L’esclavage hier et aujourd’hui - Mémorial de l’abolition de l’esclavage – Nantes. L’esclavage L’esclavage est un système socio-économique reposant sur l’exploitation d’êtres humains, qui ne fonctionne que sous la contrainte et par la violence.
L’esclave est une personne qui n’est pas de condition libre : il appartient à un maître exerçant sur lui un pouvoir absolu. Considéré comme un bien mobilier, comme une marchandise, l’esclave peut être vendu, séparé de sa famille, il est contraint d’effectuer tous les travaux que son maître exige de lui.Selon la Convention de Genève du 25 septembre 1926, dans son article premier :« L’esclavage est l’état ou condition d’un individu sur lequel s’exercent les attributs du droit de propriété ou certains d’entre eux. » Ressources pour traiter de l'esclavage et de son abolition - Atelier Canopé de l'Essonne. Le devoir de mémoire, l'histoire d'une formule. Journée internationale en mémoire des victimes de l’Holocauste : signature de la convention Histoire et Mémoire. À l'occasion de la Journée internationale en mémoire des victimes de l'Holocauste du 27 janvier dernier, le ministère de l'Éducation nationale a signé une convention "Histoire et Mémoire" au Mémorial de la Shoah.
Le mercredi 27 janvier 2016 se tenait la Journée internationale en mémoire des génocides et de la prévention des crimes contre l’humanité. Pour l’occasion, le Premier ministre Manuel Valls s’est rendu à une cérémonie d’hommage tenue au Mémorial de la Shoah, accompagnée de Najat Vallaud-Belkacem et du ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve. Jean-Marc Todeschini, le secrétaire d’État aux Anciens combattants et à la Mémoire et la maire de Paris Anne Hidalgo étaient également présents.
Antoine Desprez. « La Flamme de l’égalité » : un concours pour sensibiliser aux valeurs de la République. Le concours scolaire "La Flamme de l’égalité" vient d'être lancé pour la première fois.
L'album de Rachel et Hannah. Enjeux de mémoire. Quand les mémoires déstabilisent l'école. Info Ernst Sophie (Dir.), Éducation, Histoire, Mémoire, 2008, INRP .
L'actualité a porté au centre du débat public les mémoires blessées par les traumatismes de l'histoire et mis en cause l'enseignement de l'histoire à un point inégalé. Transmettre la juste compréhension de certains évènements comme le génocide des Juifs, ou la colonisation et les guerres de décolonisation, semble, plus que jamais, nécessaire autant que difficile. L'émotion, la morale et la rationalité peinent à trouver l'articulation adéquate. En quelques années s'est imposée l'idée que ces enseignements seraient problématiques essentiellement du fait d'élèves récalcitrants en raison de revendications communautaristes ; mais il est souvent affirmé que si ces enseignements s'imposent néanmoins, c'est parce qu'ils répondraient à une interrogation identitaire.
En savoir plus / commander. Lettre VST – L'enseignement des "questions vives" – mai 2007. Par Agnès Cavet Jusqu'encore récemment, la plupart des disciplines scolaires étaient données à enseigner sur un modèle positiviste, transmettant des « vérités objectives » sur l'organisation passée et actuelle du monde naturel, de la société et de ses produits.
Autant de représentations auxquelles il convenait de faire adhérer les élèves, au nom de la culture commune républicaine. D'où une volontaire neutralité, du moins en apparence, dans l'exposition des savoirs, écartant controverses, interprétations plurielles et débats. Ce modèle s'est illustré avec succès au cours du XXe siècle, dont il a accompagné le spectaculaire développement dans le domaine des sciences et des techniques. Sans doute aussi a-t-il atteint ses limites et n'est-il plus adapté au monde et aux besoins de notre XXIe siècle. En nous appuyant sur les travaux de recherche actuels, nous proposons de mieux comprendre les particularités épistémologiques et didactiques des questions vives.
Avertissements au lecteur : C. L'internement des tsiganes en France 1940-1946. Le génocide tzigane pendant la Seconde guerre mondiale- Pôle civique. Le film de Tony Gatlif "Liberté" raconte l’histoire de "Théodore, vétérinaire et maire d’un village situé en zone occupée pendant la seconde guerre mondiale, accueillant P’tit Claude, neuf ans, dont les parents ont disparu depuis le début de la guerre.
Mademoiselle Lundi, l’institutrice fait la connaissance des Tsiganes qui se sont installés à quelques pas de là. Ils sont venus pour faire les vendanges dans le pays. Humaniste et républicaine convaincue, elle s’arrange, avec l’aide de Théodore, pour que les enfants Tsiganes soient scolarisés. " Un ouvrage récent , "Les Tsiganes en France : un sort à part, 1939-1946" de E. Filhol et M-C Hubert met l’accent sur le sort particulier réservé à ces populations nomades en France. La question du génocide des roms est l’objet d’études nombreuses tant d’un point de vue local que national. Le site de l’USHMM2 propose un article sur "Le génocide des tsiganes européens, 1939-1945".