Ils respirent des fumées toxiques chaque semaine parce que le gouvernement leur impose de brûler leurs déchets. La rue Amherst, à Montréal, devient officiellement Atateken. La rue Amherst, à Montréal, devient officiellement Atateken.
Les pancartes portant le nouveau nom mohawk ont été posées lundi. Les anciennes pancartes – avec le nom « Amherst » biffé en rouge – resteront quelque temps, histoire d'assurer la transition. L'autobus 14 Amherst, qui circule sur la rue du même nom, sera aussi rebaptisé du nouveau nom mohawk. En juin, la mairesse Valérie Plante avait dévoilé le nouveau nom de la rue Amherst, résultat de consultations qui ont duré plus d’un an.
Amherst fait référence au général britannique Jeffery Amherst, surnommé le « père de la guerre bactériologique » pour avoir offert des couvertures infestées par la variole aux Autochtones. Le mot mohawk « Atateken » (prononcé « a-da-dé-gan ») signifie « frères et sœurs », ou encore « groupe de personnes ou de nations avec qui l’on partage des valeurs ». L'ancien maire de Montréal Denis Coderre avait annoncé son intention de rebaptiser l’artère dès 2017. Université Laval - Authentification. Playing: Module 3: Appropriation du Nord et frontières. An expansive photo record of Native American life in the early 1900s. Born on a Wisconsin farm in 1868, Edward Sheriff Curtis grew up to become a commercial photographer in Seattle.
In 1895 he photographed Princess Angeline, the daughter of the Duwamish chief Seattle, for whom the city was named. That encounter sparked Curtis' lifelong fascination with the cultures and lives of Native American tribes. He soon joined expeditions to visit tribes in Alaska and Montana. In 1906, Curtis was approached by wealthy financier J.P. Morgan, who was interested in funding a documentary project on the indigenous people of the continent. With Morgan’s backing, Curtis spent more than 20 years crisscrossing North America, creating over 40,000 images of more than 80 different tribes. In his efforts to capture and record what he saw as a vanishing way of life, Curtis sometimes meddled with the documentary authenticity of his images.
Autochtones, l'autre histoire. Les derniers des Kawahiva - Vidéos de Survival International. Une tribu en Amazonie regarde pour la première fois des images sur notre civilisation. Les Cris (nehiyawak en cri) constituent le peuple autochtone qui compte le plus de membres et qui est distribué sur la zone la plus vaste au Canada.
Huttes à perches faîtières Ces huttes construites par la population subarctique sont rapidement assemblées grâce à des perches faîtières sur lesquelles on tend de l'écorce ou des peaux (oeuvre de Gordon Miller). « Kee-a-kee-ka-sa-coo-way » « L'homme qui pousse le cri de guerre », un Cri; oeuvre de Paul Kane, 1848, huile sur toile (avec la permission de l'U. Harvard). Cris Ca. 1870-1910, Alberta (Bibliothèque et Archives Canada/C-005101). Campement cri Un campement de tipis cris, photographié en 1857-1858 par l'expédition de H.Y.
On Thin Ice: Inuit Way of Life Vanishing in Arctic. Idle No More, portrait et revendications. C'est un phénomène actuel, celui qui voit naître de la base un mouvement de contestation qui acquiert ensuite de la force, en partie par le truchement des réseaux sociaux.
À l'image de groupes qui, comme les différents Occupons, catalysent des forces autour d'une cause et amènent les médias et le politique à leur prêter attention. Le mouvement Idle No More s'inscrit dans cette veine. Alors que se multiplient les manifestations de l'insatisfaction des Autochtones face aux politiques gouvernementales fédérales, et qu'une rencontre s'est tenue entre le premier ministre canadien Stephen Harper et certains dirigeants des Premières Nations, voici quelques éléments d'information sur Idle No More, dont les actions et les revendications défrayent la chronique depuis des semaines maintenant. - Quelle est la signification de Idle No More? Idle No More fait référence à la fin d'une certaine passivité et à la volonté de se mobiliser pour agir. Vie économique et politique des Cris. Cris. Les Cris constituent le plus important groupe de la famille linguistique algonquienne du Canada.
Ils sont présents en Saskatchewan et au Manitoba, bien que la majorité des Cris vivent en Ontario (plus de 13 000) et au Québec (plus de 12 000). Leur présence au Québec remonte au tout début de l'occupation humaine du territoire québécois, où ils exploitaient les ressources fauniques et halieutiques des côtes de la Baie d'Hudson et de la Baie-James. Ils forment de petits groupes de nomades se nourrissant principalement de gibier (original, caribou, oie sauvage) et de poisson.
Ces terres peu fertiles, au climat rigoureux, ne se prêtent guère à l'agriculture. En contrepartie, le gibier abonde et, à cause du froid intense, la fourrure est d'une qualité exceptionnelle; elle a tôt fait d'attirer les marchands européens en dépit de l'éloignement. La seconde vague de contacts se fait avec des missionnaires qui s'installent sur leurs territoires au cours de la seconde moitié du XIXe siècle. Loi sur les Cris et les Naskapis du Québec.
La loi sur les Indiens au Canada.