Six graphes qui racontent l’amélioration (relative) de l’état de la sécurité sociale. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Samuel Laurent Soixante-dix ans après son instauration, la sécurité sociale n’est toujours pas en bonne santé, mais va un peu mieux. 1.
Un déficit qui renoue avec son niveau d’avant-crise Avec 9,7 milliards anticipés pour 2016, le déficit global du régime général et du fonds de solidarité vieillesse (FSV), qui finance depuis 1994 minimum vieillesse et aides aux retraités), repasse sous la barre des 10 milliards, qu’il avait franchie au début de la crise financière, en 2009. C’est encore beaucoup, mais on retourne sur des ampleurs « normales », proches des étiages des années 1980 et 1990. 2.
Six graphes qui racontent l’amélioration (relative) de l’état de la sécurité sociale. Risques psychosociaux. Accidents du travail et maladies professionnelles - Risques. Sécurité sociale : une histoire de la solidarité. E-Learning EN3S : La couverture des risques sociaux. Prépa concours : 10 minutes pour tout comprendre du système de protection sociale. Qu'est-ce que la protection sociale et comment la finance-t-on ? Vidéo de la protection sociale. Histoire de la protection sociale en France - Frédéric Bizard. 1/ Des prémices de protection sociale avant le 19ème siècle Le besoin de se protéger du risque est ancien.
Cette protection était autrefois confiée à la charité et à la solidarité familiale. Avoir beaucoup d’enfants était la meilleure garantie pour ses vieux jours. Les organisations religieuses ont maillé le territoire européen d’hospices et d’hôpitaux avec l’aide des nobles et des propriétaires terriens. Les artisans nourrissaient et logeaient leurs serviteurs, les vieux travailleurs et leurs ouvriers. La gestion du risque était aléatoire et de faible.
Le début d’une réponse cohérente est mise en place en Angleterre avec une série de lois successives, dont celle de 1601 en vigueur jusqu’en 1834, attribuant aux pauvres une certaine protection. Ces lois d’assistance des pauvres étaient très controversées. En France, les libéraux opposent une forte résistance et n’admettent que des mesures restreintes de bienfaisance publique. Aux États-Unis, le président Franklin D. Frédéric Bizard. Dépassements d'honoraires : ce que vous devez savoir. L'Assurance Maladie définit des tarifs pour chaque acte médical comme une consultation de généraliste ou de spécialiste, de dentiste, pour chaque acte ou opération chirurgicale, pour chaque examen biologique ou radiologique.Néanmoins, le prix à régler dépasse souvent ce tarif...Pourquoi ?
Et comment cela fonctionne-t-il ? Comment vous y retrouver dans tous ces tarifs différents ? Les dépassements d'honoraires concernent trois types de médecins Les médecins en secteur 1Les médecins dits conventionnés en secteur 1 appliquent le tarif défini par l'Assurance Maladie. Néanmoins, ils peuvent appliquer un dépassement d'honoraires « pour exigence particulière de leur malade », par exemple pour une visite à domicile en dehors des heures habituelles de consultation du médecin, ou pour un appel en urgence qui s'avère un appel de confort, ou encore si vous consultez en dehors du parcours de soins coordonnés.
Les médecins en secteur 3 Ils sont non conventionnés. Dr Catherine Solano. En3s. La consultation à 25 € chez le généraliste, mais sur quelle base. En France, les honoraires médicaux font l'objet d'une négociation bipartite entre l'Assurance-maladie d'une part et les syndicats médicaux représentatifs (généralistes ou spécialistes).
La dernière fixation des honoraires des médecins généralistes intégrés dans la Convention Médicale remonte au 1er janvier 2011. Les médecins conventionnés de secteur 1 ont vu à cette date le prix de la consultation fixé à 23 €. Depuis quelques mois, certains généralistes ont transgressé cet accord en affichant leur consultation à 25 €, sortant du cadre conventionnel. Les comptes bancaires des bénéficiaires de la CMU-C vont être contrôlés. A compter de juin 2015, la Caisse nationale d’assurance maladie (Cnam) vérifiera les comptes bancaires des bénéficiaires de la CMU Complémentaire (CMU-C) qui, accordée sous conditions de ressources, prend en charge la part complémentaire des dépenses de santé, a révélé le Parisien du 13 mai 2015.
L’objectif est de lutter contre la fraude. Pour bénéficier de la CMU-C, il convient de : habiter en France de puis plus de trois mois ;être en situation régulière ;et percevoir des revenus annuels inférieurs à un certain plafond, variable selon la composition de la famille. Il est fixé à 8 645 € pour une personne, 12 967 € pour deux personnes, 15 560 € pour trois personnes… Le candidat à la CMU-C doit déclarer l’ensemble de ses ressources (salaires, revenus non salariés, pensions alimentaires, retraite…) et fournir leurs justificatifs (avis d’imposition ou de non imposition, bulletins de paie, attestation de Pôle emploi…). Mais les cas de triches seraient trop nombreux, d’après la Cnam. La retraite complémentaire des salariés du secteur privé. La loi du 29 décembre 1972 a étendu à tous les salariés l’obligation d’être affilié à un régime de retraite complémentaire.
Les régimes Arrco (Association pour le régime de retraite complémentaire des salariés) et Agirc (Association générale des institutions de retraite des cadres) fonctionnent sur le principe de la répartition. Cela signifie que les cotisations versées par les salariés servent directement à payer les pensions aux retraités. Deux régimes de retraite complémentaire obligatoires Il existe deux régimes de retraite complémentaire pour les salariés du secteur privé : L’Arrco. Pour retrouver l’ensemble des coordonnées des caisses Arrco, Agirc et les groupes de protection sociale auxquels elles sont rattachées, se connecter sur www.agirc-arrco.fr.
ANI et loi sur la sécurisation de l’emploi : tout savoir sur la nouvelle législation - Droit Social. La loi n° 2013-504 du 14 juin 2013 transpose l’accord national interprofessionnel (ANI).
Elle obligera les entreprises à proposer, à partir du 1er janvier 2016, une mutuelle santé collective à l’ensemble de leurs salariés. Loi ANI et mutuelle obligatoire : le fonctionnement Toutes les entreprises situées en France vont être tenues, à partir de janvier 2016, de proposer à leurs salariés une mutuelle santé collective. Cette couverture santé sera accessible à tous les employés de la société (cadres, non-cadres mais aussi dirigeants) et à leurs ayants droits (enfants, conjoints, personnes à charge). La souscription à la mutuelle sera obligatoirement financée à 50 % (minimum) par l’entreprise, le reste/l’autre moitié étant à la charge du salarié. Mutuelle obligatoire : les règles et modalités Les entreprises françaises vont donc devoir fournir une mutuelle à leurs employés ou adapter leur couverture existante, le cas échéant.
Bismarck et Beveridge. En Allemagne, entre 1880 et 1890, le chancelier Bismarck a lancé l’idée des assurances sociales, afin de faciliter le passage à l’état industriel, prendre en compte les idées sociales et asseoir l’unité nationale.
Le système "Bismarck", est appliqué par l’Allemagne et l’Europe centrale. Il se rapproche d’un système d’assurances : il est fondé sur le remboursement de prestations fournies par des praticiens librement choisis, et financé par des cotisations préalables. La France indemnise-t-elle mieux les chômeurs que ses voisins ? Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Ismaël Halissat et Aline Leclerc Lors de ses vœux « aux acteurs de l’entreprise et de l’emploi », lundi 18 janvier, au Conseil économique, social et environnemental (CESE), François Hollande a joué une nouvelle carte contre le chômage.
Le président a présenté un plan massif de nouvelles formations pour 500 000 demandeurs d’emploi. Pour justifier son action, il a notamment dit : « Je rappelle qu’en France la durée d’indemnisation est la plus longue d’Europe, mais la durée de formation est la plus courte. C’est ce qu’il faut changer. » Vous êtes enceinte : votre congé maternité. En cas de travail de nuit ou à risques Les femmes salariées enceintes, ou ayant accouché, qui travaillent de nuit ou qui sont exposées à certains risques peuvent bénéficier, en cas de suspension de leur contrat de travail, d'une garantie de rémunération pour cause de non reclassement par leur employeur.
Avez-vous droit à l’aide à la complémentaire santé. Qu'est ce que la protection sociale ? - L'Etat providence Découverte des institutions. <p class="video_texte"> L'utilisation de javascript est obligatoire sur cette page pour voir l'animation. </p> Présentation du régime général. L’Assurance retraite gère le régime de retraite de base des salariés du commerce, de l’industrie et des services. C’est le régime général de la Sécurité sociale. Il repose sur le principe de la répartition entre les générations. Découvrez notre animation " La retraite, comment ça marche ?
" Cohésion sociale. "Toupictionnaire" : le dictionnaire de politique Définition de la cohésion sociale L'expression "cohésion sociale" désigne l'état d'une société, d'un groupe ou d'une organisation où la solidarité est forte et les liens sociaux intenses. L'expression "cohésion sociale" a été utilisée pour la première fois en 1893 par le sociologue Emile Durkheim ((1858-1917) dans son ouvrage "De la division du travail social" pour décrire le bon fonctionnement d'une société où se manifestent la solidarité entre individus et la conscience collective : "Nous sommes ainsi conduits à reconnaître une nouvelle raison qui fait de la division du travail une source de cohésion sociale.
Elle ne rend pas seulement les individus solidaires, comme nous l'avons dit jusqu'ici, parce qu'elle limite l'activité de chacun, mais encore parce qu'elle l'augmente. L'existence de conflits sociaux ne signifie pas nécessairement l'absence de cohésion sociale. >>> Terme connexe : Contrôle social. Le système français de protection sociale - Santé et protection sociale en France - Savoir-faire français - GIP SPSI - Santé Protection Sociale International. Vous êtes dans : Accueil > Savoir-faire français > Santé et protection sociale en France > Le système français de protection sociale La protection sociale regroupe l'ensemble des systèmes dont le but consiste à protéger les personnes contre les risques sociaux (maladie, maternité, invalidité, vieillesse, chômage, etc.) et contre leurs conséquences financières.
Elle constitue à ce titre un important facteur de cohésion sociale. Mêlant assurance et solidarité, elle s'inscrit parfaitement dans la notion de citoyenneté. L'origine de protection sociale en France remonte au compagnonnage médiéval, puis aux sociétés de secours mutuels. Durant la seconde Guerre Mondiale, le Conseil national de la résistance met au point l'ébauche du système, aujourd'hui au cœur de la protection sociale : la Sécurité sociale.
Celle-ci est créée juste après la Libération, par une ordonnance du 4 octobre 1945, suivie d'autres textes fondateurs. Les prestations. Protection sociale. Vidéos - La protection sociale en France.