2020, une année de départ vers Mars pour une volée de nouveaux robots d’exploration – Exploration spatiale. Comme tous les 26 mois, cycle imposé par la mécanique céleste, les Terriens vont envoyer vers Mars une nouvelle « volée » de robots explorateurs.
Ils partiront entre le 17 juillet et le 5 août et arriveront quelques 9 mois plus tard dans le voisinage de Mars. Cette fois ci les missions sont originaires des Etats-Unis, des pays membres de l’ESA avec un lanceur russe, de la Chine et des Emirats Arabes Unis avec un lanceur japonais. Toutes n’ont pas les mêmes chances de succès, c’est-à-dire de mise en orbite autour de Mars et surtout d’atterrissage à sa surface. En réalité seuls les Etats-Unis ont démontré leur capacité aussi bien à la mise en orbite qu’à la descente en surface, c’est-à-dire à effectuer avec succès la difficile succession de manœuvres de l’« EDL » (« Entry, Descent, Landing ») et il a quand même fallu un peu de temps pour effectuer cette démonstration. Toutes les missions 2020 n’ont pas le même potentiel scientifique. Mars 2020 a réussi son premier test de conduite : la prochaine fois, ce sera sur Mars.
Nelly Lesage - il y a 7 heures - Sciences Le rover Mars 2020 a réussi son test de conduite.
La prochaine fois qu'il avancera, reculera et tournera sur ses roues, il ne sera plus sur Terre mais en mission sur la planète rouge. 6 mois après avoir reçu ses roues, Mars 2020 a fait son premier trajet. Sur Mars, les aurores brillent tout l'été. Vivre comme si vous habitiez sur Mars, le pari fou d'Interstellar Lab, une start-up française. Inscrivez-vous gratuitement à laNewsletter BFM Business La société tricolore a décidé de s'appuyer sur des technologies développées en vue de la conquête spatiale pour proposer aux chercheurs mais aussi au grand public de vivre une expérience aussi surprenante que dépaysante: celle de résider dans le premier village bio-régénératif capable de résister à des conditions extrêmes... comme si vous étiez sur la planète rouge.
On connaissait déjà les projets du fantasque patron de SpaceX, Elon Musk, consistant à envoyer un équipage vers la planète rouge et à habiter sur la Lune d'ici 2024. Voici désormais un autre projet, imaginé cette fois par la Française Barbara Belvisi, cofondatrice du Hardware Club (une société spécialisée dont le financement des start-up qui innovent avec des objets). D'étonnantes variations du niveau d'oxygène sur la surface de Mars déconcertent les scientifiques. Grâce au rover Curiosity, les scientifiques de la NASA ont enfin pu observer et analyser les divers phénomènes qui se déroulent sur la planète rouge.
Parmi ces phénomènes curieux, celui qui intrigue le plus les scientifiques est une variation importante de l’oxygène tout au long de l’année. Par exemple, grâce à une mission réalisée par le rover, on a pu déterminer que l’atmosphère martienne est composée à 95 % de dioxyde de carbone, à 2,6 % d’azote moléculaire, à 1,9 % d’argon, à 0,16 % d’oxygène moléculaire et à 0,06 % de monoxyde de carbone. Conquête de Mars : Faut-Il Faire Hiberner Les Astronautes. L’Agence spatiale européenne (ESA) étudie la possibilité de mettre en hibernation des astronautes, en vue de leur prochain voyage sur Mars, dans l’espoir de réduire radicalement l’architecture des engins spatiaux.
En retirant les cabines de l’équipage d’un vaisseau spatial, l’ESA affirme que la masse de ce dernier pourrait être réduite d’un tiers. Il en résulterait une réduction similaire des combustibles, équivalente à plusieurs tonnes de masse économisée. L’objectif est de pouvoir faire hiberner des êtres humains lors d’un voyage sur Mars au cours des vingt prochaines années. Les meilleures estimations actuelles exigent toujours un temps de déplacement aller simple de six mois. Mais l’ESA a commencé à expliquer comment l’hibernation permettrait aux concepteurs de mission d’ajuster l’architecture, la logistique, la protection contre les radiations, la consommation d’énergie et le design global des engins spatiaux. Elon Musk n'a besoin que de 1000 vaisseaux pour construire une ville sur Mars. Avec le « Mars Colony Design Contest » nous nous préparons sérieusement à partir pour Mars – Exploration spatiale. Cette semaine je suis à l’USC, University of Southern California (Los Angeles), où je défends la faisabilité d’un projet d’établissement martien de 1000 habitants devant un jury d’ingénieurs spécialistes et de membres de la communauté spatiale américaine.
Ce projet était en gestation depuis des années dans différents réflexions et travaux entrepris par moi-même au sein de la Mars Society Switzerland et mes amis de la Mars Society française (« Association Planète Mars »). Le lancement d’un concours sur le sujet par la Mars Society américaine nous a permis de le mettre en forme pour le soumettre à une évaluation « externe ». Nous avons constitué une petite équipe de trois personnes, moi-même, économiste et ancien banquier (entre autres !) Sur la faisabilité, nous avons des arguments que nous croyons évidemment solides. Pendant leur séjour nous ne voulons pas que les résidents ni d’ailleurs leurs hôtes, soient soumis au total arbitraire d’un « chef » ou d’un « commandant ». La NASA réussit finalement à creuser le sol de la planète Mars. Après des mois de tests sur Terre, la NASA parvient enfin à faire creuser la « taupe » de la mission InSight.
Prévue pour s’enfoncer de 5 mètres, elle n’avait jamais été au-delà de quelques centimètres. La mission InSight est un succès. Elle est capable de fournir l’activité sismique de la planète rouge grâce au sismomètre français développé par le Centre National d’Études Spatiales (CNES). Elle est même capable de fournir la météo locale et bien sûr des images de Mars dont les premières ont été reçues récemment. Mais jusqu’ici, elle avait un souci : son incapacité à creuser. La NASA réfute officiellement les allégations d'existence d'une vie extraterrestre qui auraient été découvertes sur Mars.
Avec ExoMars 2020, l'ESA est dans « une course contre la montre » À seulement huit mois de son lancement, la mission ExoMars n'est pas prête : les parachutes de l'atterrisseur ne sont pas au point.
La NASA et le JPL prêtent main-forte à l'ESA pour résoudre cet épineux problème et procéder à la validation des systèmes dans les temps. Le moindre faux pas pourrait faire reculer ExoMars d'encore deux ans. Une expérience montre que les sols lunaire et martien sont cultivables. L’établissement de bases extérieures à la Terre n’est aujourd’hui plus du domaine de la science-fiction.
Plusieurs concepts de bases lunaires et martiennes ont été développés par les agences spatiales, et la colonisation de ces environnements fait aujourd’hui partie de certains projets officiels. L’un des points clé à gérer dans une base extraterrestre est la production autonome de nourriture, et cela passe nécessairement par la capacité à cultiver des aliments. Dans une expérience récente, des biologistes ont reproduit les sols lunaires et martiens et sont parvenus à y cultiver différentes espèces de légumes et autres plants. La JAXA et la NASA s’entendent pour l’exploration de la Lune et de Mars. Les agences spatiales japonaises et américaines se sont entendues afin de parvenir à de multiples accords, dans le but de faire progresser les recherches et les activités humaines liées à l’exploration spatiale.
En première ligne, la reconquête de la Lune, suivi de celle de la planète Mars. C’est Hiroshi Yamakawa, le président de l’agence spatiale d’exploration aérospatiale nippone (JAXA) et James Bridenstine, un administrateur de la NASA, qui ont conclu en octobre un accord historique entre les deux organisations. À l’avenir, une plus grande coopération, des traités bilatéraux entre les deux institutions offriront de rapprocher les positions américaines et japonaises sur l’exploration spatiale. Pour les deux pays, c’est l’occasion de pouvoir rebondir sur l’objectif de visiter la Lune d’ici 2024 (program Artemis). Les concurrents, notamment russes et chinois, sont sur le qui-vive. À lire également : Le Japon va lancer son propre vaisseau spatial non habité vers l’ISS. De la vie sur Mars découverte en 1976 ? Pourquoi il faut prendre ce « buzz » avec précaution. Dans une tribune, un ancien scientifique de la Nasa affirme que son expérience prouvait la présence de vie sur Mars.
Si cette affirmation fait le buzz, elle n'apporte néanmoins aucune réponse factuelle : il peut avoir tort comme avoir raison. La NASA envisage bel et bien la propulsion nucléaire pour envoyer des fusées sur Mars. La NASA, poussée par les ambitions de Donald Trump pour 2024, réactive ses projets de fusée à propulsion nucléaire. La propulsion nucléaire thermique pourrait permettre, selon certains chercheurs, d'atteindre Mars en trois mois environ. Soit deux fois moins de temps qu'avec des engins traditionnels. Une idée qui n'est pas nouvelle. Écoutez les sons que la sonde InSight a enregistrés sur Mars. Vue en coupe sur l'instrument SEIS - Seismic Experiment for Interior Structure © NASA Opérant sur la plaine d'Elysium depuis quasiment un an, la sonde martienne InSight a déjà capturé à de nombreuses reprises les « chants » de bourrasques et autres « grondements » sismiques provenant des entrailles de la planète rouge.
Ces enregistrements réalisés par le sismomètre français SEIS (Seismic Experiment for Interior Structure) viennent d'être publiés sur la page SoundCloud de la NASA ! Si certains créatifs sur cette plateforme sont peut-être enthousiastes à l'idée d'utiliser ces échantillons, ces sons capturés à des millions de kilomètres de notre très chère Terre sont surtout la démonstration que Mars possède une sismologie complexe qui reste encore à étudier. Percer les secrets sismologiques de Mars Les « écoutes » et les jours se succèdent pour SEIS, tout comme les nuages au-dessus de son dôme. © NASA/JPL-Caltech.
Buzz Aldrin appelle à une "grande migration humaine vers Mars" Buzz Aldrin, le deuxième homme à avoir marché sur la Lune, a récemment appelé à une « grande migration humaine vers Mars ». Et les États-Unis devront être en première ligne. Interrogé dans les colonnes du Washington Post, l’astronaute s’est montré très enthousiaste (et légèrement pressant) quant à l’avenir de l’Homme sur la planète rouge. « Mars attend d’être découverte. Non pas par des robots et des rovers intelligents – bien que je soutienne les missions sans équipage de la NASA – mais par des personnes bien vivantes, respirant, marchant, parlant. Des personnes attentionnées et audacieuses, a-t-il expliqué. Pour que cela se produise, les membres du Congrès, de l’administration Trump et du public américain doivent impérativement veiller à faire des missions d’exploration humaine sur Mars une priorité nationale ». « Nous avons besoin de plus »
Pourrait-on nourrir un million de personnes sur Mars ? Le patron de SpaceX, Elon Musk, a récemment communiqué son intention de fonder une colonie sur Mars d’ici la fin du siècle. Il faudrait environ un million de personnes pour espérer atteindre l’autosuffisance. Une question se pose alors : comment nourrir tout le monde ? Projetons-nous dans le futur. Comme nous le savons, Elon Musk a de grands projets concernant Mars, notamment celui d’y fonder une première colonie. Sans rentrer dans les détails, il imagine un équipage initial de 12 personnes. Atterrissage: Retour sur Terre réussi du premier Emirati dans l’espace. L’Emirati Hazzaa Al Mansouri, entré dans l’Histoire en devenant le premier citoyen d’un pays arabe à séjourner dans la Station spatiale internationale (ISS), est revenu sans encombre sur Terre jeudi après une mission de huit jours en orbite. L’astronaute, devenu un héros dans son pays d’origine, a atterri comme prévu à 10h59 (11h59 en France) dans les steppes du Kazakhstan en compagnie de l’Américain Nick Hague et du Russe Alexeï Ovtchinine, qui avaient survécu au décollage raté de leur fusée l’année dernière.
La mission Mars Express - Observatoire de Paris - LESIA : Laboratoire d'études spatiales et d'instrumentation en astrophysique. À la recherche d'eau sur Mars, une mission périlleuse pour les Rovers. VIDÉO - Elon Musk dévoile sa fusée pour coloniser Mars. Mars : Une étude recommande de contaminer la planète rouge avec nos microbes. Espace : Des macaronis au fromage au menu de la première mission sur Mars. Prévue pour 2033, la première mission habitée sur Mars confirmée par le directeur de la NASA Jim Bridenstine devrait proposer des macaronis au fromage dans ses menus. C’est en tout cas ce que promet une équipe de scientifiques de la Washington State University, qui a récemment mis au point un nouveau procédé d’emballage capable de multiplier par trois le temps de conservation des célèbres mac n’cheese prêts à consommer.
Avec un voyage aller-retour vers Mars dont la durée est d’ores et déjà estimée à plusieurs années, au moins trois ans selon les informations du site The Next Web, il existe encore assez peu d’aliments estampillés aptes à voyager dans l’espace. Pour homologuer un consommable alimentaire, la NASA exige en effet que ce dernier ait une une durée de conservation assez longue — au minimum cinq ans. La vie sera trouvée sur Mars d'ici deux ans selon ce scientifique de la NASA. Dans un entretien publié par le Sunday Telegraph samedi 28 septembre, le scientifique de la NASA Jim Green estime que des traces de vies pourraient être trouvées sur Mars d’ici deux ans. Avec leurs rovers, qui arriveront sur la planète rouge en mars 2021, l’agence spatiale américaine et l’agence européenne (ESA) ont selon lui des chances de faire une découverte à laquelle le monde n’est pas préparé. « Cela va changer notre façon de penser », juge-t-il. « Je ne pense pas que nous sommes prêts pour les résultats.
Je suis préoccupé car je pense que nous sommes proches de faire une trouvaille et de l’annoncer. » Alors que l’appareil ExoMars forera le noyau de Mars pour l’ESA, le rover Mars 2020 de la NASA explorera ses formations rocheuses. Leurs échantillons seront ensuite analysés afin de trouver des matières organiques. SpaceX teste l'évacuation d'urgence de ses astronautes en cas de péril avant le vol.
La Nasa échoue à localiser l'atterrisseur indien Vikram sur la Lune. À qui appartient l’espace ? Devrions-nous délibérément contaminer Mars avec nos microbes ? Plusieurs chercheurs s’accordent à penser que la contamination par les germes terrestres sera inévitable une fois que nous aurons posé les pieds sur Mars. Alors, pourquoi ne pas tirer ce problème à notre avantage en “relâchant” délibérément des microbes par exemple ? Nous savons que certaines agences publiques et privées envisagent aujourd’hui une exploration humaine de Mars. C’est par exemple le cas de la NASA, SpaceX ou l’Administration spatiale nationale chinoise.
Cette intervention pourrait d’ailleurs avoir lieu au cours de la prochaine décennie si tant est que nous arrivions à relever les défis techniques et sanitaires inhérents à une telle mission. Mais si nous arrivons un jour à poser le pied sur la planète rouge, c’est pour y rester. Des protocoles mis en place Depuis le début de l’ère spatiale, les chercheurs ont pris au sérieux la menace de contamination biologique d’autres mondes. Elon Musk a dévoilé la fusée de SpaceX pour coloniser Mars. Devrions-nous vraiment envoyer des microbes sur Mars ? Des scientifiques proposent d'envoyer des microbes terrestres sur Mars, avant même d'y envoyer des humains. « Nous allons trouver de la vie sur Mars », mais… Recréer Mars avec la réalité virtuelle - Laval Virtual. Des scientifiques de l’Université de Nantes participent au projet PlanMap dans le cadre du programme Horizon 2020 de l’Union européenne.
La NASA veut une fusée nucléaire pour un voyage vers Mars deux fois plus court. Pourquoi Mars n'a pas de continents - Sciences.