Village associatif alternatif. Atteindre l’autonomie n’est pas donné à tout le monde.
Comme souvent, le travail en équipe répond à deux attentes: l’efficacité et le contact social. Les communautés ou villages alternatifs fleurissent, conjointement au changement progressif de paradigme Imaginez: non seulement, à plusieurs vous pourrez faire évoluer un espace conquis rapidement pour tendre à l’autonomie complète: plus de facture d’électricité, de gaz ou autres dépenses superflues.
En multipliant les bonnes relations on peut vite renverser les choses, et ne plus tenter de survivre, mais au contraire, être heureux de travailler un peu pour perdurer l’autonomie alternative ! Révolution ! Communautés , collectifs, écovillages, squats… Annuaire alternatif France [PDF] Les réseaux : International, Europe, France, Québec, Canada. International Europe Gen-europe.org : Global ecovillage network, réseau Europe.Livre « Eurotopia : Living in community » Répertoire de collectifs et d’écovillages en Europe France.
Une forêt qui se mange. A Dartington, dans le sud de l'Angleterre, nous avons visité un jardin expérimental nourricier qui reproduit un écosystème forestier en milieu tempéré.
Créé il y a 20 ans, il est aujourd'hui autogéré et produit suffisamment de fruits, feuilles comestibles, champignons, graines et noix pour subvenir aux besoins d’un ménage. Imaginez un jardin d'un hectare qui ressemblerait à une forêt vierge, avec des grands arbres, des arbustes, buissons, des plantes grimpantes, champignons et feuilles mortes au sol.
Cette forêt jardin nourrirait en grande partie votre famille, sans que vous y travailliez plus d'une fois par semaine. Enfin, par travail... entendez prendre un panier et des ciseaux pour cueillir salades, myrtilles et autre noix. Nul besoin d'arrosage, de tonte ni de labour, et encore moins d'épandage de pesticides ou d'ajout d'engrais : les plantes se débrouilleraient toutes seules. 550 espèces sur 1 hectareMai 2014. Une forêt est naturellement très productive. Légumes vivaces en maraîchage bio : une approche permaculturelle. Voici le résumé d’une formation que j’ai donné au Groupement Régional d’Agriculture Biologique (GRAB) de Haute-Normandie.
Suite à mon article « tour d’horizon des légumes perpétuels et vivaces« , j’ai eu beaucoup de questions et de demandes d’approfondissements. Cette modeste formation tente donc d’aller plus loin en proposant des pistes de réflexions pour intégrer des productions pérennes en maraîchage biologique, par une approche permaculturelle. J’ai réalisé également des fiches de culture de 15 légumes vivaces, depuis les plus connus aux plus exotiques que je laisse en téléchargement libre à la fin de l’article.
On est en terra incognita : il y a peu de retours d’expériences chiffrées quand aux potentialités -également économiques- des légumes pérennes en maraîchage biologique ainsi que peu de littérature sur leurs techniques culturales. Comment insérer ces dernières dans un itinéraire technique classique? S’inspirer du zonage : On peut les classifier comme suit : J'aime : La tendance des villes autosuffisantes. Enquête sur un véritable phénomène de société : « La tendance des villes autosuffisantes » par le site du développement durable et de la nouvelle consommation consoGloble.
Dernièrement, on note une envie croissante de la population à consommer local, à privilégier les circuits courts et à s’approvisionner en réduisant les distances. Dans son sillage, émerge une volonté – utopique ? – de développer des villes autosuffisantes. Alors, est-il vraiment possible pour une ville d’être auto-suffisante, voire en autarcie ? N’est-il pas vain de croire que l’on peut y arriver ? L’autosuffisance, c’est quoi ? La ville de Todmorden a pour objectif depuis 2008 de parvenir à l’autonomie alimentaire d’ici à 2018. Le terme revêt plusieurs aspects qu’il paraît important de détailler. Elle distingue les grandes approches économiques du point de vue de la dépendance – indépendance vis à vis des ressources vitales ou jugées stratégiques pour les individus ou la collectivité.
Autosuffisance énergétique. Permaculture. Qui en France connaît la permaculture ?
Science, mode de pensée ou philosophie, la permaculture a été conceptualisée il y a près de 40 ans en Australie. Elle s’est popularisée dans les pays anglo-saxons (Australie, états-Unis, Angleterre [1]), mais a peiné à se faire connaître dans les pays francophones. Jusqu’à maintenant. La permaculture est en train de déferler en France, l’année 2009 ayant vu le premier festival francophone de permaculture réunissant 500 personnes, et l’introduction du mot dans l’édition 2010 du Petit Robert [2], qui nous dit que la permaculture est un "mode d’aménagement écologique du territoire, visant à concevoir des systèmes stables et autosuffisants et à produire de la nourriture en renforçant l’écosystème.
". On craignait le pire tant définir la permaculture est compliqué. Le but de la permaculture est de créer, par une conception (design) réfléchie et efficace, des sociétés humaines respectueuses de la Nature et des Hommes. L’éthique de la permaculture Notes.