L’engagement des grandes entreprises pour les réfugiés. Les crises humanitaires associées à la politique sur l’immigration de Donald Trump ont donné un coup de fois sans précédent sur la conscience populaire autour de la question des réfugiés et de l’immigration illégale. « Il aura fallu un tweet pour secouer la planète business.
Quand le président américain brandit fièrement en janvier dernier son premier décret refusant l'accès aux Etats-Unis aux ressortissants de sept pays musulmans, Brian Chesky, le fondateur d'Airbnb, appelle son associé Joe Gebbia. Marketing & secteur caritatif. Dossier inédit sur marketing Professionnel : le marketing est-il soluble, adaptable, compatible avec le secteur caritatif ?
Nos interviewés marketeurs et fundraisers vous permettront de connaître… L’efficacité du marketing direct sur la cible des donateurs privés (individuels)Comment augmenter la part des dons générés via Internet et le rapport entre le digital et la cible « traditionnelle » des donateursLes principaux outils de marketing digital utilisés par les associations en matière de recrutement de donateurs individuelsComment mesurer l’efficacité des campagnes marketing et communication des associations caritatives et avec quels KPI Vous découvrirez aussi… Des OP marketing récentes, des business cases en matière de caritatifLes outils marketing que le secteur devra absolument maîtriser dans les trois ansLes réflexions menées par le secteur caritatif pour un passage au CRM.
Replacer la cohésion de ses salariés au cœur de ses préoccupations : une nécessité du monde digital ! Il n’y a pas si longtemps encore, le rassemblement autour des valeurs fortes de l’entreprise, la nécessité de créer des liens constructifs et durables entre tous les collaborateurs étaient propres aux grandes entreprises, appelées à maîtriser scrupuleusement leur image et leur réputation.
Mais depuis l’avènement des réseaux sociaux, toute entreprise, TPE, ETI comme PME, doit replacer la cohésion de ses salariés au cœur de ses préoccupations. Au risque de froisser son image et de voir la satisfaction de sa clientèle se dégrader. Les réseaux sociaux, garant de l’image de marque de l'entreprise Les réseaux sociaux, parallèlement aux nombreux avantages qu’ils apportent, sont souvent synonymes de crise au sein des entreprises.
Chacun est libre de communiquer ce que bon lui semble sur une marque et de propager l’information, véridique ou erronée, à une vitesse fulgurante et à un grand nombre d’internautes. La Banque alimentaire lance sa plateforme en ligne de dons de proximité. Elle devait être baptisée B.A Microdon.
DOSSIER : La RSE, c’est aussi une affaire de DAF ! Développement durable oblige, l’entreprise doit désormais intégrer les enjeux environnementaux et sociaux dans son business model.
Les parties prenantes (clients, fournisseurs, salariés, institutionnels…) et la réglementation l’exigent de plus en plus. Les enjeux liés à la RSE font donc partie des nouveaux risques à gérer pour le DAF. Il n’a plus d’autre choix que d’adapter son pilotage afin d’insérer ces informations extra-financières dans son tableau de bord. Les normes internationales du travail. Depuis 1919, grâce à sa structure tripartite qui réunit les gouvernements, les employeurs et les travailleurs de ses Etats membres, l’OIT a mis au point un système de normes internationales sous forme de conventions et de recommandations internationales.
Les conventions de l’OIT sont des traités internationaux soumis à la ratification des Etats membres de l’Organisation. The Business Case for B Corps, Part 2. The Role of Business in Collective Impact. Mentoring Benefits Youth and Business Alike. Entreprises : entre RSE et rémunération. Source : Pixabay, image libre de droits.
Le cabinet de conseil Sia Partners a souligné plusieurs pratiques des groupes du CAC 40 concernant leur RSE. Un article en ligne du journal Les Echos revient sur le rapport difficile entre rémunération et RSE. La RSE remonte « d’un niveau dans les organigrammes » Gmail - Free Storage and Email from Google. L’entreprise citoyenne : une question d’urgence. LE MONDE ECONOMIE | | Par André Coupet (Associé du cabinet de conseil en stratégie Paris Montreal Conseil) par André Coupet, associé du cabinet de conseil en stratégie Paris Montréal Conseil Le ministre de l’économie, Emmanuel Macron, et le premier ministre, Manuel Valls, déclarent volontiers qu’ils aiment l’entreprise.
Ils ont raison de nous rappeler que le produit intérieur brut (PIB) provient à 70 % de la valeur ajoutée des entreprises ; que les emplois et la croissance dépendent d’elles. Mais s’ils énonçaient clairement ce qu’ils souhaitent voir aujourd’hui derrière le mot entreprise, une entreprise pleinement responsable, assurément citoyenne, ils éviteraient le procès qu’on leur intente ces jours-ci de vouloir libéraliser pour libéraliser, et d’être confondus avec les partisans du néolibéralisme pur et dur tel que défini par Milton Friedman en 1985. «Pour un mécénat performant», Idées. Les centaines de millions de travailleurs ignorés des multinationales. Une étude réalisée pour le compte de la Confédération syndicale internationale (CSI), portant sur 50 multinationales américaines, européennes et asiatiques, estime que celles-ci emploient de fait, derrière les chiffres officiels, pas moins de 116 millions de personnes dans le monde entier.
Seulement 6% d’entre elles sont des salariés directs des entreprises concernées. Les 94% restantes sont reléguées dans la pénombre de leurs chaînes d’approvisionnement, parmi les fournisseurs et sous-traitants, souvent avec des salaires bien moindres et des conditions de travail au rabais. Avec environ 160 000 employés en France et 381 227 au niveau mondial, Carrefour est déjà l’un des plus importants employeurs privés de la planète. « Travailleurs invisibles » : Carrefour, Tesco et Walmart épinglés par la Confédération syndicale internationale. Par Mathieu Viviani Audits défaillants, bas salaires, mauvaises relations avec les syndicats locaux : la gestion de la chaîne de sous-traitance des géants mondiaux de la grande distribution Carrefour, Tesco et Walmart est loin d’être exemplaire.
Comment le Big Data peut rendre l'Entreprise plus Durable ? Le Big Data est probablement la prochaine révolution dans la gestion des entreprises. Collecter et utiliser les données au sein de systèmes intégrés intelligents, capables de faire des prédictions, de dégager des espaces d’optimisation : voilà l’idée du Big Data. Mais comment cela peut-il contribuer à rendre les entreprises plus durables ? Éléments de réponse. Une supply chain plus durable grâce au Big Data On sait qu’aujourd’hui, notamment pour les grandes entreprises, la supply chain est un élément crucial des politiques de développement durable. Dirigeant responsable : les conseils d’Henri Lachmann, RSE.