Crème de sagou. Crème de sagou (dans laquelle baignent quelques morceaux de fruits au jus) : Le sagoutier est un palmier.
De son tronc on extrait une fécule alimentaire, le sagou. Dans ma tête le sagou était formé de petites billes qui se récoltaient sur ces palmiers dont j’ai déjà vu maints spécimens (du moins je le crois), mais j’apprends aujourd’hui, grâce à internet, après des années passées à manger de la crème de sagou, que ces petites « perles » sont fabriquées. On désapprend quelque chose tous les jours, ou presque.
Une « crème sagou » est à l’origine une crème ordinaire dans laquelle on rajoute ces petites billes blanches qu’est le sagou. Le Grand Larousse indique qu’en français le mot a été emprunté au portugais sagu, lui-même emprunté au malais sagu [je passe sur les diacritiques du sagou malais]. « Matière alimentaire farineuse préparée à partir de la moelle contenue dans le stipe des sagoutiers. » De quoi n’en toujours pas revenir… Addendum du 14 octobre 2009. Addendum du 18 octobre 2009.
Le tapioca du manioc. Par Baby moov Le tapioca est une fécule de manioc qui se présente sous la forme de petits billes.
La perle du Japon est couramment utilisée en Asie dans les préparations culinaires, notamment dans les desserts, mais également en occident dans les préparations pour bébé, en l’intégrant par exemple dans des bouillies salées ou sucrées. Les + du tapioca Après cuisson le tapioca a une texture gluante et donne de la consistance aux préparations culinaires sans toutefois les alourdir. Le goût du tapioca est plutôt neutre mais celui-ci possède l’avantage de s’imprègner facilement du goût des autres aliments. Enfin, petit plus intéressant, le tapioca est économique (une ou deux doses suffisent dans une préparation de petit pot pour bébé) et reste très bon marché (moins de 5€/Kg) et est disponible un peu partout : magasins d’alimentation bio, magasins asiatiques mais aussi en supermarchés au rayon des féculents.
Les avantages du tapioca dans l’alimentation de bébé Quand et comment le cuisiner ? Tortilla de tapioca. Nous vous proposons ce mois-ci une méthode d'extraction de l'amidon de manioc pour réaliser ensuite de délicieuses recettes maison !
Amidon de manioc : extraction faite maison 1- Laver et peler le manioc. 2- Couper le manioc en morceaux et, avec suffisamment d'eau pour faire marcher le mixeur, triturer le tout et passer au tamis fin. Ou : Si vous voulez vous exercer un peu plus, râper tout le manioc au lieu de le liquéfier (c'est la façon de faire la plus classique). Dans ce cas, ajouter de l'eau ensuite pour bien se débarrasser des fibres et extraire l'amidon. 3- Après que tout le manioc a été broyé, le passer par un tamis de coton si fin que toute la fibre est retenue et que le liquide obtenu a laissé passer tout l'amidon. Remarque : les fibres retenues dans le tamis peuvent être utilisées dans des pains, gâteaux, puddings. 4- Après environ 2 heures, l'amidon sera sédimenté. 5- Égoutter le liquide et mettre un linge propre et sec sur l'amidon pour pomper l'eau restante.
Ou Variations : Recette Chorba Frik, Soupe algérienne. La Chorba Frik est la traditionnelle soupe du Ramadan d'Algérie.
Elle se déguste à toutes les tables et tout le monde en raffole. Ingrédients: 400g de viande d'agneau - 1 verre de blé concassé - El frik2 tomates - 1 oignon - 1 à 2 cuillères à café de jus de tomate concentré - 1 poignée de pois chiches trempés la veille - 1 branche de céléri - 1 bouquet de coriandre - 1 petite cuillère à soupe de paprika - Persil - pour la décorationSel et poivre - Un peu de menthe - Huile - Eau - Instructions: La soupe est à déguster chaude dans des bols ou assiettes bien creuses.
Bonne Chorba ! Spécialités belges. Je vous ai déjà parlé de la Gaume, région de l’extrême sud de la Belgique, faisant partie – avec le Pays d’Arlon – de la Lorraine belge.
Cette région est notamment connue pour son climat particulier, plus doux que celui de l’Ardenne. Elle gagne aussi à être connue par sa tradition culinaire qui nous replonge dans des "recettes de grands-mères", ces plats si goûteux qui remplissaient toute la maison de leurs fumets durant des heures. Voici un recueil de recettes de cuisine gaumaise bien intéressant. On y découvre les traditions culinaires de cette région.
Comment se nourrissaient les Gaumais ? En général, les Gaumais faisaient cinq repas par jour. Les auteurs, Anne et Raymond Draize abordent non seulement les recettes de l’époque dans toutes leur variantes locales, mais aussi la description des condiments utilisés. A lire, vivre, préparer, humer et goûter ! Réf. Parmi ces plats traditionnels, il en est un que j'aime particulièrement et dont je vous livre ma recette : Le Cabu roussi Une astuce.