Crèche intergénérationnelle. Un couloir qui serpente comme un ruisseau, des couleurs douces, un café offert aux parents en entrant… Bienvenue à La Ronde des âges, une crèche inaugurée il y a à peine un an, à Toulouse.
Si l’accueil de chacun y est très important, la particularité de cette crèche, gérée par la Mutualité française, réside dans une simple porte, située dans la cantine. Derrière cette porte, c’est l’établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad) de Saint-Simon. Un projet intergénérationnel réfléchi Directrice de la crèche qui accueille une cinquantaine de « petiots » (comme on dit dans le Sud-Ouest…), Audrey Poupin raconte : « Nous avons mis six mois à imaginer cette crèche intergénérationnelle avec l’équipe de la maison de retraite.
Nous avions une vision commune : enfants et personnes âgées sont deux publics intimement liés. Enfants et personnes âgées sont deux publics intimement liés. Des ateliers pensés pour chacun. Le concept de retraite Vill'âge bleu. Le nouveau concept Vill'âge bleu a fait l'objet d'une présentation officielle lors d'une réunion publique organisée par la Mutualité française et Orvitis.
La salle Gabin de l'espace Brassens était pratiquement comble : en effet, une soixantaine de personnes s'étaient déplacées pour venir découvrir cette opération. Pour faire simple, il s'agit de la mise à disposition de logements locatifs (du T2 au T3) pour les personnes âgées autonomes ou semi-autonomes. La particularité de ces habitations est qu'elles se veulent modernes, économiques et sécurisées, avec un parking par logement.
La présence d'un gardien “accompagnateur social” est d'ailleurs un des exemples du caractère sécurisant voulu par les concepteurs. Ces logements prennent place sur le site Libération, au premier et au deuxième étages des immeubles actuellement en cours de construction, juste au-dessus de la crèche qui occupera le rez-de-chaussée. Domicile ou maison de retraite ? Bien faire son choix. D’une enquête d’opinion à l’autre, le chiffre varie.
Pas la tendance : entre 8 Français sur 10 préfèrent rester chez eux, plutôt que d’aller s’installer en maison de retraite. Mais ce chiffre est un peu trompeur : les personnes âgées, comme leurs proches aidants, savent aussi que vivre dans un Ehpad ou une autre structure adaptée peut constituer la meilleure solution. Et elles ignorent souvent qu’il existe des solutions alternatives, ou progressives. Une personne de votre entourage commence à montrer des signes de perte d’autonomie ? La famille d'accueil, une alternative à la maison de retraite. La famille d'accueil, une alternative à la maison de retraite / iStock.com - Daisy-Daisy Un accompagnement au quotidien C'est le code de l'action sociale et de la famille qui réglemente la profession et les rapports entre la famille d'accueil et la personne hébergée.
L'agrément est délivré par le conseil départemental après enquête sociale pour une durée de 5 ans. Pour l'obtenir, l'accueillant familial doit mettre à disposition une chambre individuelle d'au moins 9m², des équipements adaptés au niveau d'autonomie de la personne accueillie ainsi qu'une salle d'eau et des toilettes, partagées ou privées. Familles d'accueil : hébergement à domicile. De plus en plus de personnes choisissent de devenir familles d'accueil pour personnes âgées ou handicapées.
Exemple avec Annie Ogor, à Capvern. À l'heure où les maisons de retraite ne peuvent plus faire face à la demande et où il faut patienter beaucoup, longtemps, avant de trouver une place pour un proche, l'alternative d'un hébergement chez des familles d'accueil trouve sa raison d'être et prend tout son sens. Après avoir tenu un café et travaillé comme auxiliaire de vie pendant des années, Annie Ogor, de Capvern, a décidé d'accueillir des personnes âgées à son domicile. «Je me suis donné les moyens de mes ambitions. Une plateforme des seniors en familles. La plateforme CetteFamille vient de lever 500 000 euros pour développer sa solution qui permet aux personnes âgées et handicapées d'échapper aux établissements médicalisés.
Plus de 1 000 familles d'accueil se sont déjà portées volontaires. Lorsque nos aînés deviennent trop âgés pour vivre seul, la seule solution semble souvent de les envoyer en maison de retraite ou en Ehpad (etablissement hospitalier pour personnes âgées dépendantes). Mais les places y sont rares et chères et l’attention portée aux résidents pas toujours suffisante… « Même s’il est bienveillant, le personnel est sous pression et n’a pas forcément le temps de s’occuper des résidents », confirme Agathe Pommery, cofondatrice de la plateforme CetteFamille. La bientraitance, fondement du label Humanitude. Le label Humanitude a été créé par l’association Asshumevie.
Il s’agit d’un label basé sur des techniques de bientraitance en faveur des seniors et autres personnes fragiles, atteintes de maladies cognitives. A qui ce label est-il destiné ? Quelles sont les démarches pour l’obtenir ? Retraités : Les Marpa pour des aînés sereins. Retraités réservé aux abonnés 28.05.18 retraite À la campagne aussi, vous pouvez trouver des solutions d’hébergement et des services pour les seniors.
Les maisons d’accueil et de résidence pour l’autonomie (Marpa) créées dans les années quatre-vingt à l’initiative des Aînés Ruraux et de la MSA, poursuivent leur développement. Elles sont aujourd’hui 200 Marpa dans 70 départements, accueillant 4 700 retraités dans les zones rurales... Vous avez parcouru 28% de l'article. La résidence Babayaga. Militante féministe, Thérèse Clerc avait fondé la Maison des Babayagas, résidence écologique autogérée réservée aux femmes âgées, ouverte en 2013 à Montreuil (93).
Atteinte d’un cancer, Thérèse Clerc est décédée ce mardi 16 février 2016, à 88 ans. En 2010, le magazine La Maison écologique avait rencontré Thérèse Clerc, qui partageait alors dans nos pages ses considérations aux résonances tellement actuelles aujourd’hui encore. En hommage à Thérèse Clerc, nous souhaitons partager avec vous cet article consacré à un lieu de vie partagé pour femmes âgées précurseur… et à une vision de la vie alliant solidarité, écologie, citoyenneté et autogestion. Les Babayagas, vieillir solidaire Un lieu de vie pour femmes « âgées » unique en France. Établies en Ile- de-France, les Babayagas partent ensemble dans une « colo » en Bourgogne. Dans la légende russe, l’ogresse Babayaga habite une maison en pain d’épice montée sur pieds de poules. Ni Dieu, ni maître.