Ces femmes de la Commune... Ces femmes de la Commune...
Source : Versailles, décembre 1871, le Président du 6ème Conseil de Guerre interroge : Le Président : Accusée Louise Michel, avez-vous quelque chose à dire pour votre défense ? Une femme libre à la Belle-Epoque. Rirette !
Deux ou trois adresses que je sais d’elle en font une Bellevilloise : 39, rue des Amandiers, 24 rue Fessart, 46 rue Julien Lacroix… C’est en écrivant pour « Quartiers Libres », il y a quelques années, un article consacré à la bande à Bonnot (n°68/69) que j’ai pour la première fois croisé sa silhouette. L’anarchie individualiste et les fameux bandits. MAITREJEAN Rirette, nee ESTORGES Anna Dictionnaire international des militants anarchistes. Née le 14 août 1887 à Saint-Maixant (Corrèze) - morte le 14 juin 1968 - Correctrice - CGT – Paris - Belgique Vers 1904, Anna Estorges vint à Paris et fréquenta les milieux lanarchistes individualistes à partir de 1906.
Dans ses souvenirs elle décrivait aini son parcours : « …je suis partie vivre ma vie. Photos femmes et anarchie. Le Drapeau Noir - Louise Michel. Une grande figure de l'anarchisme Ni vierge, Ni rouge !
Par Elisabeth Claude Avant d'examiner de plus près le cheminement de cette militante révolutionnaire, ouvrons une parenthése qui mettra à bas le mythe "petite soeur des pauvres" impose par des historiens étudiant le passé par le bout de la lorgnette des préjugés. Qu’est-ce que l’anarchie offre à la femme ? Rapidement, et en toute sincérité Emma Goldman, la prêtresse de d’anarchie, exilée de Russie, crainte par la police, et actuellement invitée des anarchistes [1] de St.
Louis donna cette réponse à ma question. Je l’ai rencontrée au numéro 1722 de l’avenue Oregon, dans une maison ancienne de briques à deux étages ; la maison d’un sympatisant [2] et non pas d’un membre de sa famille m’a-t-on annoncé. J’étais reçu par une femme allemande corpulente, d’un naturel aimable et emmené dans une salle à manger de type allemand, tout était propre et net autant que le savon et l’eau le permettait. Après avoir essuyé soigneusement une chaise pour moi avec son tablier, elle répéta mon nom à l’audacieuse petite libre penseuse.
J’étais le bienvenu. “Non, en aucune façon” répondit la jolie petite anarchiste, aussi vivement qu’au début. « je pense que lorsque deux personnes s’aiment, aucun juge, ministre ou tribunal, ou corporation humaine ne sont en aucun cas concernés. “Libre ! Louise Michel. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Louise Michel Louise Michel, gravure de Néraudan. Louise Michel, militante anarchiste. Louise Michel (1830 – 1905 à Marseille) est une militante anarchiste, féministe, et l’une des figures majeures de la Commune de Paris.
Née le 29 mai 1830 en Haute-Marne au château de Vroncourt, Louise Michel est la fille de Marie-Anne Michel, servante, et de "père inconnu" (probablement Laurent Demahis, fils du châtelain). Elle grandit au château et y reçoit une éducation de qualité. En 1850, à la mort des propriétaires, sa mère et elle doivent quitter le château. En 1852, Louise obtient un diplôme d’institutrice. Emma Goldman. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Pour les articles homonymes, voir Goldman. Emma Goldman est une anarchiste russe d’origine juive, née le et morte le , connue pour son activisme politique, ses écrits et ses discours radicaux libertaires et féministes[1]. Elle a joué un rôle majeur dans le développement de la philosophie anarchiste en Amérique du Nord et en Europe dans la première moitié du XXe siècle. Voltairine de Cleyre. Photographie de Voltairine de CleyrePhiladelphie, Noël 1891.
Son féminisme radical l'amène, dès 1890, à dénoncer « l’esclavage sexuel » et le viol légal qu’est à ses yeux l'institution du mariage. Biographie[modifier | modifier le code] Voltairine de Cleyre est née dans une famille pauvre de la classe ouvrière. Voltairine de Cleyre. De Anarchopedia. Voltairine de Cleyre est née le 17 novembre 1866 dans le Michigan, aux États-Unis.
[Chroniques Rebelles] Femmes et anarchistes. De Mujeres Libres aux anarchaféministes. Si l’on excepte l’un des pères fondateurs de l’anarchisme, Proudhon — que certaines de ses phallophrases rendent digne de figurer au panthéon de la mysogynie [1]—, les anarchistes revendiquent la liberté et l’égalité pour tous les individus, ce qui induit entre les sexes.
La plupart des théoriciens sont à ce propos sans ambiguïté, qu’il s’agisse de Bakounine : « Il n’est point d’autre principe moralisateur, ni pour la société ni pour l’individu, que la liberté dans la plus parfaite égalité. » [2] « Je ne suis vraiment libre que lorsque tous les êtres humains qui m’entourent, hommes, femmes, sont également libres. » [3] Ou de Malatesta : « […] combattons la prétention brutale du mâle qui se croit maître de la femelle, combattons les préjugés religieux, sociaux et sexuels. » [4] Cependant, il n’y a pas pour les anarchistes une question spécifiquement féminine : la libération des femmes est conçue et comprise dans le problème plus général de la libération de la personne humaine.
Tuée en Espagne... Quelques femmes dans la guerre d'Espagne. Originaire d’une famille de la classe moyenne, Georgette Brivadis (du nom de sa mère, Léontine), puis Ango après la reconnaissance par son père Robert en 1908, avait quitté la maison familiale à l’êge de 16 ans pour gagner Paris où elle fut accueillie chez André Colomer dont la compagne, Magdalena, l’initia aux idées libertaires. Elle vécut ensuite à partir de 1925 en union libre avec Fernand Fortin et fut membre du groupe Education Sociale que ce dernier avait fondé à Loches en Touraine et où elle commença à intervenir dans les meetings et les festivals. Revenue à Paris en 1928, elle fit partie sous le nom de scène de Mimosa d’un groupe théâtral qui animait les réunions et les festivals libertaires en région parisienne.
Selon Lola Iturbe « …quand elle avait fini son récital, elle descendait dans la salle et vendait La Revue Anarchiste » (Paris, 25 numéros de décembre 1929 à juin 1936) dont le gérant était son compagnon Fortin. A la même époque elle obtint un diplôme d’infirmière. Anarchisme et féminisme. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les militantes anarchistes individualistes : des femmes libres à la Belle Époque. 1Dans les travaux qui retracent la genèse du mouvement féministe, les figures des femmes anarchistes individualistes du début du xxe siècle ne sont guère citées. Peut-être parce que, étant hostiles au régime parlementaire comme au salariat, elles se sont tenues à l’écart des combats menés par les féministes de la Belle Époque pour l’obtention du droit de vote et pour l’amélioration des conditions de travail des femmes, peut-être aussi parce que, à l’exception des articles publiés dans la presse libertaire et de quelques brochures aujourd’hui oubliées, elles ont laissé peu de traces écrites.
Le rejet de l’ouvriérisme 3On peut dater de la fin des années 1890 l’apparition en France d’un courant individualiste au sein du mouvement anarchiste.