Quelle fiscalité pour la droite en 2017 ? LA CHRONIQUE D'YVES DE KERDREL- La primaire à droite oblige chaque candidat à rivaliser d'imagination pour proposer des idées nouvelles en matière fiscale.
Avec la candidature de Nathalie Kosciusko-Morizet pour les primaires de la droite et du centre, le casting final est désormais en place. Seul Nicolas Sarkozy n'est pas encore candidat déclaré pour ces primaires. Il a annoncé la semaine passée vouloir prendre sa décision «autour de l'été». Impôts : Les PME sont taxées 25% de plus que les grands groupes. Les chiffres évoqués au printemps dernier sur les écarts de taxation entre grosses et moyennes entreprises sont confirmés par une étude.
Elle souligne en outre que tous les secteurs ne sont pas égaux devant l'impôt. Le débat sur la taxation des grosses entreprises, qui avait émergé lors de la campagne présidentielle du printemps dernier, refait surface. Une étude du cabinet de conseil en management des coûts, Lowendalmasaï, publiée ce mardi, montre que l'écart d'imposition entre les grosses entreprises de plus d'un milliard d'euros de chiffre d'affaires et les entreprises de taille intermédiaire (ETI) est de 25% en moyenne. L'indice TTC 2012 (Total taxes et cotisations, qui fait la somme des taxes, impôts et cotisations sociales rapportée au chiffre d'affaires des entreprises) est de 9% pour les grosses entreprises contre 12,22% pour les PME.
Différence par secteur. La pression fiscale explose pour les PME, malgré le CICE. Lowendalmasaï, cabinet de conseil en management des coûts, publie la 4ème édition de l’Indice TTC (Total taxes et cotisations), nouvel indicateur de référence sur la taxation des entreprises.
Mené sur 15.000 entreprises de tous les secteurs d’activité, il prend en compte l’ensemble des taxes et cotisations auxquelles les entreprises sont assujetties et qui ont un impact sur leur performance globale, et pas seulement l’impôt sur les sociétés (IS). Les étudiants jugent la fiscalité sur les entreprises trop lourde. «Le concours Lépine de la fiscalité» Réaction (0) La réforme annoncée de la remise à plat de la fiscalité se fait attendre comme l'analyse notre éditorialiste Guillaume Tabard.
Réagir à cette vidéo Pour commenter cet article, veuillez vous connecter avec votre compte Mon Figaro. Connexion. Fiscalité : à chacun sa niche. Réaction (0) Les explications très claires de "DR CAC", le programme économique de France 5.
Réagir à cette vidéo Pour commenter cet article, veuillez vous connecter avec votre compte Mon Figaro. Connexion Plus de chaînes Découverte en Patagonie argentine, cette espèce nommée Gualichoshinyae a des allures de Tyrannosaure, avec ses pattes avant courtes. La fiscalité dérogatoire traduit la dégénérescence de l'Etat-providence. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Michel Bouvier, professeur à l'université Paris-I Panthéon-Sorbonne, directeur de la "Revue française de finances publiques", président de Fondafip.
Ce n’est pas parce que c’est complexe que c’est compliqué ! (1/3) L’humanité atteint un niveau de complexité inégalé.
Le défi majeur des entreprises est de gérer cette complexité qui génère aujourd’hui la plupart des freins et des blocages qu’elles rencontrent. Et pourtant, ce n’est pas parce que c’est complexe que c’est compliqué. Ce n’est pas parce que c’est complexe que c’est compliqué ! On parle souvent de problème complexe, d’une situation ou d’une organisation complexe… en réalité juste pour dire « compliqué » de manière élégante. Et pourtant, complexe ne veut absolument pas dire compliqué ! En effet, d’après Edgar Morin[1], chercheur français de renommée mondiale ayant dédié sa vie à la compréhension de la complexité, le mot complexe vient du latin complexus qui signifie « tissé ensemble ».
Ce n’est pas parce que c’est complexe que c’est compliqué ! (1/3) Facilitation graphique, video scribing et design de l'information. Stratégies des PME memoire Cindy. Processus stratégique stratégie délibérée et émergente Stratégique édition 8 Pearson Johnson, Scholes, Whittington, Frer. +++ Expert comptable - Quelle présence dans les entreprises. ++ L'expertise-comptable des TPE-PME, du service au conseil. XEnvoyer cet article par e-mail L'expertise-comptable des TPE-PME, du service au conseil XEnvoyer cet article par e-mailL'expertise-comptable des TPE-PME, du service au conseil L’élargissement des missions de l’expert-comptable en fait un allié de poids pour le patron de TPE-PME La complexification du contexte économique et la multiplication des réglementations requièrent de plus en plus de conseil financier, social et fiscal, de la part des experts-comptables auprès des TPE et PME , quelque peu démunies en interne.
Des conseils, qui vont bien au-delà du service traditionnel que représente la tenue et l’établissement des comptes, et qu’il leur faut désormais apprendre à facturer, d’autant plus que la seule mission de services comptables leur permet de moins en moins d’être rentable. ++ Fiscalité et responsabilité globale de l'entreprise. Le concept de gouvernance semble en fait ainsi au cœur de la réflexion sousjacente.
Perez (2008, p. 1819) note, à juste titre, qu’« il faut (…) se méfier des concepts quand ils deviennent des modes, voire des « mots-valises » utilisés parfois sans discernement, ou avec le dessein, explicite ou non, d’enrober le propos dans un nuage sémantique dont l’emballage novateur tiendrait lieu d’argument ». Si le concept de « gouvernance » court déjà ce risque, celui de « gouvernance juridique et fiscale » le courrait peut-être davantage encore, même si son usage est bien plus restreint. Fiscalité et Finance d’entreprise. Info intro partie 2. Faire prospérer les PME. Notes Données Eurostat, 2011 pour la France et 2012 pour l’Allemagne.
Voir, par exemple, Mayer T. et G. Ottaviano (2007) : « The Happy Few: The Internationalisation of European Firms », Bruegel Blueprint, n° 3. Outre son nombre de salariés (moins de 250), la PME se définit par un chiffre d’affaires inférieur à 50 millions d’euros ou un bilan inférieur à 43 millions. Factiva 20160702 2231. Moins d'impôts pour les sociétés. Fiscalité des PME : les effets pervers de la réforme.
L’économie allemande repose sur le Mittelstand 1L’opinion publique ne retient de l’économie que l’image des grands groupes, surtout des sociétés par actions cotées au DAX. Pourtant, l’économie allemande repose en réalité largement sur les PME (le Mittelstand). Résultats de recherche. Guide du me moire de recherche applique e ECEBordeaux Lyon.