La valeur des choses. Au début d’un de ses cours, un professeur d’économie distribue à chacun de ses étudiants un panier de dix sucreries – réglisse, bonbon à la menthe, fraise tagada… - de telle sorte que chaque élève dispose exactement du même assortiment et leur demande d’évaluer la valeur de leurs dotations.
Les étudiants s’exécutent et inscrivent leurs évaluations sur un morceau de papier que le professeur récupère afin de calculer la richesse globale de cette microéconomie expérimentale. Cette première étape terminée, le professeur invite ses élèves à échanger librement leurs bonbons de telle sorte que celui qui n’aime pas la réglisse puisse l’échanger contre une sucrerie plus à son goût ou que l’amateur de fraises tagada puisse en récupérer le plus possible. Les étudiants se prêtent au jeu et chacun cherche à adapter sa dotation à son goût personnel. S'il n'y avait pas de prix. On vaut mieux que ça ? Il y a quelques jours, Stéphane Ménia twittait ça : Juste pour permettre à tout le monde de bien comprendre de quoi on parle, voici un graphe : c’est l’évolution des salaires médians au cours des 4 premières années de vie professionnelle, en fonction des diplômes et comparés au Smic [1].
Vous vous demandez pourquoi nos gamins sont au chômage ? La réponse est sous vos yeux : un système éducatif qui s’est considérablement dégradé ces 20 dernières années [2] et un salaire minimum (sans parler des cotisations sociales et autres taxes) déjà trop élevé et en constante augmentation. "Malgré les faits, il y en a encore qui croient que le communisme est bon et généreux" - Bibliobs. Le mythe des « Chicago Boys » Sergio de la Cuadra, Sergio de Castro, Pablo Baraona et Alvaro Bardón, 1982 L’infâme Joseph Goebbels, que seul son antisémitisme maladif empêchait d’être marxiste, avait en son temps établi un principe essentiel de toute campagne de propagande qui consiste à sélectionner quelques points – peu importe qu’ils soient vrais ou pas – et à les répéter continuellement jusqu’à ce qu’ils deviennent la vérité admise par tous.
C’est en application de ce principe qu’un certain nombre de malfaisants – ceux là mêmes qui défendaient Staline, Hitler, Mao, Pol Pot, Castro, Kim Jong Il, etc. – cherchent par tous les moyens à faire croire que les idées libérales portent en elles le germe du totalitarisme et avancent comme preuve l’idée selon laquelle Milton Friedman aurait participé à la junte d’Augusto Pinochet. En 1975, deux années après le coup d’État de Pinochet, le Chili connut une sévère récession. Deux décennies de démocratie ont suivi la chute du régime de Pinochet. Chili : le mythe des Chicago Boys. Écoles privées low cost : une chance pour des millions d’enfants. Par Laurent Buschini.
Primary School Classroom, Ethiopia L’éducation privée à bas coût est une réalité qui a été longtemps occultée. Le modèle est pourtant en pleine expansion comme le prouve l’exemple de l’Inde. Le Global Education & Skills Forum, organisé en mars à Dubaï par le groupe GEMS, plus grand groupe d’écoles privées du monde et qui possède une école à Etoy, a proposé une réflexion sur différentes facettes de l’éducation.
Le forum a notamment mis en lumière une réalité longtemps occultée : l’éducation low cost. Ce modèle est très répandu et très concurrentiel. Les parents des élèves qui fréquentent ces écoles sont balayeurs, journaliers dans les champs, vendeurs de rue, petits paysans ou pêcheurs. Les parents n’hésitent pas à envoyer leurs enfants à l’école loin de leur domicile, tant l’envie de leur donner une éducation est grande. Il existe quelque 300 écoles low cost rien qu’à Jamnagar. Le business model de toute école low cost repose sur le salaire des enseignants.
Theillier : « Les libéraux n’ont pas besoin de se dire libertariens » Une interview d’Adrien Faure, blogueur libertarien de Genève.
Adrien Faure : L’Institut Coppet est-il un institut libertarien ? Damien Theillier : Je voudrais répondre en deux temps. La première partie de ma réponse sera un peu technique mais nécessaire étant donné que ce terme de « libertarien » est un néologisme qui ne va pas de soi pour le public français. Pierre-Joseph Proudhon, Théorie de la Propriété (1862) Liberté et propriété En attaquant la propriété, j'avais eu soin, dès 1840, de protester, au nom de la liberté, contre le gouvernementalisme aussi bien que contre le communisme.
L'horreur de la réglementation a toujours été chez moi la plus forte; j'ai eu dès le début en abomination l'omnipotence centrale, monarchique, quand je me suis dit anarchiste. En 1848, je me suis déclaré opposé aux idées gouvernementales du Luxembourg. J'ai loué le gouvernement provisoire de sa réserve en matière de réformes sociales, et j'ai depuis déclaré maintes fois que cette réserve, tant reprochée, était un titre d'honneur à mes yeux. Cette journée de libération fiscale que les sociaux-démocrates détestent. La « journée de libération fiscale » a le don de mettre en rogne les journalistes de la presse subventionnée.
Cette année, c’est le quotidien Libération qui prend le parti de défendre l’oppression fiscale. Les sociaux-démocrates sont très habiles en production d’éléments de langage en vue de faire passer des vessies pour des lanternes. Le prix du pain selon le FN. «Les prix de certains produits alimentaires de première nécessité (lait, pain, sucre, beurre, farine, etc.) feront l’objet d’un encadrement légal», tandis que «l’Etat réglementera les tarifs de l’électricité et du gaz, imposera des tarifs plafonds à tous les opérateurs des transports publics locaux.»
Ces lignes audacieuses ne figurent ni parmi les mesures d’urgence d’un pays en guerre ni dans les propositions de Syriza à l’Eurogroupe, mais sur le site du Front national, qui souhaite donc réglementer, entre autres, le prix du pain. Qui aurait pu penser qu’il faudrait encore, au XXIe siècle, démontrer l’inanité d’une telle politique ? Collage Collectif Antigone. Citations sur le communisme par le site ADEL. Citations.
La Remise en cause de l'absolutisme. Le travail des enfants Au XIXe siècle, l'utilisation de la main d'oeuvre infantile dans les manufactures textiles, les usines metallurgiques, les mines et les exploitations agricoles bat son plein.
Ainsi, au début des années 1840, selon le « recensement de la statistique générale de France », il y avait près de 145.000 enfants âgés de 8 à 16 ans qui travaillaient dans la grande industrie dont 93.000 pour le seul secteur textile. Alors que depuis 1802, les Anglais avaient commencé à légiférer en la matière, la France reste très en retard. Il faudra attendre 1840 pour que Charles Dupin, député libéral du Xe arrondissement de Paris, porté par les parlementaires libéraux de la Monarchie de Juillet dépose une proposition de loi pour limiter le travail des enfants. Celle-ci suscitera des débats houleux entre députés et sénateurs et sera finalement adoptée le 22 mars 1841.
La privatisation de certaines entreprises (secteur énergétique ; assurance ma... La privatisation de certaines entreprises (secteur énergétique ; assurance maladie/médecine) fournissant des services dont toute la population a besoin n'entraîne-t-elle pas une hausse des prix due à tendance à faire du profit (rémunération des dirigeants) au détriment du consommateur (citoyen) ? Non. Même en cas de hausse des prix, elle ne se fait pas au détriment du consommateur si toute la population en a besoin. Voici pourquoi.Il nous faut d'abord différencier le coût du prix. La propriété, c'est le vol, Madame Duflot ?
FIGAROVOX - Chaque semaine, Gaspard Koenig remonte aux sources philosophiques de la pensée économique et soudain tout s'éclaire ! Ancien élève de l'Ecole Normale Supérieure, agrégé de philosophie, Gaspard Koenig est Président du think-tank GenerationLibre. Aujourd'hui, plus de soixante départements ont choisi, comme le leur permettait la dernière loi de finances, d'augmenter les droits de mutation qu'ils prélèvent sur les transactions immobilières, ce qui ne pourra que décourager encore davantage les éventuels acheteurs. Liberte-expression. Désolé, mais Paul Krugman se trompe. Depuis 2008, à part le lauréat du prix Nobel, journaliste au New York Times et professeur d’économie à Princeton, Paul Krugman, peu de gens aux Etats-Unis ont écrit sur la crise financière en Europe. Cinq ans après, on peut dire que la zone euro a survécu en dépit de ses prédictions, et que les pays qui ont opté pour la discipline fiscale, contrairement à ce que Krugman préconisait, s’en sont mieux sortis, aussi bien économiquement que politiquement.
L’opinion de Krugman est largement acceptée dans le monde économique anglo-américain. Coût du travail. Diapositive 1. Parmi les très riches, combien d’entrepreneurs ? - Emploi 2017. Inégalités dimanche 17 novembre 2013, par Valérie. Le rôle des banquiers centraux : petit rappel historique. Bâle et les défaillances du marché. Pulp Libéralisme » Blog. La subjectivité chez Frédéric Bastiat. Raymond Aron : l'étude du marxisme. Petites chroniques désabusées d'un pays en lente décomposition… Le nivellement par le haut.
Charges patronales ou salariales, c'est toujours vous qui payez. Les politiques voudraient faire croire que les charges patronales et salariales sont différentes. Des écoles privées pour les pauvres. Le libre marché est de toute importance pour le développement et que les plus grandes ressources dont disposent les plus pauvres habitants de notre planète, ce sont leurs propres forces, leurs propres idées et leurs propres choix, loin de toute espèce d’experts. Qu’est-ce que le libéralisme ? Par Gérard Dréan. Lorsque les mots perdent leur sens, les gens perdent leur liberté (Confucius) Courbe de laffer et taxe 75% L'Assemblée nationale a voté vendredi la contribution exceptionnelle à 75% sur les très hauts revenus d’activité, annoncée par François Hollande pendant sa campagne présidentielle et décriée par les députés UMP comme une mesure «symbolique» qui va «très peu rapporter».
Cette contribution vise pendant deux ans les revenus d’activité supérieurs à 1 million d’euros par an et par contribuable. Elle doit toucher environ 1 500 personnes, qui paieront en moyenne 140 000 euros à ce titre, pour un gain estimé à 210 millions d’euros par an.