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DES RÉFLEXIONS SUR LA LIBERTÉ

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La Cour suprême américaine réaffirme avec force le droit à l'avortement. Cet arrêt représente une victoire emblématique pour les militants du droit à l'avortement, en pleine année électorale.

La Cour suprême américaine réaffirme avec force le droit à l'avortement

La décision pourrait en outre avoir des répercussions dans d'autres États qui ont adopté des lois similaires à celles du Texas. Lundi, les juges se sont prononcés à cinq contre trois en faveur des cliniques qui contestaient des dispositions de la loi texane encadrant les services d'avortement. Les cliniques soutenaient que ces dispositions étaient en réalité des tentatives à peine voilées de l'État de compliquer l'accès à l'avortement. Le juge Stephen Breyers a expliqué que la Cour ne croyait pas que les mesures adoptées par le Texas pour encadrer les services dispensés par les cliniques d'avortement étaient justifiées du point de vue médical. Il a ajouté que ces dispositions de la loi texane limitaient en fait l'accès des femmes aux services d'interruption de grossesse et qu'elles n'étaient pas non plus défendables du point de vue constitutionnel.

Transgenre, une réalité incomprise. Vivre en troupeau en se pensant libres, par Dany-Robert Dufour (Le Monde diplomatique, janvier 2008) L’individualisme n’est pas la maladie de notre époque, c’est l’égoïsme, ce self love, cher à Adam Smith, chanté par toute la pensée libérale.

Vivre en troupeau en se pensant libres, par Dany-Robert Dufour (Le Monde diplomatique, janvier 2008)

L’époque est à la promotion de l’égoïsme, la production d’ego d’autant plus aveugles ou aveuglés qu’ils ne s’aperçoivent pas combien ils peuvent être enrôlés dans des ensembles massifiés. Et c’est bien d’ego qu’il s’agit, puisque les gens se croient égaux alors qu’en réalité ils sont passés sous le contrôle de ce qu’il faut bien appeler le « troupeau ». Celui des consommateurs, en l’occurrence. Vivre en troupeau en affectant d’être libre ne témoigne de rien d’autre que d’un rapport à soi catastrophiquement aliéné, dans la mesure où cela suppose d’avoir érigé en règle de vie un rapport mensonger à soi-même.

Michel Foucault. Born in Poitiers, France to an upper-middle-class family, Foucault was educated at the Lycée Henri-IV and then the École Normale Supérieure, where he developed an interest in philosophy and came under the influence of his tutors Jean Hyppolite and Louis Althusser.

Michel Foucault

After several years as a cultural diplomat abroad, he returned to France and published his first major book, The History of Madness. After obtaining work between 1960 and 1966 at the University of Clermont-Ferrand, he produced two more significant publications, The Birth of the Clinic and The Order of Things, which displayed his increasing involvement with structuralism, a theoretical movement in social anthropology from which he later distanced himself. These first three histories were examples of a historiographical technique Foucault was developing which he called "archaeology". Early life[edit] Youth: 1926–1946[edit] Se faire violence pour mourir dans la dignité, la troublante histoire de Jean  Un texte de Renée Dumais-Beaudoin Une grève de la faim aura été nécessaire pour que Jean réponde à cette loi.

Se faire violence pour mourir dans la dignité, la troublante histoire de Jean 

Vivre seul en forêt : le choix de René Dugas. Un reportage de Roxanne Simard Quitter la ville pour aller vivre seul en pleine forêt, c'est le choix qu'a fait René Dugas, un passionné de la nature, qui vit isolé au nord de Baie-Comeau depuis près de 20 ans.

Vivre seul en forêt : le choix de René Dugas

Un texte de Roxanne Simard. Seuls, ensemble. Cette semaine, la réalisatrice Sophie Lambert a présenté la version finale de son documentaire L’amour au temps du numérique (qui sera présenté lundi et mardi prochain, à 21 h, à Télé-Québec) aux six jeunes du millénaire qu’elle a suivis dans leur quête amoureuse.

Seuls, ensemble

Elle était très nerveuse. Nerveuse, car les producteurs qui ont visionné le document ont été choqués par leurs confidences et l’authenticité avec laquelle ils se dévoilaient. « Ils trouvaient que ce que je montrais, ça n’avait pas de bon sens », confie Sophie, accroupie sur un divan, avant son cours de yoga chaud. Pourtant, quand sa gang a terminé de regarder le 2e épisode, elle s’est tournée vers la réalisatrice.

Les jeunes ne voyaient pas où était le problème. « Ben, c’est nous, ça. » Pour les X, les boomers — et même quelques Y — ce documentaire révèle un véritable choc générationnel. Réalité démaquillée Leur vision de l’amour, c’est une vision de sexe. Les « unschoolers », ces enfants qui ne vont pas à l'école. Un reportage de Laurence Martin et Valérie Ouellet Vendredi pluvieux chez la famille Dubien, quelque part à la campagne près de North Bay, en Ontario.

Les « unschoolers », ces enfants qui ne vont pas à l'école

Assise à la table de la cuisine, Zoéanne, 5 ans, dessine des formes qui ressemblent à des lettres, dans un petit carnet. Son frère Justin, 10 ans, vient s’asseoir près d’elle et se met à fredonner des lettres de l’alphabet pour l’aider : « A-B-C….» Au sous-sol, Mathieu, 15 ans, interprète au piano la trame sonore d’un film japonais, pendant que son grand frère Alexandre s’adonne à sa passion : la peinture. Concentré devant un jeu de société, Zavier passe presque inaperçu tellement il est silencieux. Dans la cuisine, Lynn prépare le repas, pendant que ses cinq enfants apprennent ce qu’ils veulent, quand ils le veulent. Bienvenue dans le monde du unschooling ou de la non-scolarisation, une façon d’apprendre centrée sur les désirs de l’enfant.

Lynn aide son fils Justin à trouver de l’information sur les Jeux olympiques. Le parent comme guide.

VIE PRIVEE ET VIE PUBLIQUE

MOTIFS QUI FONDENT DES CHOIX. TYPES DE LIBERTÉ.