Eric Berne L'AT de A...à Z. « Allez mieux d’abord, on analysera ensuite si vous le voulez » (Eric Berne – Que dites-vous après avoir dit Bonjour ?)
Eric Berne (1910-1970), médecin psychiatre américain, est le fondateur de l’Analyse Transactionnelle. Eric Berne est né à Montréal le 10 mai 1910 d’un père, David, médecin généraliste et d’une mère, Sarah, écrivain et éditeur. Sa famille est originaire de Pologne et de Russie. Il a une sœur cadette, Grace. Son père meurt de tuberculose à l’âge de 38 ans, alors qu’Eric n’en a que 9. En 1938/1939, Eric obtient la nationalité américaine et change son nom, initialement Eric Lennard Bernstein. En 1941, il commence sa formation de psychanalyste et suit une analyse pendant deux ans avec Paul Federn, analyse qu’il poursuivra après la guerre en 1947 avec Erik Erikson.
Il emménage définitivement à Carmel, près de San Francisco, en 1946, seul d’abord puis avec sa seconde épouse Dorothy. Les années 1964-1970 furent des années de travail intense. Témoignages vidéos d’Eric Berne. Éric Berne - Des jeux et des hommes. Ce que nous avons dit jusqu'ici peut se résumer dans l'« expression familière » : « Si l'on ne te caresse pas, ta moelle épinière se flétrira.
(p. 14) Chacun transporte à l'intérieur de soi ses parents. [...] Chacun possède un adulte. [...] Chacun transporte à l'intérieur de soi un petit garçon ou une petite fille. (p. 26) Introduction. Analyse transactionnelle. Analyse transactionnelle. L'analyse transactionnelle (AT) est au départ une forme de psychothérapie.
Mais c’est aussi une théorie de « psychiatrie sociale » (selon les mots de son concepteur) parce qu'elle propose d’étudier le psychisme des personnes en analysant leurs relations sociales. Elle tire d'ailleurs son nom du mot « transaction » qui, en anglais, désigne un échange, verbal ou pas. On a souvent qualifié cette approche de « version populaire de la psychanalyse »1. Les analystes transactionnels expliquent les dysfonctionnements, les comportements inadéquats, les maladies psychosomatiques et même les névroses et les psychoses par des notions de « décisions précoces » et de « scénarios de vie ».
Dès l’enfance (de 3 ans à 8 ans), on ferait nôtres des décisions, des renoncements et des « choix douloureux ». L’approche est utilisée en travail psychothérapeutique auprès d’individus, de couples et de familles. À quel moi parles-tu? Prendre la responsabilité du changement. Le "stroke", ou besoin de reconnaissance. Stimulation positive ou négative, le "stroke" serait indispensable à la survie biologique et psychologique des individus de tout âge.
L'indifférence, serait-elle néfaste pour la santé de ceux qui la subissent? Le stroke: généralisation, traduction et définition L'usage du terme "stroke" a été généralisé en psychologie par le psychiatre américain, le Dr. Eric Berne dans ses ouvrages traitant de l'analyse transactionnelle. "To stroke" est un verbe anglais intraduisible en français. Le stroke conditionnel, inconditionnel, positif et négatif Pour être efficace, le stroke, quel que soit son type, doit être authentique et sincère. Le stroke conditionnel: il est relatif, c'est-à-dire rattaché à une seule donnée. Le stroke par la parole, la lecture ou les parfums Tout le monde n'est pas sensible aux mêmes types de strokes de la même manière. Analyse transactionnelle.
Cet article présente des problèmes multiples.
En psychologie, l'analyse transactionnelle, appelée aussi AT, est une théorie de la personnalité, des rapports sociaux[1] et de la communication. Créée dans les années 1950 par le médecin psychiatre et psychanalyste Éric Berne[2], elle postule des « états du Moi » (Parent, Adulte, Enfant), et étudie les phénomènes intrapsychiques à travers les échanges relationnels de deux personnes ou plus, appelés « transactions ». L'analyse transactionnelle vise à permettre une prise de conscience ainsi qu'une meilleure compréhension de « ce qui se joue ici et maintenant » dans les relations entre deux personnes et dans les groupes. L'analyse transactionnelle propose des grilles de lecture pour la compréhension des problèmes relationnels ainsi que des modalités d'intervention pour résoudre ces problèmes. L'exploration de la personnalité peut se réaliser à 2 niveaux (p. 5 à 14)[3] : Histoire[modifier | modifier le code] Concepts[modifier | modifier le code]
Changer son regard sur soi-même et sur l’autre : Les positions de vie de l’analyse transactionnelle - Prévenir - Cap sur la prévention. Agnès Le Guernic - Analyste transactionnelle En cas de difficulté, chacun a spontanément tendance à s’attribuer la responsabilité de ce qui ne va pas ou de l’attribuer à quelqu’un d’autre, un proche de préférence : « C’est de ma faute !
» dit l’un ; « C’est de ta faute, dit l’autre ». Cela s’applique aux petites choses comme aux grandes. Prenons qu’il se produise une inondation dans la salle de bains. Certains diront tout de suite: « Qu’est ce que tu as encore fait ? Dans le langage de l’analyse transactionnelle, on dira dans le premier cas que la mère, dans sa relation avec son enfant est dans la position : « Moi, je suis OK – Toi, tu n’es pas OK » (position OK+/OK -) Et dans le second qu’elle est dans la position : « Moi, je ne suis pas OK – toi, tu es OK » (position OK-/OK +). Les signes négatifs (-) et positif (+) symbolisent la perception négative ou positive que chacune a d’abord de soi puis de l’autre.