Les résistantes dans les prisons de Vichy : l’exemple de la centrale de Rennes. 1 M.
Foucault, Surveiller et punir, naissance de la prison, Paris, Gallimard, 1975. 2 M. Perrot, Les ombres de l’histoire, crime et châtiment au xixe, Paris, Flammarion, 2001. 3 Cette étude est le mémoire d’un sous-directeur des services extérieurs à l’administration pénitent (...) 4 C. Carlier L’administration pénitentiaire et son personnel dans la France de l’entre-deux-guerres(...) 5 R. Badinter, La prison républicaine, Paris, Fayard, 1992. 6 D. Peschanski, C. 1Le champ pénitentiaire est un terrain d’études relativement récent pour la recherche historique. 8 Terme employé par Vichy et l’Administration pénitentiaire par distinction avec les infractions de (...) 9 Y a-t-il traitement de la délinquance politique dans les prisons de Vichy ? 2Traiter des résistantes dans les prisons de Vichy renvoie à un double questionnement : quelle est la spécificité éventuelle de l’incarcération politique 8sous le gouvernement de l’État français et celle des structures carcérales pour femmes ?
17 C. Les femmes dans la Résistance française. Marie-Madeleine Fourcade. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Pour les articles homonymes, voir Fourcade. Marie-Madeleine Fourcade, née à Marseille le 8 novembre 1909 et morte le 20 juillet 1989 à Paris, a été, pendant la Seconde Guerre mondiale en France, responsable de l'un des plus importants réseaux de résistance ayant agi pour les Britanniques (MI6). §Avant-guerre[modifier | modifier le code] « Rien dans le parcours de cette jeune femme de la haute bourgeoisie, élevée au couvent des Oiseaux et pianiste avertie, ne préfigure un tel destin », écrit l'historien Max Lagarrigue[2]. Née Marie-Madeleine Bridou, elle est mariée avant sa majorité au colonel Édouard Méric.
En 1936, elle rencontre deux camarades de son beau-frère, officier supérieur, Georges Loustaunau-Lacau et Charles de Gaulle. §La Résistance[modifier | modifier le code] Elle prend en 1941 la tête du réseau dont le commandant Léon Faye est le chef militaire. Dissertations gratuites sur Resistance Des Femmes. Lucie Aubrac. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Lucie Aubrac Lucie Aubrac, à son domicile parisien en mai 2003. Lucie Aubrac (Lucie Samuel, née Bernard), née le 29 juin 1912 à Paris[1] de parents originaires de Saône-et-Loire, morte le 14 mars 2007 à Issy-les-Moulineaux (Hauts-de-Seine), est une résistante française à l'Occupation allemande et au régime de Vichy pendant la Seconde Guerre mondiale. Elle est l'épouse de Raymond Aubrac. Formation et itinéraire avant le début de la Résistance[modifier | modifier le code] Parallèlement à ses activités au Cercle, Lucie milite ardemment aux Jeunesses communistes (JC) . « J'ai adhéré aux Jeunesses en 1932. Avec son statut de professeur agrégé, Lucie met un terme à la vie de privations qui aura été son lot de 1930 à 1938[10].
Andrée De Jongh. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Andrée Eugénie Adrienne De Jongh (surnommée « Dédée »), qui deviendra après la guerre la comtesse Andrée De Jongh, est née le 30 novembre 1916 à Schaerbeek en Belgique et morte le 13 octobre 2007[2] aux cliniques universitaires Saint-Luc à Woluwe-Saint-Lambert. Avec la Française Marie-Madeleine Fourcade, elle est l’une des très rares femmes chefs de réseau de résistance[3]. Biographie[modifier | modifier le code] Jeunesse[modifier | modifier le code] La Maison d'Andrée De Jongh à Schaerbeek Le réseau Comète[modifier | modifier le code] Lors de l'invasion de la Belgique par les troupes allemandes en 1940, elle quitte son travail à Malmedy et revient à Bruxelles pour tout d'abord travailler pour la Croix-rouge de Bruxelles. Le premier réseau dans lequel elle s'est impliquée ayant été détruit par la police militaire allemande, elle décide avec Arnold Deppé de créer une filière d'évasion vers l'Espagne. Femmes dans la Résistance intérieure française.
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Une résistante armée, près de Chartres, en août 1944. Les femmes dans la Résistance intérieure française ont joué un rôle important dans le contexte de l'occupation du pays pendant la Seconde Guerre mondiale. Histoire[modifier | modifier le code] Effectifs et positions hiérarchiques[modifier | modifier le code] Moins nombreuses que les hommes, les femmes représentent 15 à 20 % des résistants et environ 15 % des déportés politiques (Danielle Casanova, Lise London, Marie-Claude Vaillant-Couturier, Charlotte Delbo, Germaine Tillion, Touty Hiltermann, Geneviève de Gaulle-Anthonioz, Yvonne Pagniez, Denise Vernay, Anise Postel-Vinay, Jacqueline Pery d'Alincourt, Gilberte Brossolette, Jeanne Goupille (Indre-et-Loire), Ginette Lion-Clément, etc.). Elles sont le plus souvent cantonnées à des rôles subalternes. Sœur Hélène Studler.