Babylone. Enuma Elish. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Enuma Elish ( en akkadien) est l'épopée babylonienne de la création du monde. Signifiant littéralement Lorsqu'en haut, selon ses premiers mots, l'Enuma Elish célèbre à travers sept tablettes la gloire du dieu Mardouk et raconte son ascension vers la souveraineté du panthéon babylonien. Le texte fut découvert au XIXe siècle sous forme de fragments dans les ruines de la bibliothèque d'Assurbanipal à Ninive, ville proche de l'actuelle Mossoul, en Irak. La plus grande partie de la cinquième tablette n'a jamais pu être retrouvée. Le poème a probablement été composé à la fin du XIIe siècle av. Babylonien (langue) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Le babylonien est la dénomination par laquelle on désigne un dialecte de l'akkadien, parlé en Babylonie à partir du début du IIe millénaire av. J. -C., et qui est pendant longtemps la langue littéraire et diplomatique par excellence du Proche-Orient. Le babylonien parmi les langues sémitiques de l'antiquité[Quand ?].
L'histoire de la langue babylonienne est découpée en quatre grandes périodes : paléo-babylonien, parlé dans la première moitié du IIe millénaire av. Le médio-babylonien est la langue écrite dans les textes de la Babylonie kassite (1595-1155), et des dynasties de la fin du IIe millénaire dans le sud mésopotamien. Le néo-babylonien est écrit en Babylonie dans la première moitié du Ier millénaire av. C’est le dernier état de la langue akkadienne attesté, à une époque où cette langue n‘est plus beaucoup parlée, s‘étant faite supplanter par l‘araméen. Souverains de Babylone.
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Sauf précision contraire, les dates de cette page sont sous-entendues « avant Jésus-Christ ». Ceci est la liste des souverains de Babylone. Première dynastie de Babylone : la dynastie amorrite[modifier | modifier le code] 1894-1881 : Sumu-abum1881-1845 : Sumu-la-El1845-1831 : Sabium1831-1813 : Apil-Sîn1813-1793 : Sîn-Muballit1793-1750 : Hammurabi1750-1712 : Samsu-iluna1712-1684 : Abi-eshuh1684-1647 : Ammi-ditana1647-1626 : Ammi-saduqa1626-1595 : Samsu-ditana Troisième dynastie de Babylone : la dynastie kassite[modifier | modifier le code] IVe dynastie : Seconde dynastie d'Isin (1157/1025 av. Nabonide. Les mythiques jardins suspendus de Babylone auraient bien existé... mais ailleurs. L'emplacement de l'une des sept merveilles de l'Antiquité est purement et simplement remis en question par une universitaire britannique, rapporte le Guardian.
Les mythiques jardins suspendus supposés dominer Babylone restaient en partie un mystère, puisque les archéologues n'avaient jamais réussi à en trouver la trace, conduisant certains à douter de leur existence même. Après dix-huit années de recherches, Stephanie Dalley, de l'université d'Oxford, pense avoir rassemblé suffisamment de preuves pour conclure que ces fabuleux jardins avaient en fait été construits à Ninive, à presque 500 km au nord de Babylone, au début du VIIe siècle av. J. -C. Un écart de localisation qui redistribue quelque peu les forces en présence, puisque Ninive se situait du côté des Assyriens, dans le nord de la Mésopotamie, et non chez les Babyloniens, plus au sud, leurs ennemis jurés - les deux territoires se trouvant dans l'actuel Irak.
ANU. Anu est le nom sémitisé du dieu sumérien An ; l'idéogramme qui le désigne signifie simultanément « ciel » et « dieu », en général.
Dans le partage tripartite du monde, Anu règne par excellence sur les cieux. Il occupe, à ce titre, le sommet du panthéon classique babylonien. Environ quatre-vingts divinités composent sa famille et sa domesticité. Le nombre qui le symbolise — soixante — est, dans le système sexagésimal, à la fois le plus élevé et le plus parfait. Son épouse est, en principe, Antu, mais c'est Ki, la Terre, dans la tradition sumérienne ; de ce couple naquirent les démons et la troupe indistincte des dieux Annunaki. Ses titres les plus fréquents sont : « roi des cieux », « roi » ou « père des dieux ». La position suprême d'Anu contraste étrangement avec sa passivité et son succès limité. Astronomie babylonienne. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
L’astronomie babylonienne désigne les théories et les méthodes astronomiques développées dans l’ancienne Mésopotamie, le « pays entre les deux rivières » Tigre et Euphrate (dans l’Irak actuel), et où s'épanouirent les royaumes de Sumer, d’Akkad, de Babylonie et de Chaldée. L’astronomie babylonienne est à la source des traditions ultérieures de l'astronomie grecque et hellénistique, de l’astronomie indienne classique, de celles des Sassanides, des Byzantins et des Syriens, de l’astronomie médiévale des Musulmans et des Européens[1]. Jardins suspendus de Babylone. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Les jardins suspendus de Babylone sont un édifice antique, considéré comme une des sept merveilles du monde antique. Les mythiques jardins suspendus de Babylone auraient bien existé... mais ailleurs. Mésopotamie (Iraq): Les jardins de Babel (documentaire) Babylone (symbole) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Babylone était une ville antique de Mésopotamie (actuel Irak). Une forte valeur symbolique a été attachée à cette grande capitale au fil des temps. Babylone. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Babylone occupe une place à part en raison du mythe qu'elle est progressivement devenue après son déclin et son abandon qui a lieu dans les premiers siècles de notre ère. Ce mythe est porté par plusieurs récits bibliques et également par ceux des auteurs gréco-romains qui l'ont décrite et ont ainsi assuré une longue postérité à cette ville, mais souvent sous un jour négatif. Son site, dont l'emplacement n'a jamais été oublié, n'a fait l'objet de fouilles importantes qu'au début du XXe siècle sous la direction de l'archéologue allemand Robert Koldewey, qui a exhumé ses monuments principaux.
Depuis, l'importante documentation archéologique et épigraphique mise au jour dans la ville, complétée par des informations provenant d'autres sites antiques ayant eu un rapport avec Babylone, a permis de donner une représentation plus précise de l'ancienne ville, au-delà des mythes. La redécouverte de Babylone[modifier | modifier le code] Babylone (royaume) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. 1894 – 539 av.