Open Access : quelles incidences de la loi « République numérique » ? – – S.I.Lex – La semaine dernière, on célébrait l’Open Access Week et j’ai eu l’occasion de donner plusieurs interventions à propos des incidences de la loi « République numérique » sur le Libre Accès aux publications scientifiques.
On sait en effet que la Loi Lemaire, qui est entrée en vigueur le 8 octobre dernier, a consacré un nouveau « droit d’exploitation secondaire » au profit des chercheurs, afin de faciliter notamment le dépôt en archives ouvertes de leurs publications. Mais l’article (30) qui contient ces nouvelles dispositions n’est pas de lecture facile et il contient même plusieurs points assez délicats à interpréter. J’ai reçu ces dernières semaines de nombreuses questions de collègues qui cherchaient à avoir des précisions ou à lever des ambiguïtés, et j’ai profité des interventions à l’Open Access Week pour essayer d’apporter quelques clarifications.
De manière à ce que cela puisse profiter au plus grand nombre, je publie mon support d’intervention ci-dessous. Vos dépôts dans HAL : ce qui change avec la loi pour une République Numérique. Définitivement adopté par le Parlement le 28 septembre dernier, la loi pour une République Numérique a été publiée au Journal officiel du samedi 8 octobre.
Ce texte prévoit de nombreuses mesures indispensables au fonctionnement d´une société numérique et, dans son article 30, nous intéresse plus particulièrement. Cette mesure concerne en effet les écrits scientifiques et elle est entrée en vigueur dès le 9 octobre. Vous êtes concernés si : Un guide de l'Open Access à destination du grand public.
Répertoire des dépots de thèses, mémoires et archives ouvertes. Accueil > Formations et ressources > Liste des répertoires > Répertoire des dépots de thèses, mémoires et archives ouvertes Archives francophones de documents académiques en texte intégral 7052 rue Des Brumes Québec Qc CanadaG2C 1P6 Les nouvelles technologies sont pleinement entrées dans le monde universitaire.
La production intellectuelle universitaire est devenue accessible en format numérique et les universités, en tant que lieux de production du savoir, deviennent des «cyber-éditeurs». Archives ouvertes et licences Creative Commons : des synergies à conforter. En décembre dernier, une journée d’étude a eu lieu au CNRS à Paris pour célébrer les 10 ans de l’archive ouverte HAL-SHS.
On m’avait demandé d’intervenir à la table-ronde juridique de la matinée pour faire une présentation sur l’utilisation des licences Creative Commons dans le cadre des archives ouvertes. J’avais déjà eu l’occasion d’écrire sur ce blog à propos des liens entre licences libres et Open Access, mais cette invitation au CNRS m’a permis de refaire un point sur la question. A la demande des organisateurs de la journée, je publie ci-dessous une synthèse de mon allocution, remise en forme et détaillée à partir de mes notes. Une des nouveautés importantes de la v3 du portail HAL mise en production l’année dernière a justement consisté à permettre aux chercheurs d’associer clairement aux contenus qu’ils déposent sur la plateforme une licence Creative Commons pour en favoriser la réutilisation.
Un point sur l’adoption des licences Creative Commons La vérité est plus nuancée. Hypothèses, une plateforme plurilingue pour le blogging scientifique – L’Édition électronique ouverte. Nous reproduisons ici le texte présenté par Delphine Cavallo, responsable du pôle information scientifique, au colloque annuel de l’Agence universitaire de la francophonie 2015, qui avait pour thème « L’université en contexte plurilingue dans la dynamique numérique ».
L’objet de cet article est de montrer, à partir de l’expérience d’une plateforme de blogging scientifique, comment les nouveaux modes de communication scientifique permettent de penser techniquement et éditorialement le plurilinguisme dans la recherche. Pour ce faire, je m’appuierai sur l’exemple d’Hypothèses, plateforme de carnets de recherche en sciences humaines et sociales créée et développée par le Centre pour l’édition électronique ouverte, à Marseille. Déposer dans HAL mode d’emploi.
L'archive ouverte HAL SHS, comment ça marche ? Open access et SHS : Controverses. Vademecum pour déposer dans HAL. Inciter à la publication sur HAL. Nouveautés sur la V3 de Hal et quid du responsable de collection. Le gestionnaire de collection (tamponneur) peut tamponner/ détamponner des dépôts, personnaliser le site de sa collection, voir les statistiques de sa collection, mais ne peut pas intervenir sur les dépôts tamponnés dans sa collection.Le référent laboratoire peut intervenir sur tous les dépôts dont au moins un des auteurs est affecté à ce laboratoire Dans le cas d’une collection basée sur l’appartenance à un laboratoire, ces deux rôles se confondent souvent, car les dépôts ont normalement au moins un de leurs auteurs affecté au laboratoire, mais ce n’est pas forcément le cas pour d’autres types de collections.
Voir la présentation de Bénédicte Kuntziger, responsable des formations au CCSD, sur la nouvelle version de HAL (Urfist Toulouse, juin 2014): Imprimer ce billet Etiquettes: collection HAL, HAL, référents HAL. Valoriser vos travaux scientifiques : l'archive ouverte pluridisciplinaire HAL / Françoise Gouzi - Université Toulouse Jean Jaurès (Toulouse II-le Mirail) Sur les archives ouvertes et leur non-usage par de jeunes docteurs. 26 mai 2011 J’ai participé récemment un comité de sélection pour un poste de maître de conférences.
J’y ai fait la désagréable expérience de devoir assumer une décision lourde de conséquences pour le candidat retenu, les candidats écartés ainsi que pour l’université et les collègues du département concernés, sans oublier des générations d’étudiants à venir, dans une méconnaissance assez troublante des productions scientifiques des candidats. En effet, leurs travaux n’ont été communiqués, uniquement sous forme électronioque, que 3 jours (dont un week end au programme bien rempli) avant les auditions.
Un temps évidemment tout à fait insuffisant pour se faire une idée précise de leur qualité, même si on peut glaner ici et là des indices. Libre accès et cultures disciplinaires. A l’occasion de semaine mondiale de l’Open Access, l’ensemble des universités de Lyon ont proposé une table ronde le 17 Octobre 2014 “Publier en libre accès, quelles opportunités pour les chercheurs et la diffusion des savoirs ?”.
Cette matinée a été animée par Eric Verdeil. qui a rappelé que le libre accès recouvrait plusieurs réalités : la voie verte (publication dans les archives ouvertes), la voie dorée (publication dans des revues en libre accès) et de nombreuses voies hybrides. Connaître les Archives Ouvertes. Certains droits réservés par opensourceway Les Archives Ouvertes désignent des réservoirs où sont déposées, sous forme électronique et en accès libre, les publications et dans certains cas les données de la recherche scientifique.
Archives Ouvertes. Quelques sites à connaitre Les archives ouvertes (Open access) sont des entrepôts de données issues de la recherche scientifique dont l’accès est ouvert, mais dont les contenus sont soit libres de droit (creative commons) soit sous un des régimes de propriété intellectuelle.
(wikipédia). Hyper Articles en Ligne HAL est une plateforme commune aux instituts de recherches, grandes écoles et universités françaises. Les documents sont déposés sur une base maintenue par le CCSD (Centre pour la communication scientifique directe), organe du CNRS. MédiHAL MédiHAL est une archive ouverte d’images et de photographies scientifiques en libre accès portée par le CNRS et ouverte le 3 février 2010.