À égalité - Cohabiter pour vivre mieux. Habiter à plusieurs, c’est-à-dire louer, acheter, construire ou rénover, c’est bien sûr, faire une grande économie d’investissement tout en accédant à des logements spacieux et bien situés.
C’est aussi choisir un mode de vie où la liberté individuelle et l’entraide s’équilibrent. Réinventer l’enchantement du lien dans un esprit de communauté qui respecte l’intimité : le cohabitat ou cohousing est déjà une réalité au Danemark depuis plus de trente ans. Habiter chacun chez soi mais gérer ensemble des espaces communs : jardins, salles de jeux, de réunion, chambres d’amis... A la ville comme à la campagne, passer sa soirée tranquille ou choisir de cuisiner ensemble ; alterner les gardes d’enfants ; se prêter assistance pour les petits travaux, partager des outils, des machines, les voitures, se parler, se soutenir, vivre solidaires. Co-housing. Épinglé par Elle Buckley sur I Will Acquire. Épinglé par mdboi sur ARCHITECTURE cabins / ARCHITECTURE cabanes. Épinglé par ludovodul sur Archi ... beau ! Épinglé par Yes We Camp sur installations.
Épinglé par LBC et numéro 2 sur Déco chambre enfant. ARCHITECTURE//PAYSAGISME//DESIGN. Épinglé par IxC sur Objets. Épinglé par Low Lowwh sur petits espaces. Épinglé par Céline Chaverot sur Work place. Résultats Google Recherche d'images correspondant à. Tableaux d'intimité par Anne-Laure Maison - ArchiDesignClub by MUUUZ - Architecture & Design. Publié le lundi 7 novembre 2011 L'artiste Anne-Laure Maison sillonne les villes et observe les immeubles et leurs fenêtres illuminées à la nuit tombée.
Dans sa série de photographies "Tableaux d'intimité", elle révèle les vies, les histoires et les espaces qui se cachent derrière les façades et se donnent à voir depuis la rue, à New York (ci-dessus), à Amsterdam, à Prague, sur l'Ile de Ré et à Paris. Sur cette série, Anne-Laure Maison précise: "A la nuit tombée, les fenêtres illuminées prennent le dessus sur l’architecture qui les encadre. Elles deviennent de vrais tableaux vivants. L’intérieur s’affirme par rapport à l’extérieur et des visions fugitives de l’intimité des habitants nous sont offertes. La distance entre personnes. Nous avons parlé dans l’article « Établir un bon contact » de la communication non verbale.
Il est un élément qui en découle tout naturellement et que nous utilisons constamment sans en avoir conscience, c’est la distance interpersonnelle. Vous avez pu remarquer au cours des diverses conversations professionnelles, commerciales, amicales, intimes que certaines personnes recherchent la proximité et que d’autres, au contraire, marquent le recul. Toute rencontre est caractérisée par une distance opportune qu’il est préférable de respecter pour que le contact soit efficace et confortable pour chacun. La proxémie. En fait, notre façon d’occuper l’espace en présence d’autrui est un des marqueurs de l’identité.Pour exemple, notre proximité spatiale est différente selon notre culture.
Ce sont donc nos habitudes cultuelles qui nous font prendre différentes places spatiales. Hall a montré qu’il y avait autour de nous une surface, « une bulle », une zone émotionnellement forte ou encore un périmètre de sécurité individuel. Résultats Google Recherche d'images correspondant à. Épinglé par Simon Morasi Pipercic sur installation. Le « Flex Office » : la réponse de Bouygues Télécom à la montée du travail collaboratif. François Delatouche, Directeur de l’Environnement de Travail chez Bouygues Télécom, présente dans notre étude le « Flex Office ».
Ce concept est né d’une double exigence : d’abord, la nécessité de faire des économies. Ensuite, le besoin de trouver une réponse efficace à l’accroissement du travail collaboratif, venu peu à peu remplacer le travail individuel. Explications. François Delatouche Diplômé d’un Baccalauréat Philosophie et après des études de technicien agricole, François Delatouche a vécu pendant 6 ans en Afrique en tant que bénévole dans une ONG. Favoriser le travail collaboratif, tout en gérant mieux l’espace Face à ces deux exigences, un constat : un environnement de travail devenu obsolète, fondé sur un open space particulièrement dense, mais des postes de travail occupés 60% de la journée seulement.
La réduction de l’espace individuel est passée par la mise en place de bureaux partagés, rendue possible par l’exploitation des nouveaux outils technologiques. Bilan ? Le nu-ovo ou cocon domestique. Posted by decouvertes63 on novembre 7th, 2011 « Nu-Ovo » de Tissettanta est une sorte de cocon domestique permettant la création d’un espace intime et ce dans n’importe quel lieu de la maison (ou du jardin).
On peut en faire un petit bureau ou un espace de détente et de lecture. On peut aussi en faire une banquette-lit, voire même une douche au bord de la piscine. Les possibilités sont infinies – vous n’êtes limités que par votre imagination et pouvez l’adapté en fonction de votre style de vie. Tissettanta se consacre à l’offre de solutions d’intérieures qui encouragent une liberté de vie. A visiter le site Tissettanta pour en apprendre plus sur le « Nu-Ovo » ou cocon domestique. partagez ce post s'il vous a plu You can leave a response, or trackback from your own site.