Vivre en cohabitat. Modifié par Gretel Kerkhofs le 13/06/2013 Depuis environ 10 ans, le cohabitat, ce modèle urbain caractérisé par la combinaison entre espaces privés et communs, ne cesse de susciter l’intérêt de plus en plus de familles belges.
Si vivre en communauté n’est pas nouveau, qu’est-ce qui explique le succès de cette nouvelle manière d’habiter à contre-courant de l’individualisme moderne ? Focus sur cette tendance. L'idée, c'est de recréer un village dans la ville Le cohabitat, en quoi ça consiste ? Dans un contexte urbain caractérisé par une flexibilité accrue du marché du travail, la séparation des lieux de travail et de résidence, et une forte réduction du réseau social, le cohabitat présente en effet de nombreux avantages .
Les avantages sont nombreux Outre les économies qu’il permet (partage de certains frais, du loyer), le cohabitat aide à recréer des liens sociaux. Pratique et économique Le concept d'habitat communautaire est souvent associé à une solution pour les familles à faible revenus. Cohabitat. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Le cohabitat ou habitat participatif est une forme de communauté intentionnelle qui réunit quelques familles, ménages, habitants ou groupes d'habitants ayant décidé de mutualiser leurs ressources pour concevoir, réaliser et financer ensemble leur logement, au sein d’un bâtiment ou d'un ensemble de bâtiment géré collectivement par une société dont ils sont fondateurs ou sociétaires. Ils décident alors aussi de vivre selon des principes communs dont ils ont ensemble décidé des modalités, souvent autour de valeurs éthiques, sociales et environnementales communes. Les logements et locaux ou infrastructures de services peuvent éventuellement être construits via une coopérative d'habitation. Certains projets incluent un volet autoconstruction ou sont entièrement « autoconstruits ». Définitions et pluralité de vocables[modifier | modifier le code] Le terme « cohabitat » correspond au terme anglo-saxon de cohousing.
Cette loi ALUR. Habitat coopératif, verrou contre la spéculation, par Martin Denoun et Geoffroy Valadon. En Allemagne, dans les années 1980, des squatteurs, face à la précarité des occupations et à la répression judiciaire qu’ils subissaient, ont cherché à monter des projets d’habitation à la fois autogérés et pérennes.
Ils ont alors dû affronter cette question : comment recourir à la propriété privée sans alimenter la spéculation immobilière ? Par une astuce juridique, ils ont amputé le droit de la propriété de sa dimension capitalistique et spéculative pour n’en garder que le droit d’usage. Un détournement similaire à celui du logiciel libre, qui transforme le droit d’auteur en « gauche d’auteur » (1). C’est ainsi qu’est né le Mietshaüser Syndikat (Syndicat d’immeubles locatifs), outil destiné à retirer des immeubles du marché de façon définitive.
La coopérative immobilière traditionnelle (Genossenschaft) n’offrait pas cette garantie. L'habitat groupé : une pratique en construction. Terra eco : où en est l’habitat groupé en France ?
Stefan Singer : "Après un mouvement initial dans les années 80, où environ 200 expériences ont été menés à terme, il ne s’est pas passé grand chose pendant 15 ans. Depuis quelques années, il y a un nouveau mouvement avec des premiers bâtiments qui sortent de terre, comme celui d’Ecologis à Strasbourg. La ville est devenue extrêmement enthousiaste et propose une dizaine de parcelles pour des groupes en autopromotion. Habitat partagé : un collectif rénove un lieu hors du commun pour vivre autrement.
Habitat partagé : un collectif rénove un lieu hors du communpour vivre autrement Habiter autrement les centres des petites villes, accéder à la propriété quand on n’a pas de très gros moyens, vivre sans voiture et partager les problèmes : c’est l’aventure dans laquelle s’est lancé un collectif à Auch (Gers).
Avec un projet de réhabilitation hors du commun : un important corps de bâtiments de 5 étages sur 3000 m² de terrain, réparti sur 7 niveaux de pente, enclavé en plein centre-ville, accessible essentiellement par des escaliers sinueux. Ici on partage beaucoup – travaux, réflexions, espaces communs à rénover. La topographie particulière du terrain, le choix d’un fonctionnement démocratique, la mixité sociale, en font une expérience assez unique, qui tâtonne encore mais veut s’inscrire dans la durée. Par Agnès Maillard. On m’avait parlé d’un immeuble en plein centre-ville, retapé par une sorte de communauté. C’est alors que l’agent immobilier nous a proposé de visiter cet endroit. Maison_autonome. Site Internet : Qui sommes-nous ?
Une famille accueillant des milliers de visiteurs témoignant qu'une autre vie est possible, proposant une alternative à la fatalité d’un monde qui réduit insidieusement l’espace de nos libertés. Maison bioclimatique de plus de 20 ans de fonctionnement à faible consommation d'énergie pour un confort satisfaisant , en totale autonomie électrique au moyen du soleil et du vent : éoliennes, photopiles,... etc. Approvisionnement en eau de pluie potable par stockage enterré. Chauffage quasi permanent de cette eau par chauffe-eau auto-construit + électricité éolienne.
Spécificité : Expérience de 20 ans sur les techniques alternatives et le mode de vie de sobriété heureuse. Les techniques Écologie Économie Simplicité Autonomie Création de concept d'Eco-festival .