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DARVO pour les manipulateurs. Tomber en amour avec une personne toxique peut arriver à n’importe qui. D’où l’importance de repérer les signes avant-coureurs chez nos partenaires afin de se protéger et d’éviter de souffrir. Voici la méthode DARVO, cette arme des manipulateurs dont il faut absolument se méfier. La méthode DARVO est utilisée par les mauvaises personnes afin de retourner la situation à leur avantage, au point de nous faire douter de notre propre vision des choses. En anglais, DARVO signifie «Deny, Attack, Reverse Victim and Offender», ce qui signifie «nier, attaquer, inverser la victime et l’agresseur». Cette technique de manipulation est très utilisée lors de violence conjugale, psychologique et/ou sexuelle, le but des prédateurs étant de se faire passer eux-mêmes pour les victimes.
Le but premier de cette stratégie est de détourner les accusations portées par les victimes et de leur nuire davantage. Sur internet Si vous avez besoin d’une aide immédiate, contactez le 9-1-1. Recommandé Par Amélie Cournoyer. Le «syndrome du nid vide» Pour nous soutenir, acceptez les cookies Cliquez sur "Accepter" pour consentir ou paramétrez vos choix. En cliquant sur "Continuer sans accepter", vous refusez tout dépôt de cookies sur votre terminal. Vous pouvez modifier vos préférences à tout moment sur notre site. Pour en savoir plus sur vos droits et nos pratiques en matière de cookies, consultez notre charte cookies. Avec nos partenaires, nous traitons les données suivantes :Données de géolocalisation précises et identification par analyse du terminal, Mettre en correspondance et combiner des sources de données hors ligne, Publicités et contenu personnalisés, mesure de performance des publicités et du contenu, données d’audience et développement de produit, Relier différents terminaux, Stocker et/ou accéder à des informations sur un terminal.
Validisme systémique. Qu’est-ce que le validisme systémique et comment impacte-t-il la vie des personnes handicapées ? C’est la question à laquelle répond l’activiste Marina Carlos dans « Je vais m’arranger » : comment le validisme impacte la vie des personnes handicapées. Quand l’intégralité d’un pays et d’une société est pensée et organisée par et pour des personnes valides en occultant la réalité des personnes handicapées, on parle d’une société validiste et de validisme systémique. C’est le sujet central du livre « Je vais m’arranger » : comment le validisme impacte la vie des personnes handicapées de Marina Carlos, activiste de 32 ans. Plus qu’un ouvrage militant, il permet à chacun et chacune de s’interroger sur sa propre responsabilité dans l’oppression validiste systémique !
« Je vais m’arranger », le livre de Marina Carlos sur le validisme Les personnes handicapées ? Le manque de représentation des personnes handicapées dans les médias You can’t be what you can’t see. La communication non violente (CNV) La Communication non violente (CNV) est une méthode visant à créer entre les êtres humains des relations fondées sur l’empathie, la compassion, la coopération harmonieuse et le respect de soi et des autres. Il s’agit d’un outil de communication, principalement verbal, qui peut servir à la résolution de conflits entre deux personnes ou au sein de groupes. La pratique de la Communication non violente permettrait également d’être en meilleure relation avec soi-même, de mieux comprendre ses besoins profonds et de prendre en charge, de manière autonome et responsable, les divers aspects de sa propre vie.
Il ne s’agit donc pas d’une thérapie, mais elle peut avoir des retombées thérapeutiques intéressantes. Les concepts et les techniques de la Communication non violente ont été mis au point, au milieu des années 1960, par Marshall B. Rosenberg, docteur en psychologie clinique. Ils font l’objet d’une marque déposée sous l’appellation Communication non violente (Nonviolent Communication).
Expérience de Stanford. Le 14 août 1971, 9 étudiants, tous volontaires, étaient interpelés chez eux par la police de Palo Alto, en Californie, pour être jetés dans une prison reconstituée au sein de l’Université de Stanford, et se prêter pendant 2 semaines à une expérience, avec 9 autres étudiants qui endossaient le rôle de gardiens, sous la tutelle du professeur Philip Zimbardo. Suite à des dérives violentes, l’expérience fut interrompue au bout de 6 jours.
Pour Zimbardo, la preuve était établie que c’est bien la prison qui créait l’oppression et la violence mais en 47 ans, l’expérience de Stanford a été vivement critiquée, jusqu’à aujourd’hui dans un nouvelle enquête. Expérience de Stanford : sommes-nous tous des bourreaux en puissance ? C’est le problème que nous allons tenter de résoudre dans l’heure qui vient. Le reportage du jour L’expérience de Stanford a été très critiquée pour ses méthodes et ses biais. Écouter 6 min Le fil de l'émission Les références musicales Le titre du jour : Echoes par Pink Floyd. L’expérience de Asch sur le conformisme.
J’aime beaucoup parler des travaux importants en sciences sociales, et notamment de toutes ces expériences qui nous démontrent combien nous pouvons être irrationnels ou influençables dans nos choix. Parmi les expériences classiques, celle réalisée par Solomon Asch dans les année 1950 est tout à fait perturbante. Elle nous montre en effet à quel point nous pouvons être sensibles à la pression d’un groupe, au point de faire des choix qui vont à l’encontre de l’évidence.
Une question pourtant simple Regardez l’image ci-contre. Elle représente une ligne sur la partie gauche, et sur la partie droite trois lignes notées A,B et C. Quand on réalise cette expérience en conditions normales, le taux de succès est supérieur à 99%. Pour réaliser l’expérience, on a convoqué des sujets en leur faisant croire qu’ils participaient à un test de perception visuelle. Mais ce que le sujet ne savait pas, c’est que les 7 autres membres du groupe étaient en fait des comédiens, complices de l’expérience !
Double contrainte, injonction paradoxal. Double-Contrainte (injonction paradoxale) : Ecole de Palo Alto - école de Palo-Alto, double contrainte et pathologies mentales des paysans 1) École de Palo-Alto L’École de Palo-Alto est un courant de pensée et de recherche ayant pris le nom de la ville de Palo Alto en Californie, à partir de 1950. On le cite en psychologie et psycho-sociologie ainsi qu’en sciences de l’information et de la communication. Ce courant est à l’origine du mouvement de la thérapie familiale et de la thérapie brève. Parmi les principaux fondateurs de ce courant, on trouve Gregory Bateson, Donald D. Jackson, John Weakland, Jay Haley et Paul Watzlawick. Bateson et son équipe lancent un pavé dans la mare de la psychiatrie, bousculent les modes de pensée traditionnels et jettent les bases de la psychologie moderne. 2) « Paradoxe » et « Double contrainte » Pour eux, « Le paradoxe est un modèle de communication qui mène à la double contrainte ».
Cette situation donne naissance à une volonté de fuite. 2.1 Définition 1.