Mémétique. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
La mémétique utilise le concept de mème, pour étudier les évolutions de la culture avec une approche Darwinienne étendue. Si la génétique se base sur le concept de gène, pour étudier la nature, la mémétique se base sur le concept de mème, pour étudier la culture. On y étudie le comportement des codes et schémas informationnels appelés mèmes, dans leurs milieux physico-chimiques et socio-culturels : l’homme, l’animal, la machine (tout support mémoriel). Théorie du gène égoïste. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Richard Dawkins. 3 techniques pour manipuler quelqu'un lorsqu'il prend une décision - Apprendre à manipuler. C’est une situation très courante : vous aimeriez influencer un interlocuteur sur un choix précis.
Seulement, cet interlocuteur a peut-être déjà été stimulé par quelqu’un ou quelque chose, et le choix que vous allez lui proposer n’est pas celui qui lui profitera le plus. Pour manipuler quelqu’un pendant une prise de décision, il existe un bon nombre de techniques : la plupart d’entre elles profitent de la théorie de la dissonance cognitive que je vous ai expliqué récemment. 1/ Proposez des alternatives à gain opposé L’exemple le plus simple s’applique au marketing.
Vous pourrez le réutiliser sans aucun souci dans votre vie de tous les jours. Comment approcher la génération Z ? Approcher une nouvelle génération est un challenge pour chaque professionnel du marketing et de la communication, la génération Z n'échappe pas à cette règle, voyons ce qui la différencie des autres générations.
Mashable a publié une infographie sur la prochaine audience, la génération Z. Nés après 1995, ils représentent 25,6% de la population américaine, leur contribution à l’économie du pays est déjà de 44 milliards $ (moyenne de 16,90$ par Z et par semaine, dépensés online). Il a déjà eu beaucoup de choses écrites à leur sujet, les Z fuiraient les réseaux fréquentés par leurs ainés, leur départ de Facebook est à l’origine de nombreux articles prédisant la mort du numéro 1 des réseaux sociaux. Voici en quoi ils différent de leur prédécesseurs les « Y » (nés entre 1976 et 1994) et comment les professionnels du digital peuvent les approcher. Loi de Murphy. Couverture du livre A History of Murphy's Law de Nick T.
Spark, illustrant de manière comique cet adage. Loi de Say. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Pour les articles homonymes, voir Say. En économie, la loi de Say (ou loi des débouchés) est attribuée à l'industriel et économiste français Jean-Baptiste Say (1767-1832). Elle est surtout connue sous l'interprétation qu'en a donnée John Maynard Keynes, résumée par l'affirmation lapidaire : « l'offre crée sa propre demande », autrement dit que la création d'un bien trouve toujours un débouché. Interprétation, car Jean-Baptiste Say, en défenseur du libéralisme économique, prône avant tout l'équilibre naturel de l'offre et de la demande, sans intervention de l'État (voir : le concept de demande effective, le libre-échange, le principe d'auto-régulation de l'économie de marché) Chez Say[modifier | modifier le code] Énoncé de la loi[modifier | modifier le code] Expérience de Milgram. Graphique montrant que 65 % des sujets de l'expérience infligent des souffrances maximales si on le leur ordonne Reconstitution de l'expérience de Milgram (extrait)[1].
Effet Dunning-Kruger. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Personnage d'une carte postale de 1910 qui a inspiré (entre autres sources) celui d'Alfred E. Neuman, la mascotte du magazine Mad. L’effet Dunning-Kruger est un biais cognitif selon lequel les moins compétents dans un domaine surestiment leur compétence alors que les plus compétents auraient tendance à sous-estimer leur niveau de compétence. Ce phénomène a été démontré au travers d'une série d'expériences dirigées par David Dunning et Justin Kruger. Leurs résultats furent publiés en décembre 1999[1] dans la revue Journal of Personality and Social Psychology. Dunning-Kruger effect. The Dunning-Kruger effect, named after David Dunning and Justin Kruger of Cornell University, occurs where people fail to adequately assess their level of competence — or specifically, their incompetence — at a task and thus consider themselves much more competent than everyone else.
This lack of awareness is attributed to their lower level of competence robbing them of the ability to critically analyse their performance, leading to a significant overestimate of themselves. Put more crudely, they're too stupid to realize they're stupid. The inverse also applies: competent people tend to underestimate their ability compared to others; this is known as impostor syndrome. If you have no doubts whatsoever about your brilliance, you could just be that damn good. On the other hand... [edit] The effect Those who scored well on these tests were shown, consistently, to underestimate their performance. [edit] A little knowledge can be dangerous. Effet Green-beard. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.