Lettre Ouverte - Ecole numerique - criirem. Madame la Ministre de L’Education Nationale, Nous avons été interpellés par de nombreux adhérents, professeurs, parents d’élèves, sur la mise en place de la Concertation nationale sur le numérique pour l’éducation.
Le numérique est un sujet très sensible, notamment parce que celui-ci est souvent lié aux technologies sans fil, émettrices de rayonnements électromagnétiques. Vous n’êtes pas sans ignorer que les ondes radioélectriques sont classées par l’OMS dans la catégorie agent cancérigène 2B. De plus, l’AFSSET dans son rapport de 2009, reconnait qu’il existe des signaux incontestables impliquant les effets non thermiques de ces rayonnements électromagnétiques, en particulier en biologie cellulaire, et dans les études épidémiologiques (risques de gliome, de lymphome et de leucémie).
En conséquence, elle recommande l’application du principe ALARA. Il est évident que les installations filaires seront à privilégier. Veuillez agréer, Madame la Ministre, nos salutations les meilleures, « La révolution sera numérique » : le manifeste de John Doe, le lanceur d’alerte des « Panama papers » Le lanceur d’alerte anonyme dénonce, au-delà du cabinet Mossack Fonseca, les dérives d’un système que ni la justice ni les politiques n’ont su réguler.
Le lanceur d’alerte anonyme des « Panama papers », qui utilise le pseudonyme « John Doe », a transmis au journal allemand Süddeutsche Zeitung un manifeste écrit en anglais pour expliquer pourquoi il a remis à la presse les 11,5 millions de fichiers des archives de Mossack Fonseca. Le Monde reproduit une traduction intégrale de ce texte. Les citations ont été mise en exergue par la rédaction. Pour en savoir plus : Le lanceur d’alerte des « Panama papers » sort du bois pour expliquer sa démarche L’inégalité des revenus est un des marqueurs de notre époque. Les « Panama papers » fournissent une réponse convaincante à ces questions : une corruption massive et généralisée. Entre-temps, un débat international a démarré, ce qui est encourageant. A cet égard, j’ai quelques réflexions à partager. Non à l'exploitation du #travailgratuit en France. Pour un service numérique public du livre et des littératures.
Sous forme de lettre ouverte adressée à Fleur Pellerin, Jean-Marc Bastardy dresse le bilan de six années d’expérimentations numériques.
Autant d’enseignements, de pratique, de tentatives et d’analyses plus opérationnelles que théoriques, qui aboutissent à un cri d’alerte. En cause, l’inertie des pouvoirs publics qui lui semble « réellement fautive compte tenu de l’importance des enjeux ». ActuaLitté, CC BY SA 2.0 Pour un service numérique public du livre et des littératures Lettre ouverte à Madame la Ministre de la Culture Madame la Ministre, Pour bien comprendre cet immobilisme suicidaire et l’effet retard de notre prise de conscience, il faut savoir identifier les causes, les comprendre ; surtout ne pas avoir peur de les nommer.
Le but de ce courrier, vous l’aurez compris, n’est pas de trouver de nouveaux amis dans les couloirs du ministère, mais plutôt de dire publiquement, enfin, ce que beaucoup murmurent trop bas. Un oligopole obsédé par le maintien de la rente La plaie du corporatiste. Le Bon Coin expliqué à Nicolas Sarkozy. M.
Sarkozy, L’un de vos prédécesseurs à la présidence de la République ne connaissait pas le prix de la baguette, mais il savait que la baguette existait. Que vous ignoriez Le Bon Coin – si tel est vraiment le cas, ce qu’on peine à croire – est autrement plus inquiétant. Le signe supplémentaire que vous ne connaissez pas les gens que vous aspirez à représenter – et diriger – une fois de plus. Vous ignorez donc un des fleurons de l’économie numérique française (151 millions d’euros de chiffre d’affaires en 2014). Vous ignorez un des sites les plus fréquentés en France. Vous ignorez un site dont même le Sénat discute, ambitionnant de traquer ses utilisateurs et de les taxer. Vous ignorez ce que le grand historien médiéviste Jacques Le Goff, dans un dossier que l’obscur quotidien Le Monde consacrait au « phénomène Bon Coin » en 2013, pouvait en dire : « D’une certaine façon, Le Bon Coin est au XXIe siècle ce que la foire était au Moyen Âge. » C’est une chanteuse qui s’appelle Carla Bruni.