Front populaire - Google-Images. Fiche brevet : résumé la France des années 1930 - Site du Collège Georges Brassens Podensac. I La France face à la crise 1/ La République après la guerre La France a beaucoup souffert de la Première Guerre mondiale ( immigration de 2 millions de Belges, Polonais, Italiens).
Les Français sont pacifistes et pour la République. Extrême gauche (communistes) et extrême droite (ligues nationalistes et antisémites) sont minoritaires. IIIeme République est née en 1875. Gauche : radicaux + SFIO + parti communiste (PCF né en 1920 au congrès de Tours). 2/ Les crises des années 30. Résumé Histoire Première : le front populaire. Le front populaire La mise en place du "ministère des masses".
Le front populaire remporte les élections de 1936 avec une avance légère en voix sur la droite mais plus importante en sièges, car la discipline a bien joué à gauche à l'occasion du deuxième tour. Le rapport de force au sein de la gauche est modifié. Les communistes progressent fortement. Léon Blum et le Front Populaire face aux attaques antisémites. Contexte historique Le Front populaire : un gouvernement contesté Avril 1936 : au grand dam des ligues d’extrême droite, le Front populaire remporte les élections, et la France se donne un gouvernement de gauche (socialistes de la S.F.I.O. et radicaux soutenus par le P.C.) : Léon Blum devient président du Conseil.
Le pays est confronté à une situation extérieure menaçante : les régimes fasciste et nazi en Italie et en Allemagne sont bien implantés, et le commencement de la guerre civile en Espagne suscite la crainte d’une généralisation du conflit. Cependant la seule diplomatie ne peut expliquer l’état de fragilité de la République française en 1936. En effet, la crise des années 1930 a dévoilé les nombreuses divisions de la société que l’Union sacrée et les années folles étaient parvenues à masquer sans toutefois les effacer totalement. Parmi ces fortes dissensions, l’antisémitisme est un élément majeur. Analyse de l'image. Léon Blum. Dirigeant de la Section française de l'Internationale ouvrière (SFIO), il refuse en 1920 l'adhésion à la Troisième Internationale communiste.
Biographie[modifier | modifier le code] Léon Blum (au centre, en costume sombre) entouré de ses frères, vers 1890. Jeunesse[modifier | modifier le code] Origines familiales et formation[modifier | modifier le code] À partir de 1876, aux côtés de Lucien, il fait une scolarité primaire comme interne dans différentes institutions (pensions Roux, rue d'Aboukir ; pension Pignerol). Gouvernement Léon Blum (1) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Michel Margairaz, « Les socialistes face à l'économie et à la société en juin 1936 », Le Mouvement social, Paris, Éditions ouvrières, no 93, , p. 87-108 (lire en ligne [archive]). (en) Irwin M. Le Front Populaire sauve la République. Front populaire. L'expérience du Front populaire. Le Front populaire évoque les premiers congés payés, c'est-à-dire les premières vacances au bord de la mer, à la campagne, en tandem et en camping.
C'est pourtant d'abord une alliance politique entre socialistes, radicaux et communistes. À partir de mai 1936, le Front populaire tente de juguler la crise économique. Il démissionne un an plus tard. Comment expliquer ce relatif échec ? Cours de Histoire-géographie 3e - La France du Front populaire. Quelles sont les actions entreprises par le Front populaire pour lutter contre la crise ?
1. Premières vacances des français 1936 Les congés payés. Front Populaire 2: la victoire et les réformes. SJE. Les années 1930 : le Front populaire en France - Réviser une notion - Histoire. Le Front populaire évoque les premiers congés payés, mais c'est avant tout une alliance politique entre socialistes, radicaux et communistes ; une coalition qui, à partir de mai 1936, tente de juguler la crise économique, et démissionne un an plus tard.
Comment expliquer cet échec relatif ? Les espoirs déçus du Front populaire. 1936 : lois sociales du Front Populaire. En juin 1936, le gouvernement du Front Populaire, dirigé par Léon Blum, adopte de grandes mesures sociales qui vont changer la vie des Français.
Qu'est-ce que le Front Populaire ? Le Front Populaire, en France, désigne l'alliance gouvernementale des partis de gauche (socialiste, communiste, radical) mise en place pour les élections législatives de 1936. Cette alliance est née aux lendemains du 6 février 1934 rassemblant toute la gauche (partis, syndicats, intellectuels) contre la menace des ligues d'extrême-droite, sous le nom de Rassemblement populaire. Sur la photographie illustrant la victoire électorale, on distingue de gauche à droite Léon Blum (SFIO, socialiste, qui devient président du conseil), Edouard Daladier (au second plan, roulant une cigarette, parti radical, ministre de la Défense), Maurice Thorez (parti communiste) et Roger Salengro (SFIO, ministre de l'Intérieur).
Quelles sont les grandes mesures sociales ? FRONT POPULAIRE. Front populaire - Google-Images. 3 mai 1936 - Un Front populaire en France. Le 3 mai 1936 a lieu en France le deuxième tour des élections législatives.
Le scrutin donne la majorité à une coalition de gauche, le Front populaire, conduite par un chef charismatique, le socialiste Léon Blum (64 ans). Une victoire longtemps attendue Le Front populaire est une alliance électorale conclue deux ans plus tôt par les trois grands partis de gauche : le parti communiste de Maurice Thorez, le parti socialiste de Léon Blum et, plus près du centre, le parti radical-socialiste d'Édouard Daladier. Sa victoire soulève dans les classes populaires un espoir d'autant plus grand que le pays est tétanisé depuis plusieurs années déjà par la crise économique dérivée du krach de Wall Street de 1929. À peine le gouvernement est-il installé que se multiplient dans tout le pays les grèves et les occupations d'usines, de chantiers et de magasins, dans l'espoir d'un renversement du système capitaliste.
Ces grèves sur le tas gagnent très vite l'ensemble du secteur privé. Réformes tambour battant. Front populaire (France) C'est en réaction à la journée d'émeutes menée le 6 février 1934 par les ligues (Action française, Jeunesses patriotes, etc.) que les partis de gauche décident de s'unir contre « le danger fasciste » et les tentatives de l'extrême droite pour établir en France un régime dictatorial équivalent à l'Italie fasciste[3].
Dès le 12 février 1934, un mouvement en faveur d'une unité d'action se dessine lors des manifestations de rue à Paris et en province[4]. Pourtant, le 6 février déclenchera une dynamique qui l'emportera peu à peu sur les querelles d'appareil[réf. nécessaire]. Au lendemain de cette journée, plusieurs comités antifascistes se forment, comprenant des socialistes, des radicaux et des représentants de divers groupes de gauche, mais jamais de communistes. Les clivages idéologiques persistent. Ce que fut le front populaire.