Notable Dance Books of 2019. I love curling up with a good dance book.
Has the Quest for Versatility Erased Dancers’ Movement Signatures? "Dancers can do everything these days," I announced to whoever was in earshot at the Jacob's Pillow Archives during a recent summer.
I had just been dazzled by footage of a ballet dancer performing hip hop, remarkably well. But my very next thought was, What if that isn't always a good thing? What if what one can't do is the very thing that lends character? Let me explain. I am finding it harder these days to define a dancer's kinetic signature, which is my signature as a dance writer. Watch an episode of "So You Think You Can Dance" or "World of Dance," and you'll witness an ocean of sameness, often performed at a level 10 intensity the entire time. Courtney D. The Power Of Dance: Why The World Needs It Now. Décembre – jour 7. En 2000, je passais le CAPES de philosophie rue du Faubourg Saint Antoine et donc allais à l’opéra après les épreuves (trois épreuves).
J’ai donc vu Raymonda deux jours de suite à Bastille. Je ne me souviens pas très bien des distributions (crime de lèse-Balletomanes), je crois que j’ai d’abord vu Agnès Letestu et José Martinez, accompagné de Laurent Hilaire, puis Aurélie Dupont et Jean-Guillaume Bart, accompagné de Wilfried Romoli. Ce qui m’a fait le plus d’effet alors, c’est… le corps de ballet ! (comme souvent à l’Opéra de Paris) La valse fantastique. Impression d’être dans un jardin à la française qui aurait mélangé Le Nôtre et Théophile Gautier, l’art classique de la symétrie, de l’harmonie, du calcul des proportions et le fantastique romantique. Bien sûr, les variations soli sont très belles, la célèbre claque est du plus bel effet, les pas de deux sont réussis. Je n’ai jamais revu Raymonda. Et j’aimerais bien. P. Lien.
- The Washington Post. Danser, une philosophie. Après la musique de Schopenhauer, place à la danse, grâce à la parution du livre de Julia Beauquel, Danser, une philosophie, aux éditions Carnets Nord.
C’est l’occasion de revenir sur cet objet qui fascine les philosophes. Considérée comme un art et une performance physique, relevant à la fois du corps et de l’esprit, exprimant les émotions les plus triviales ou les plus subtiles, les attitudes les plus ordinaires ou les plus abstraites, à la portée de tous mais avec une exigence maximale si on est un professionnel, la danse est un défi pour les philosophes, de Platon et Lucien de Samosate à Nelson Goodman et Paul Valéry... Why Today's Gymnastics Routines Insult Dance - dancemagazine. Simone Biles at the end of her gold medal-winning routine in Rio Gymnastics have been my favorite part of the Olympics ever since I was a kid.
Particularly the floor exercises. What Does It Actually Feel Like to Stop Dancing? - dancemagazine. Who are you when you no longer do what you've been doing for years?
It is the big question facing anyone who retires. For top ballet dancers, however, the situation is more extreme. They start young, grow up in a rarified atmosphere, mostly see only each other, and become more and more removed from ordinary life. So what is it like to give this all up? I asked seven former principal dancers from different generations at San Francisco Ballet, including myself, about this challenge. What made you decide to stop performing? Sally Bailey, danced with San Francisco Ballet 1947–1967: The idea first came to me on the '65 tour. Ces pas qu’on aime…
Toute technique est une vision (1) Toute technique est une vision (2) 2) La technique russe : la matière de la technique russe est le corps dans le temps La dernière fois, il y a fort longtemps, nous soutenions hardiment que l’objet de la technique française fut le corps dans l’espace : l’espace vide y semble pensé comme premier sur le corps, et le mouvement du corps ne prend sens qu’à partir de cet espace.
Le corps de la technique française c’est donc le corps dans l’espace. C’est avec beaucoup moins d’aisance et de certitude qu’on peut supposer maintenant que l’objet de la technique russe, au moins à partir de Vaganova, est le corps dans le temps. Pour admettre cette idée, il faut d’abord admettre deux choses : 1) que chaque époque (artistique) possède son paradigme esthétique ; personne ne refusera que le paradigme esthétique de l’Antiquité grecque fut la tragédie et/ou l’épopée, ni que celui du Moyen-âge occidental fut l’architecture, ni encore que celui de la Renaissance fut le tableau. J'aime : J'aime chargement… Le corps brut n’existe pas. Le corps brut n’existe pas Ou : pourquoi je n’aime pas aimé New York City Ballet Êtes-vous dualiste ?
Si vous le l’êtes pas, ce billet ne saura vous intéresser. Car il faudra admettre, avec moi, un postulat de départ, cependant indémontrable : il y a de la matière et de l’esprit.