Pourquoi on ne doit plus parler de dysphasie ? Si je vous demandais des mots clés au sujet de la dysphasie, si vous êtes orthophoniste, vous me parleriez "déviance", "persistance", "structurel", "différent d'un retard de langage", "sévère"… Et c'est normal car dans les pays francophones, la conception des problèmes de langage en est restée là.
C'est ce qui est raconté dans les formations initiales et continues. On dit que le retard de langage est moins sévère et qu'il n'est pas déviant et aussi qu'il ne persiste pas... Enfin, pas vraiment parce qu'on dit qu'il y a des gros retards de langage, qui persistent, comme les dysphasies. On dit que dans ce cas-là, ce qui est différent, c'est la déviance. Pour ne pas froisser les francophones, même les chercheurs distinguent les deux conceptions : celle des francophones et celle des anglophones.
Alors ils disent quoi eux les anglophones ? Ils n'emploient plus le terme de déviance, leurs late talkers (parleurs tardifs) sont jeunes (avant 3-4 ans). Dossier EPS et ASH - DSDEN Nord. Des fiches en Facile à lire et à comprendre sur les aides et les démarches pour informer les personnes handicapées. La méthode « facile à lire et à comprendre » élaborée dans le cadre du projet européen Pathways est portée en France par l’Unapei et l’association Nous Aussi.
Elle propose des règlespour aider les rédacteurs de documents à rendre l’information facile à lire et à comprendre pour les personnes déficientes intellectuelles. L’objectif consiste à rendre les personnes déficientes intellectuelles plus autonomes dans leurs démarches grâce à une meilleure compréhension de l’information. L’information rédigée en facile à lire et à comprendre est par ailleurs utile pour les personnes maîtrisant mal le français. Un kit pour mieux comprendre ses droits Pour appuyer les maisons départementales des personnes handicapées (MDPH ) dans leur mission d’information sur les droits des personnes en situation de handicap, la CNSA met à disposition ce kit d’information à télécharger sur le site internet de la CNSA.
D’autres fiches viendront compléter le kit au fil des mois. Parcours d’inclusion en maternelle. Portraits de jeunes enfants en situation de handicap. Dys : handicap ou pas. Par Christophe CHAUCHÉ, Dyslexique, Dysphasique, Dyspraxique Extrait du livre Aide aux Dys Chaque personne, chaque situation sont différentes.
Et chaque trouble de l’apprentissage s’exprime de façon différente d’un individu à l’autre. Sibylle Gonzalez-Monge nous expliquera dans ce livre les origines des troubles de l’apprentissage et les démarches permettant de construire un diagnostic pluridisciplinaire afin d’ajuster les soins au trouble et à sa sévérité. Mais nous pouvons d’ores et déjà affirmer qu’il s’agit de handicaps invisibles.
Quand nous utilisons le mot handicap, nous y réagissons dans le même temps en fonction des représentations sociales, stéréotypes et préjugés avec lesquels nous avons été en contact ou bien qui sont les nôtres. Quelles sont les idées reçues et les représentations que nous avons sur le handicap ?
La notion d'inclusion. Troubles des apprentissages. Troubles du spectre autistique. Déficience visuelle. Inspections ASH. Compétences sociales. Communication alternative et/ou augmentée. Présenter le handicap aux élèves. Autour du Capash. Autour du trouble déficitaire de l'attention avec ou sans hyperactivité.