La ville d'Aixe-sur-Vienne va inscrire sur son monument aux morts, le nom de Marcel Pinte, le plus jeune résistant de France - Limoges (87000) Depuis 1941, le Commandant Pinte, dit Athos, qui œuvre pour l’Armée Secrète et l’Organisation de Résistance de l’Armée, (ORA), organise la Résistance dans l’Ouest de la Haute-Vienne.
Il commande les maquis des 5 cantons : Aixe-sur-Vienne, Cussac, Châlus, St Laurent-sur-Gorre et St Mathieu. Une famille mobilisée Encerclement de Limoges par les FFI fin août 1944. Les cinq membres de la famille sont mobilisés. Même Marcel Pinte, le fils cadet. Marcel émerveillé par cette aventure. Tous travaillent, se retrouvent et se partagent les tâches. Marcel Pinte (fils du commandant Athos) - Jeune résistant de 6 ans tué le 19 août 1944 d'une rafale de mitraillette tirée accidentellement par un maquisard à Aixe-sur-Vienne. « Quinquin » apporte son aide précieuse. Sergent à titre posthume. Affiche sur "Les Appels du général de Gaulle"
L'appel du 18 juin du général de Gaulle, 80 ans après : "C'était notre seul espoir" Publié le : 18/06/2020 - 06:44 Le 18 juin 1940, le général de Gaulle prononce sur la BBC son célèbre appel invitant les Français à poursuivre le combat.
Son message n'a pourtant que peu d'audience à l'époque. Des médaillés de la Résistance se souviennent toutefois l'avoir entendu. Quatre-vingts ans après, ils racontent ce moment décisif, point de départ de leur engagement. "Quoi qu'il arrive, la flamme de la résistance française ne doit pas s'éteindre et ne s'éteindra pas. " À des centaines de kilomètres de là, dans une maison près de Poitiers, une jeune femme de 18 ans, Odile de Vasselot, vient d’entendre ces paroles. "Il y a encore de l’espoir" Odile descend immédiatement au salon pour raconter ce qu’elle vient d’entendre. Au lendemain du discours du maréchal Pétain annonçant la demande d’armistice auprès des Allemands, le grand-père d’Odile, qui a consulté cet ouvrage, se réjouit immédiatement de cet appel : "Il a dit : ‘Je le savais ! "Il fallait continuer la guerre"
RÉCIT. Appel du 18 juin 1940 : comment des Nordistes ont réussi à échapper aux Allemands pour rejoindre de Gaulle. En juin 1940, le Nord Pas-de-Calais est occupé et le littoral déclaré zone interdite par les Allemands.
L'Angleterre n'est pas loin, pourtant il est presque impossible pour les habitants de la région d'y rejoindre le général de Gaulle pour continuer la lutte. Certains risqueront leur vie pour y parvenir et intégrer les Forces Françaises Libres. Nous vous racontons ici l'histoire de quelques Nordistes qui ont entendu l'appel du 18 juin 40 : De Gaulle passant en revue des troupes des Forces Françaises Libres à Londres en 1942. L’épopée des jeunes de Fort-Mahon En mai 1940, Pierre Lavoix (17 ans) et son frère Jean-Paul (14 ans) ont fui Douai avec leurs parents pour se réfugier à Fort-Mahon-Plage près de Berck.
Pierre et Jean-Paul entendent leurs parents parler de l’Appel du 18 juin. En juin 1941, Hitler a compris qu’il ne pourrait pas envahir l’Angleterre en n’ayant pas la maîtrise des mers et du ciel. Laisser-passer de la légation de France en Suède au nom de Germaine Tillion, 8 mai 1945. L'Ordre de la Libération et son Musée. Journaux clandestins de la Résistance. Dès le début de l’Occupation allemande, des journaux furent composés et diffusés clandestinement dans le but de contrer la propagande officielle, sensibiliser les populations et réveiller leur sentiment patriotique. Compte tenu des conditions précaires de fabrication et de distribution le nombre exact de parutions pour un même titre est parfois à l’heure actuelle encore inconnu ou incertain.
Malgré les informations apportées par les donateurs, le nombre des numéros d’un même titre est souvent inconnu, l’ordre lui-même des séries présente des incertitudes. Un numéro enfin a pu être imprimé en plusieurs endroits différents : ceci justifie que les variantes d’un même numéro figurent dans Gallica.Issue principalement de dons de résistants ou de fonds documentaires, l’offre en ligne sur Gallica comprend des exemplaires d’origines très diverses, parfois des copies et non des originaux. Documentaire/ Les résistances des Alpes à la Méditerranée.
Les derniers Compagnons de la Libération. Cliquez pour naviguer Sur les 1 038 Compagnons de la Libération, ils ne sont plus que 10 à être encore en vie, âgés de 96 à 103 ans.
Cet ordre national, le deuxième après la Légion d’honneur, a été créé par le général de Gaulle au cours de la Seconde Guerre mondiale, le 16 novembre 1940. Le sacrifice méconnu des résistants antillo-guyanais de la Seconde guerre m. La France se souvient de l’appel du 18 juin 1940 lancé par le général de Gaulle sur les ondes de la BBC pour combattre l’occupant nazi.
Une exhortation ayant résonné dans tout l’empire colonial. Pourtant, le sacrifice des résistants africains et antillo-guyanais reste méconnu. Comment comprendre que les anciens combattants antillais et guyanais de la Seconde guerre mondiale sont-ils encore absents de la mémoire collective française ? Les dissidents, comme étaient appelés ces résistants de la première heure, étaient ces jeunes volontaires pour défendre la France contre le régime d’Hitler. Par centaines, ils se sont mobilisés pour s’engager sur les principaux fronts.