Jérusalem : un demi-siècle de conflit expliqué en cartes. 3H - Berlin 1989. A l’initiative de Laurent Fillion, professeur de l’académie de Lille, un collectif d’enseignants issus de plusieurs académies (Lille, Reims, Versailles, Lyon, Besançon) s’est constitué pour réaliser un « livre dont vous êtes le héros » dans le contexte de Berlin, au moment de la chute du mur.
Une ressource libre de droit. « Berlin, 89… » est un croisement entre un « livre dont vous êtes le héros » et un « escape game ». Le joueur agit pour le héros principal l’aidant à accomplir une mission dans un temps imparti. L’action se déroule dans le Berlin de 1989. Précisément, durant les trois jours qui suivent la chute du Mur. Quand le joueur trouve cette fin, il peut, si il souhaite, déposer un message sur un « livre d’or ». Le design est sobre, la volonté étant de baser le jeu sur une lecture hypertextuelle, riche et documentée.
Le jeu commence à cette adresse : Des pistes d’exploitation sont disponibles ici : L’activité a été conçue, documentée, réalisée par : Combat idéologique: quinze affiches de propagande antiaméricaine datant de la guerre froide. Lorsque des artistes de propagande soviétiques étaient chargés de dévoiler au peuple le «vrai visage» des États-Unis «ressemblaient vraiment» aux masses soviétiques, ils n’ont pas reculé devant la tentation de doter des traits du vieux et laid capitaliste, l’oncle Sam, à toute la collectivité américaine. « L’armée américaine est un instrument d’agression et de braquage ».
L’effet de recul de l’agression: l’inflation, la récession et les prix élevés. Le destin des jeunes talents dans les pays capitalistes et les nations socialistes. « Si vous avez oublié où sont les frontières, on vous aidera à "atterrir" ». « Le Proche-Orient : le pétrole et le sang y coulent de nouveau ». « Deux mondes, deux projets : nous cultivons la vie, ils sèment la mort ». « L’aide aux affamés à l’américaine » « Nous sommes en charge d’un travail de paix et qu’ils sachent à l’étranger qu’il est très dangereux de nous toucher. . « La liberté à l’américaine »
3°- Les temps forts de la première guerre mondiale. GM1. Guerre froide. Le monde de demain, entre risques et promesses. Dix ans après le début de la crise financière, l'économie mondiale commence à retrouver quelques couleurs. Selon les dernières estimations de l'OCDE, le produit intérieur brut (PIB) de la planète devrait croître de 3,8% en 2018 et 3,9% en 2019 après 3,7% en 2017. La reprise a été généralisée, portée par des embellies dans les pays en développement, émergents et développés. Le chômage mondial devrait légèrement diminuer à 5,5% en 2018 après 5,6% en 2017, après trois années de hausse, d'après l'OIT. Et pourtant... Malgré ces bonnes nouvelles, les signes de ruptures se multiplient dans un climat de critiques de plus en plus violentes contre la mondialisation dans sa forme actuelle.
Toutes ces métamorphoses annoncent l'achèvement d'un cycle, peut-être la fin du monde tel que nous l'avons connu, caractérisé par une approche multilatérale de résolution des conflits politiques ou commerciaux. Depuis la crise financière, le taux d'ouverture du commerce a décliné pour atteindre 27% Des cartes satiriques à travers l’histoire. Ces cartes qui oscillent entre la satire et la caricature permettaient de montrer de manière humoristique les relations souvent ambiguës entre les pays. Elles étaient particulièrement utilisées en temps de guerre car elles permettent de visualiser les forces en présence facilement. Marie Curie, la radiologie et la Grande Guerre (1914)
MÉDECINE DE GUERRE (5/5) - Au cours de la Grande Guerre, Marie Curie s'implique beaucoup pour que la radiologie s'installe au front.
Elle participe à la conception d'unités mobiles et met au point une vingtaine d'ambulances radiologiques surnommées les «petites Curies ». En 1914, Marie Curie est une femme scientifique de renommée mondiale. Elle est la première femme à avoir reçu le Prix Nobel. Elle en a même obtenu deux: l'un, avec son mari et Henri Becquerel, sur les radiations en 1903, et l'autre pour ses travaux sur le radium en 1911.
Dès le début de la guerre, elle se mobilise. Dès le mois d'août 1914 elle obtient une attestation du Ministère de la Guerre pour mettre en place une équipe de manipulateurs en radiologie. Le début de la «radio-chirurgie» Marie Curie est persuadée qu'il ne faut pas déplacer les blessés. Marie Curie va se rendre elle-même dans les zones de combat, secondée par sa fille Irène. Article paru dans Le Figaro du 14 février 1922. Le 17 septembre 1914: