background preloader

Euro 2

Facebook Twitter

Pourquoi la zone euro n’est pas, et pourrait n’être jamais viable. Une petite révolution qui ressemble à une grosse rustine.

Pourquoi la zone euro n’est pas, et pourrait n’être jamais viable

Ce lundi 18 mai, Angela Merkel et Emmanuel Macron ont présenté un dispositif pour venir en aide aux États, territoires et secteurs d’activité les plus affectés par la pandémie. En résumé : dans le cadre du budget pluriannuel de l’Union, 500 milliards seraient empruntés par l’UE sur les marchés financiers, puis redistribués comme des aides directes à dépenser. Les remboursements de l’emprunt seraient bien effectués solidairement par les 27 États-membres, et non pas seulement par les consommateurs de ces crédits. Ce premier pas vers une politique de transferts est analysé comme une concession importante de la part de Berlin. L'euro vingt ans après, bilan et perspectives. L’Italie est-elle en train de créer une monnaie parallèle? - Page 2. Selon une étude allemande, l'euro aurait particulièrement nui aux Français. Un plan pour sauver l'euro : sa nationalisation. Avant que ne se produise une désintégration anarchique de l'euro ainsi que le préconisent certains responsables politiques de droite comme de gauche, une gestion pragmatique par tous les pays membres pourrait se concevoir en amont.

Un plan pour sauver l'euro : sa nationalisation

En effet, bien que la banque centrale, sise à Francfort soit européenne, les billets émis par chacune des banques centrales nationales ne le sont pas. En France, en particulier, la définition de l'euro témoigne d'un ancrage national. Un plan B pour la zone euro. Sergio Rossi Le mois de novembre commence habituellement par la fête des morts.

Un plan B pour la zone euro

Cette année, il y a lieu d’y intégrer la mort de l’idéal européen qui fut à l’origine de la signature du Traité de Rome le 25 mars 1957 entre les 6 pays fondateurs de la Communauté économique européenne (l’année prochaine marquera le 60ème anniversaire de cette signature épique…). Cet idéal européen était tributaire des ravages de la Deuxième guerre mondiale à travers le Vieux continent et tablait sur l’intégration au plan économique des dits pays pour éviter que de tels drames frappent de nouveau la population européenne. Et si on revenait au franc. République française credits adrian midgley (licence creative commons) Vous avez peut-être vu circuler cette image sur les réseaux sociaux : Ceux d’entre vous qui ont quelques notions basiques d’économie (ou, à défaut, un minimum de mémoire) ont sans doute déjà repéré quelques chiffres étranges.

Et si on revenait au franc

Voici le détail : Le kilo de tomates Le prix moyen du kilo de tomates de 2014 était en réalité un peu plus élevé que ça : selon l’Insee, il fallait débourser 2,8 euros soit 18,37 francs. Passer de la monnaie unique à la monnaie commune. Tenter d'analyser l'avenir de l'euro ne peut se projeter sans un rappel rapide de son histoire, même si elle est courte.

Passer de la monnaie unique à la monnaie commune

Les problèmes que cette monnaie unique pose avec acuité nous incitent à concevoir sa mutation qui s'ordonnerait autour de deux solutions. Un déséquilibre entre le politique et le monétaire La construction de l'Europe s'est élaborée en faisant appel à deux mouvements qui se voulaient parallèles: celui de l'approfondissement et celui de l'élargissement. Force est de constater qu'ils sont devenus plutôt divergents. King, Stiglitz et l’Euro – RussEurope. Une nouvelle fait réagir les économistes : Lord Mervyn King, l’ancien gouverneur de la Bank of England ou Banque Centrale du Royaume-Uni (de 2003 à 2013), se prépare à sortir un livre[1] dans lequel il étrille l’Euro.

King, Stiglitz et l’Euro – RussEurope

Le journal britannique The Telegraph a publié le 27 février des « bonnes feuilles » de cet ouvrage[2]. De plus, on annonce pour le 31 mai 2016 la sortie d’un nouvel ouvrage de Joseph Stiglitz, ci-devant prix Nobel, entièrement consacré au risque que l’Euro fait peser sur l’économie de l’Union européenne[3]. Ces deux livres sont particulièrement significatifs car l’un a été écrit par un « praticien » de l’économie et l’autre par l’un de ses plus grands théoriciens. La sortie de ces deux livres est donc symptomatique de la situation de crise actuelle. Aimer l’Europe, haïr l’euro. LE MONDE CULTURE ET IDEES | • Mis à jour le | Par Claire Gatinois Ils assurent « venir de l’Europe ».

Aimer l’Europe, haïr l’euro

La chérir, vouloir la préserver. Leur démarche, disent-ils, ne vise qu’à sauver ce projet qui les a tant fait rêver. Ils sont jeunes, vieux. Un peu à gauche, parfois à droite. L’euro doit devenir une monnaie commune. Sergio Rossi La très grande majorité des économistes prête davantage attention à la cohérence interne des modèles mathématiques qu’ils développent qu’à la rigueur conceptuelle des termes utilisés dans leurs analyses.

L’euro doit devenir une monnaie commune

Il est possible de s’en rendre compte très facilement, en demandant à un enseignant–chercheur en sciences économiques quelle est (si elle existe en réalité) la différence conceptuelle entre une monnaie unique et une monnaie commune. L’évidence empirique disponible à travers l’abondante littérature en économie monétaire indique que 99,99 pour cent des économistes ne distinguent aucunement la monnaie unique de la monnaie commune. Cela ne suffit pas, toutefois, pour conclure que ces deux concepts sont en fait synonymiques. Zone euro : débattre sans interdit ni autocensure ! Flushdoc. Zone euro : la divergence exacerbée. Ceux qui ont aimé ont aussi apprécié Les dernières émissions d'Olivier Passet Les dernières émissions Toutes les dernières émissions Xerfi Canal Économie.

Zone euro : la divergence exacerbée

Peut-on encore sauver l’euro ? LE MONDE ECONOMIE | • Mis à jour le | Par Marie Charrel Ils ont le blues.

Peut-on encore sauver l’euro ?

Economistes, politiques, citoyens : les europhiles qui, il y a quinze ans, pensaient que la monnaie unique apporterait prospérité et intégration sont aujourd’hui inquiets. Ils vacillent. « L’euro de Maastricht ne fonctionne pas », constate Agnès Bénassy-Quéré, du Conseil d’analyse économique (CAE). « Nous avons commis beaucoup d’erreurs », ajoute Henrik Enderlein, fondateur de l’Institut Jacques-Delors, à Berlin. « Si c’était à refaire, il faudrait probablement s’y prendre différemment », complète Jean Pisani-Ferry, président de France Stratégie, centre de réflexion rattaché à Matignon.

La Grèce en route vers la « double monnaie » ? Olivier Delorme, historien et spécialiste de la Grèce, vient de repérer une information intéressante sur le site grec To Pontiki.Des responsables européens auraient récemment évoqué, en cas d'échec des négociations entre la Grèce et l'Eurogroupe sur le sujet des réformes et d'impossibilité pour Athènesde faire face à ses dépenses courantes, de mettre en place provisoirement une « double monnaie ».

Idée farfelue ? Ce créatif individu, répondant au doux patronyme de Thomas Meyer, avait expliqué ceci : le gouvernement hellène étant sur le point de se trouver à court d'argent pour payer les traitement des fonctionnaires et les retraites - et faute de disposer d'une banque centrale nationale pouvant émettre des euros - il pourrait être amené à imprimer des reconnaissances de dette ou « IoU » («I owe you» ). L'euro disparaîtra comme l'Union latine, il y a 93 ans. Il y a 93 ans, les Européens renonçaient déjà à une Union monétaire. Le destin de la monnaie unique sera le même si chaque pays suit son propre intérêt égoïste. Les élections régionales françaises et italiennes sont passées. Vivement le 9 mai, afin que les élections allemandes soient elles aussi terminées. Cela permettra peut être à l'Europe de recommencer à penser à un avenir commun...

Peut être faudrait-il d'ailleurs coordonner les calendriers électoraux des 27 afin d'éviter que les attaques de nationalisme durent trop longtemps... En fait, ce fut un immense succès et ce sont les adhésions qui affluèrent. Malgré tout, l'Union latine allait vivre encore longtemps, puisqu'elle parvint même à survivre à la guerre de 1914- 1918. Le prix de votre baguette a-t-il augmenté avec l'euro? INFOGRAPHIE - Selon les idées reçues, depuis la mise en circulation de l'euro, les prix ont explosé. Pourtant, celui de la baguette ou du café poursuit une hausse constante depuis vingt ans. Explications. En 1992, 500 grammes de pâtes supérieures coûtent, en valeur réelle (corrigée de la variation des prix), 0,80 euro. En 2014, ce paquet de pâtes vaut 77 centimes.

Une sortie de l'euro ne serait pas un gouffre financier - Les Echos. Passer de la monnaie unique à la monnaie commune. Jusqu'où peut tomber l'euro. Le Graphique de Xerfi : L'évolution des balances courantes en zone euro. Sans titre.