Le Dessous des cartes - Climat : le dérèglement c'est maintenant ! Jalon 1 Objet Travail Conclusif. Envoyé spécial. Etats-Unis : qui sont les climatosceptiques ? (reportage 26 minutes) C’est le pays qui pollue le plus au monde, mais le réchauffement climatique, aux Etats-Unis, beaucoup n’y croient pas.
Certains, par provocation ou inconscience, font vrombir leur 4x4 spécialement modifié pour cracher la plus grande quantité possible de fumée bien noire. C'est le rolling coal (littéralement "charbon roulant"), "juste un symbole de puissance". D'autres dépensent des fortunes pour contrer les études scientifiques ou faire réécrire des manuels scolaires. Ces Américains qui ne croient pas au réchauffement climatique (plus d'un sur deux selon les enquêtes) sont parfois très croyants : penser que le changement climatique soit dû à l'action de l'homme, c'est presque un péché d'orgueil, car "Dieu contrôle le climat".
Et ils sont souvent des électeurs du parti républicain, farouchement opposés à toute idée de régulation des émissions de gaz à effet de serre. Un reportage d'Yvan Martinet et Yann Moine. Les grandes étapes de la politique environnementale aux E.U. Générique soleil vert - Vidéo Dailymotion. Etats-Unis/Climat: l'action à l'échelle locale ne compense pas l'inaction fédérale. Les engagements de réduction des gaz à effet de serre pris par les villes, Etats et entreprises américains ne suffisent pas à compenser l'inaction du gouvernement fédéral et atteindre l'objectif que se sont fixé les Etats-Unis, alerte la coalition d'acteurs locaux America's Pledge dans un rapport samedi.
Les États-Unis isolés du reste du monde après le retrait de l'accord de Paris. Donald Trump a déclaré sa volonté de retirer les États-Unis des accords de Paris : un mépris pour la réalité du changement climatique qui isole de plus en plus le pays sur la scène internationale.
Lors d'une allocution jeudi dernier, le président américain a présenté le retrait comme une décision nécessaire favorisant l'industrie américaine, tout en rejetant « les capitales étrangères et les activistes internationaux qui ont longtemps cherché à s'enrichir sur le dos des États-Unis ». Pendant que la Californie brûle, Trump minimise le changement climatique. La hache de guerre a été enterrée, l’espace d’une journée, entre Donald Trump et la Californie.
Accusé de délaisser les Etats de la Côte ouest affectés par les incendies – des Etats qui ne « votent pas pour lui », comme l’avait souligné le maire démocrate de Los Angeles, Eric Garcetti –, le président américain avait ajouté, lundi 14 septembre, une visite dans le Golden State à sa tournée électorale dans deux fiefs républicains du Sud-Ouest où les sondages sont de nature à l’inquiéter (le Nevada et surtout l’Arizona). Il a consacré deux heures à l’Etat dévasté depuis un mois par les feux de forêt les plus étendus de son histoire. Avant d’embarquer pour l’aéroport de Sacramento, envahi comme le reste de l’Etat par la fumée toxique provenant des incendies, M.
Trump avait d’abord lancé quelques piques en direction de ses hôtes californiens : « Ça fait trois ans que je le dis. Lors d’un briefing au siège de CalFire, l’agence de lutte contre les incendies, M. Les accords de Paris sur le climat. Podcast / RFI / Le climat dans les relations internationales - Géopolitique, le débat. Publié le : 05/04/2018 - 19:24Modifié le : 12/04/2018 - 16:47 Avec ses enjeux géopolitiques multiples, le climat est aujourd'hui partie intégrante de la réflexion stratégique de nombre d'acteurs.
Négociations onusiennes, sécurité et défense, migrations... Que révèlent les négociations climatiques des rapports de forces entre pays ? Le retrait des Etats-Unis quel impact ? Que sait-on du rôle que la Chine aurait envie de jouer en la matière ? Invités : - Pascal Canfin, directeur général de la section française de la première ONG au monde sur l'environnement, WWF. "Soleil vert" par Dominique Gonzalez-Foerster - Blow up - ARTE. « Soleil vert » ou les débuts de la conscience écologique sur grand écran.
Quand Soleil vert de Richard Fleischer, arrive sur les écrans en avril 1973, le spectateur américain a depuis longtemps appris à vivre avec la fin du monde. Dix ans plus tôt, en pleine guerre froide, il redoutait un désastre nucléaire. Puis de nouvelles menaces, étrangères à la géopolitique, étaient apparues : singes belliqueux asservissant la race humaine dans La Planète des singes (1968), de Franklin Schaffner, virus mortel dans Le Mystère Andromède (1971), de Robert Wise, insectes à l’intelligence supérieure dans Phase IV (1975), de Saul Bass… Une catastrophe due à l’homme Il aura donc fallu attendre le début des années 1970 pour qu’un film n’évoque pas une menace exogène, mais une catastrophe climatique et environnementale, dont l’homme est le seul responsable.
Lire aussi : « Downsizing », la fin du monde vue d’en bas Le film de Richard Fleischer se déroule en 2022 à New York, devenue une mégalopole de 44 millions d’habitants. En 1970, la première Journée de la Terre.