L'hydrogène natif, une nouvelle source d'énergie ? Vues des trous de sorcières, photos Eric Deville Lorsqu’ils sont partis, fin octobre 2010, vérifier les dires de leurs collègues russes, Alain Prinzhofer et Eric Deville n’y croyaient pas.
L’équipe de Nikolay Larin avait contacté la direction de l’Institut français du pétrole-énergies nouvelles (IFP-EN) – où les deux chercheurs travaillaient sur un sujet controversé : la Terre serait-elle une source d’hydrogène, ce gaz qui, combiné avec l’oxygène, fait tourner des moteurs de fusée en produisant de l’eau. Nikolay Larin les appâte avec une annonce ébouriffante.
Des flux d’hydrogène sortant de terre, dans la plaine russe, à 500 kilomètres au sud-est de Moscou. Des flux de «40 000 m3 d’hydrogène par jour». Emanant de sortes de «trous de sorcières», des dépressions circulaires d’environ un kilomètre de diamètre, «dont une centaine parsèment la région», explique Alain Prinzhofer. La pierre philosophale de l’énergie ? Énergies futures. Certaines ressources offrent de nouvelles pistes énergétiques à exploiter dans un avenir proche.
Dans les prochaines décennies, afin de compléter les énergies fossiles (pétrole, gaz et charbon), les énergies renouvelables, telles que l’éolien, l’hydraulique, le solaire ou la géothermie, se développent tout en diminuant leurs coûts de production. Biocarburants et gaz de schiste Sans pour autant remplacer le pétrole, les biocarburants peuvent offrir une alternative non négligeable, grâce notamment à une plus grande diversification des ressources dont ils sont issus, et la possibilité de les utiliser avec la quasi-totalité des véhicules. Par ailleurs, le gaz de schiste, identique au gaz naturel d’un point de vue chimique, pourrait bien aussi constituer un atout. Cette ressource, disponible en quantité colossale, pourraient contribuer à la réduction des émissions de CO2. L’hydrogène : une énergie en devenir ? Energies du futur : nos cinq idées folles.
Quand on parle d’énergies renouvelables, on pense d’abord aux éoliennes, au solaire, à la biomasse ou à l’hydraulique.
Mais les scientifiques du monde entier ont d’autres idées dans leurs cartons. Pas que du vent ! « L’énergie durable - Pas que du vent ! » est un ouvrage étonnant : David MacKay tente d’y dépassionner le débat autour de l’énergie, en se basant uniquement sur les chiffres – « mon but, c’est de bâtir un plan où le compte soit bon » – et non sur des adjectifs. Avec beaucoup de clarté et d’humour, il dresse un état des lieux lucide et donne un certain nombre de perspectives pour l’avenir énergétique de la planète. Il y attaque également l’adage selon lequel « chaque petit geste compte » : « si tout le monde en fait un petit peu, nous n’arriverons à faire qu’un petit peu. » Son conseil : « Ne vous laissez pas distraire par le menu fretin ; concentrez-vous sur les gros poissons, les facteurs de changement décisifs. » Le thorium : le nucléaire propre ?
« Le rêve du thorium » "Les algues, l'énergie du futur" Cet article (qui n’en est pas un) est plus qu’approximatif, merci à l’auteur quand même.
Lorsque que l’article parle d’algues, il faut comprendre micro algues. Pour faire court, les diatomées. Il en existe plus de 200 000 dans la nature, le principe est que lorsque l’on « stresse » des diatomées elles produisent de l’huile, comme tous les exosquelettes (1) le rendement communément admis est de 0,8 g par litre de soupe et par 24 heures. 25 grammes par 24 heures est envisageable. Un coréen il y a un an environ à sollicité son aquarium d’algocarburant avec un rayonnement de micro ondes. Sa production est passé de 0,8 g à 6 grammes par litre et par jour ! Je fais remarquer que selon les modes de production, ces usines pourraient dessalées de l’eau de mer et donc produire de l’eau douce (là, il faut du soleil) produire des quantités colossales d’oméga 3 (nourrir les bêtes) d’autres productions pourraient même se passer de soleil.
À vous de voir..... Bonjour. 1 Le pétrole "vert" Maîtrise énergie et énergies renouvelables : solutions pour l'avenir.