Universalis : Congrès de Vienne. Universalis : la Sainte-Alliance. La Sainte Alliance (1815-1848) De son émergence à son échec - Rueefli Spiess - Cours. Séminaire d’Histoire diplomatique et des Relations Internationales M.
Cerutti Université de Genève Anne-Virginie Droz Mark Posey Anna Rüefli Décembre 2005 La Sainte Alliance (1815-1848) De son émergence à son échec Peinture : ISABEN, J. B. ,Le congrès de Vienne. Introduction « Personne ne connaît mieux que moi tout ce qui se rapporte à ce monument ‘vide et ’1 sonore . » Voici ce que disait le prince de Metternich du pacte de la Sainte Alliance signé à Paris le 26 septembre 1815.
Francis Choisel. La Sainte Alliance: sécurité collective ou souveraineté limitée? Éloge de Metternich et de la Sainte-Alliance par Arnaud FERRAND-LÉGER. Aujourd’hui encore, la Sainte-Alliance et le prince de Metternich gardent en France une réputation sulfureuse.
Toute une historiographie républicaine, laïque, nationaliste ou jacobine, a tissé autour d’eux une « légende noire » bien excessive. « Metternich paraît avoir été particulièrement négligé ou maltraité par l’historiographie française, remarque son excellent biographe Guillaume de Bertin de Sauvigny. […] Pourquoi cette carence ou cet ostracisme ? Cela ne tient pas tellement, semble-t-il, au tabou qui a longtemps régné dans l’histoire universitaire à l’encontre du genre biographique. Plus probablement, le personnage était profondément antipathique à l’esprit français, au nationalisme français. » Il serait temps maintenant de reconsidérer l’apport que Metternich et la Sainte-Alliance ont eu sur une Europe meurtrie par un quart de siècle de conflits ravageurs. Oui, Metternich et la Sainte-Alliance ont exercé sur notre continent un rôle bénéfique incommensurable, car réparateur.
L'Europe entre idées libérales et réaction de 1815 à 1849. Les chartes composition. Une charte comprend en général trois grandes parties : le protocole, le texte et l’eschatocole.
I. Charte constitutionnelle du 4 juin 1814. La divine Providence, en nous rappelant dans nos Etats après une longue absence, nous a imposé de grandes obligations.
La paix était le premier besoin de nos sujets : nous nous en sommes occupés sans relâche ; et cette paix si nécessaire à la France comme au reste de l'Europe, est signée. Une Charte constitutionnelle était sollicitée par l'état actuel du royaume, nous l'avons promise, et nous la publions. Nous avons dû, à l'exemple des rois nos prédécesseurs, apprécier les effets des progrès toujours croissants des lumières, les rapports nouveaux que ces progrès ont introduits dans la société, la direction imprimée aux esprits depuis un demi-siècle, et les graves altérations qui en sont résultées : nous avons reconnu que le voeu de nos sujets pour une Charte constitutionnelle était l'expression d'un besoin réel ; mais en cédant à ce voeu, nous avons pris toutes les précautions pour que cette Charte fût digne de nous et du peuple auquel nous sommes fiers de commander.
Des ministres. Histoire du Piémont. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Le Piémont, région frontalière avec la France et la Suisse, est peut-être une des régions italiennes les plus influencées par ses pays voisins. De nombreuses puissances et surtout la France convoitent cette position stratégique aux pieds des Alpes car il constitue la clef d'accès à l'Italie. « La principauté du Piémont [...] peut être appelée, en raison des guerres continuelles et sanguinaires qu'elle a connues, la Flandre de l'Italie. » — Giovanni Andrea Pauletti Les origines[modifier | modifier le code] L'époque romaine[modifier | modifier le code] C'est seulement à l'époque de Jules César, lors de la campagne gauloise, que nait la cité romaine de Turin, entretemps les Salasses sont définitivement soumis avec l'occupation de Augusta Pretoria (l'actuelle Aoste).
Les Romains fondent quelques-unes des principales cités piémontaises: outre Turin et Ivrée, on trouve Asti, Alba, Acqui Terme, Novare, Vercelli. Royaume de Sardaigne. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Royaume de SardaigneRegno di Sardegna (it) Le royaume de Sardaigne en 1815 Histoire[modifier | modifier le code] Du Moyen Âge au XVIe siècle[modifier | modifier le code] Le Regnum Sardiniae et Corsicae (« royaume de Sardaigne et de Corse ») est créé en 1297 par le pape Boniface VIII afin de résoudre les conflits entre les maisons d'Anjou et d'Aragon au sujet du royaume de Sicile, conflits déclenchés par les fameuses Vêpres siciliennes. La Sardaigne reste toutefois soumise à de puissants seigneurs portant le titre de judex (« juge », d'où le nom de « judicats » donné aux quatre principales principautés installées sur l'île depuis la fin de l'Empire byzantin), elles-mêmes sous l'influence des cités de Pise et de Gênes.