Graphène, tout faire.. en mieux. Ultra fine, légère, solide, transparente, flexible, étanche : cette structure chimique a de quoi bouleverser toutes les industries.
Imaginez un matériau un million de fois plus fin qu'un cheveu, meilleur conducteur que le silicium, 200 fois plus solide que l'acier tout en restant flexible, quasi transparent et parfaitement étanche à n'importe quel gaz. Ce matériau, c'est... votre mine de crayon. Ou presque. Car le graphène, dont il s'agit, est comme le graphite des mines composé entièrement d'atomes de carbone. Mais il en possède une seule couche, agencés en un réseau hexagonal. Un million de fois plus fin qu'un cheveu et 200 fois plus solide que l'acier Cet étonnant matériau a été découvert en 2004 par deux chercheurs de l'université de Manchester (qui ont d'ailleurs obtenu le prix Nobel en 2010 pour leur découverte), en utilisant... un rouleau de scotch.
Cette découverte a immédiatement suscité un engouement mondial dans la communauté scientifique. Les quasicristaux non périodiques. Matériaux de découverte récente (1984), les quasicristaux à la structure ordonnée mais non périodique, pourraient permettre de mettre au point des superalliages d'aluminium dotés de propriétés exceptionnelles (résistance à l'usure, isolation thermique et électrique, ...).
Quasicristal Al-Cu-Fe Principe des quasi-cristauxLes quasi-cristaux sont des substances dont les atomes sont disposés de manière ordonnée (symétrie pentagonale), mais non périodique. Alors que les cristaux ont une structure périodique (la position des atomes se répétant de la même manière dans tout le matériau), la répartition des atomes dans les quasicristaux s'organise selon des clusters qui suivent une loi utilisant le nombre d'or (1.618033). La compréhension du mouvement très particulier des dislocations dans ces matériaux est un enjeu majeur pour la compréhension et la prédiction de leurs propriétés mécaniques. Isolant thermique et électrique bien que ce soit des alliages métalliquesExtrêmement durs. Aérogel, le composant d’avenir. L’évolution du monde est véloce et, sauf pour les experts, nous sommes loins de savoir comment il est possible de parvenir à un pareil déploiement de ressources pour que notre quotidien soit simple, innovant et pratique.
Mais il y a des matériaux qui risquent bien de se faire connaître pour leur potentiel à soutenir les besoins futurs. C’est le cas de l’aérogel, voire des aérogels, qui ne vont cesser de grimper en popularité durant la prochaine décennie. On peut chercher plus d’informations sur Internet, mais les articles le concernant sont très experts et pointus. A retenir que c’est un isolant exceptionnel. L’aérogel est une mousse solide mésoporeuse dérivée par le remplacement du composant liquide du gel par un gaz et est composée d’un réseau de nanostructures interconnectées avec une porosité minimale de 50%. Sinon, on peut déjà avoir un fascinant aperçu via les vidéos Youtube qui expliquent un bon nombre de ses propriétés. Néodyme. Très proche du praséodyme sous forme oxydée, le néodyme tient son nom de deux mots grecs, nêos et dîdymos (« nouveau » et « jumeau »), car les chimistes ont longtemps pensé que les deux oxydes ne formaient qu'un seul et même corps simple.
Il fait partie des terres rares. Généralités Symbole : NdNuméro atomique : 60Électrons par niveau d'énergie : 2, 8, 18, 22, 8, 2Masse atomique : 144,242 uIsotopes les plus stables : 142Nd stable avec 82 neutrons (27,13 %), 146Nd stable avec 86 neutrons (17,19 %), 143Nd stable avec 83 neutrons (12,18 %), 145Nd stable avec 85 neutrons (8,3 %), 148Nd stable avec 88 neutrons (5,76 %)Série : lanthanidesGroupe, période, bloc : L/A, 6, fDensité : 7,008Point de fusion : 1.016 °CPoint d'ébullition : 3.074 °C Historique du néodyme Le néodyme et le praséodyme ont été distingués (l'ensemble étant alors connu sous le nom de didymium) par von Welsbach en 1885. Propriétés du néodyme Utilisation du néodyme Effets du néodyme sur l’environnement Cela vous intéressera aussi.
Le TPU en impression 3D. Vantablack. Cet objet a été pulvérisé avec du Vantablack, le matériau le plus noir au monde.
Le résultat est impressionnant. Il ne s’agit pas d’un portail vers une autre dimension, et ce n’est pas un montage non plus. Il s’agit d’un objet physique bien réel, vaporisé avec du Vantablack : le matériau le plus noir jamais créé et connu. Le Vantablack a été inventé par des chercheurs britanniques en 2014. Puis, peu après, il a été déclaré comme étant le matériau le plus sombre jamais produit dans un laboratoire, capable d’absorber 99,96 % de la lumière ultraviolette, visible et infrarouge. Depuis ce moment-là, l’équipe derrière l’invention de Surrey NanoSystems, a encore réussi à augmenter sa « noirceur ». Les scientifiques ont souhaité rendre le Vantablack commercialisable, alors ils ont mis en place une forme de spray qui bloque 99,8 % de la lumière ultraviolette, visible et infrarouge : cela est suffisant pour donner à un objet tridimensionnel l’impression d’être strictement bidimensionnel.