plan d’y voir clair. En tout cas, même s’ils sont insatisfaits de leur rémunération, les agents du public restent prêts à 60% à recommander la fonction publique à leur entourage. Professeur, carrossier, psychomotricien... ces métiers dont personne ne veut. INFOGRAPHIE - Les conducteurs de trains, «web designers» et autres gardiens d'immeubles ne manquent pas de candidats sur le marché du travail. En revanche, certains métiers n'ont plus du tout la cote. Alors que les chiffres du chômage continuent d'augmenter, une étude du site d'emploi Jobintree dévoile, une fois de plus, une inadéquation entre l'offre et la demande.
Le site qui a analysé plus de 75.000 offres d'emplois et 720.000 actes de candidatures entre octobre et décembre 2013 dresse un palmarès des postes les plus recherchés et… les plus délaissés. Résultat: les candidats font la part belle au métier de conducteur de train qui a récolté 2685 candidatures (soit 192 fois plus de candidatures que celui d'enseignant, qui occupe la place peu enviée de métier le moins attractif).
Distorsion entre l'offre et la demande Autres exemples, le métier de web disgner engrange environ 18 fois plus de candidatures par rapport à la moyenne des métiers. Mauvaise image. Cinq métiers qui recrutent en 2014. + 7% d'offres d'emploi pour les cadres en mars 2014 par rapport au mois précédent: l'indice mensuel de diffusion des offres cadres sur Internet, publié par l'Apec le 19 mars, peut prêter à un optimisme... raisonnable. Voici cinq métiers qui offrent de belles perspectives. Comptables 2.0 très demandés Le comptable version 2014 serait une denrée rare. Explication : ces dernières années, le métier a largement évolué, plus vite sans doute que les compétences acquises par la majorité des professionnels.
"Il est très difficile de trouver des comptables bilingues", note par exemple Antoine Dussart, directeur général d'Experts Recrutement (groupe Adecco). Nombre d'entreprises travaillant à l'international sont en recherche de tels profils, capables de comprendre et d'analyser des documents en anglais, et d'interagir avec leurs homologues étrangers. Contrôleurs de gestion: l'industrie en recherche Le community manager, la perle des réseaux Le développeur, encore et toujours Le BTP fait grise mine? Pourquoi créer une entreprise rend les femmes heureuses ? Pourquoi créer une entreprise rend les femmes heureuses ? © iStock Selon le dernier baromètre du Global Entrepreneurship Monitor, créer leur entreprise rendrait les femmes heureuses. Une bonne nouvelle alors que la ministre des Droits des femmes, Najat-Vallaud Belkacem, tente d'encourager l'entrepreneuriat féminin en France. Créer une entreprise rend les femmes heureuses, c'est le Global Entrepreneurship Monitor (GEM) qui le dit.
Les dirigeantes d'entreprises plus heureuses que leurs homologues masculins Mais si créateurs et créatrices sont globalement très épanouis, il semble que ces dernières le soient plus encore. Autant de bonnes nouvelles alors que la ministre des Droits des femmes, Najat-Vallaud Belkacem, était ce jeudi matin au Salon des entrepreneurs pour encourager l'entrepreneuriat féminin. Le salarié XXIe siècle responsable de son devenir professionnel. Dès les années 70, les institutions changent, le marché se mondialise, la production s’intensifie et les répercussions sur l’individu tant sur le plan professionnel que personnel modifient son comportement au quotidien.
En effet l’ère de l’individualisme s’installe et crée des injonctions sociales telles que l’autonomie et la responsabilisation de soi. L’individu se retrouve dans la logique d’une quête sans fin du toujours plus, d’authenticité, de sureté de soi. À présent, les institutions publiques accompagnent l’individu à un plein déploiement de lui-même. Ce travail se met en place dans toute une série de dispositifs institutionnels tels que : travailler son employabilité pour éviter le piège du chômage, apprendre à apprendre, entreprendre pour une seconde carrière, se former de manière continue, s’activer, s’insérer, développer son projet… La compétence régulatrice de l’état se déplacerait sur les individus eux-mêmes.
N'est pas accessible. Paris, le 6 juin 2013 – A l'heure où l'environnement économique est l'objet de profonds bouleversements, les effets sur le monde du travail ne se font pas attendre. Les compétences demandées aux salariés et les métiers évoluent. Au point que certains « métiers de demain » ont d'ores et déjà émergé dans l'entreprise – expert bilan carbone ou e-reputation manager par exemple. Inéluctables, ces évolutions posent plusieurs questions. Côté candidats, l'adaptation des compétences apparaît plus déterminante que jamais pour maintenir et développer son employabilité. Quant aux recruteurs, charge à eux de détecter les cadres en mesure d'embrasser des carrières sur des métiers émergents.Le tout dans un contexte professionnel où la mobilité et la complexification des tâches sont les maître-mots. « Quels seront les métiers de demain ?
Guide Expectra : recruter les profils de demain avec les meilleurs atouts Dans ce contexte, les entreprises n'ont d'autre choix que d'anticiper.