Elements.wlonk.com. Aurélien Barrau, phobosophe. The Mistrust of Science. The following was delivered as the commencement address at the California Institute of Technology, on Friday, June 10th.
If this place has done its job—and I suspect it has—you’re all scientists now. Sorry, English and history graduates, even you are, too. La Galaxie sceptique. Blogs.univ-poitiers.fr/n-yeganefar Médecines alternatives (homéopathie, acupuncture, naturopathie, ostéopathie, etc.)débats controversés (OGMs, les vaccins, le nucléaire, les ondes, etc.) et plus généralement de ce qu’est la méthode scientifique et comment elle nous permet de mieux comprendre la nature.
VDOIN0.D.png (Image PNG, 982x1075 pixels) - Redimensionnée (70. Les vertus de l’ignorance. Après avoir fait sensation outre-Atlantique, l’ouvrage du neurobiologiste américain Stuart Firestein, « Les Continents de l’ignorance », est sorti en France.
Rencontre avec un chercheur inspiré, qui voit dans l’ignorance un des moteurs de la science. Votre livre vante les mérites de l’ignorance, qui selon vous ne doit pas être considérée comme un « manque de connaissance », mais comme un postulat avisé et perspicace. Comment définissez-vous donc l’ignorance ? L'apophénie et les illusions de perception. Policy: Twenty tips for interpreting scientific claims. Science and policy have collided on contentious issues such as bee declines, nuclear power and the role of badgers in bovine tuberculosis.
Calls for the closer integration of science in political decision-making have been commonplace for decades. However, there are serious problems in the application of science to policy — from energy to health and environment to education. One suggestion to improve matters is to encourage more scientists to get involved in politics. Although laudable, it is unrealistic to expect substantially increased political involvement from scientists. Another proposal is to expand the role of chief scientific advisers1, increasing their number, availability and participation in political processes. Comment sentir la pseudo-science ? Puisque mon blog traite de science, avec plus ou moins de sérieux, je suis amené à effectuer des recherches pour être à peu près sûr de ne pas dire de conneries.
Oui j’ai bien dit « à peu près » car je ne suis pas un expert dans tous les domaines scientifiques et il m’arrive de faire des erreurs. Il est une chose délicate, inhérente à tout travail de journalisme, qui est la fiabilité de l’information et en particulier les faits scientifiques. Lors de mes recherches, je ne parle pas du nombre de sites qui divulguent des conneries et encore moins des informations qui relèvent de la pseudo-science.
How to Read and Understand a Scientific Paper: A Step-by-Step Guide for Non-Scientists To form a truly educated opinion on a scientific subject, you need to become familiar with current research in that field.
And to be able to distinguish between good and bad interpretations of research, you have to be willing and able to read the primary research literature for yourself. Les trucs de tonton scientifique pour avoir toujours raison : admettre quand on a tort. Cliquez sur l’image Dans les discussions sur ce blog et ailleurs sur les OGM, certains semblent penser que je suis trop afirmatif.
C’est possible. Mais chaque fois qu’on m’a montré que j’avais tort, je l’ai admis : Irrational Nonsense 5.0. How to read and understand a scientific paper: a guide for non-scientists « Violent metaphors. L’astrologie à l’épreuve : ça ne marche pas, ça n’a jamais marché ! Par Jean-Paul Krivine - SPS Hors-série astrologie L’astrologie suppose des influences astrales que la physique ne connaît pas.
Le ciel des astrologues ne correspond en rien au ciel que les astronomes peuvent observer. Et pourquoi les astres exerceraient-ils leur influence à la naissance, mais pas à la conception, ou pendant la gestation ? Ces questions, pour la plupart, ont été soulevées depuis très longtemps. Toutefois, l’argument le plus fort, et d’une certaine manière définitif, réside dans le fait que « ça ne marche pas ». Les astrologues, comme la plupart des partisans du paranormal, accusent bien volontiers « les scientifiques » de refuser de tester leurs pouvoirs, leurs théories.
De la méthode scientifique. J’ai commencé à temps perdu à travailler à la rédaction d’un livre de vulgarisation scientifique décrivant les outils intellectuels que les scientifiques (particulièrement les physiciens) utilisent au quotidien.
Comme il se doit, il comporte une section décrivant la méthode scientifique. Je profite donc de l’occasion pour vous faire part de mes réflexions sur ce qu’est la méthode scientifique et ce que semble croire le public et même certains scientifiques. La description de la méthode scientifique que connaissent la plupart des gens est celle qui est enseignée dans les écoles : On part d’une hypothèse à partir de laquelle on fait une prédiction qui, soumise à une expérience, sera validée ou rejetée. A propos de la science et de la méthode scientifique. On a souvent parlé sur ce blog de méthode scientifique sans jamais réellement expliciter en quoi consistait cette méthode.
On peut d’ailleurs s’étonner que l’on puisse poursuivre de longues études universitaires sans que jamais ces règles ne soient clairement formulées. Cette lacune du système scolaire explique aussi pourquoi il est parfois difficile de débattre de certains sujets scientifiques avec le grand public; sans expliquer les différences entre savoir, opinion, théorie, croyances, et même tout simplement sans définir la science, les incompréhensions sont multiples et débouchent inlassablement sur des impasses.
La science, quatre définitions souvent confondues… Le sophisme du petit échantillon. Aujourd’hui, j’ai le plaisir de vous proposer un post de mon ami Nicolas Gauvrit que j’ai rencontré en ouvrant ce blog et en m’investissant à l’AFIS. Nicolas est mathématicien et psychologue pour ceux qui ne le connaîtraient pas. Ayant délaissé quelque peu son blog, on a trouvé sympathique l’idée de collaborer ensemble. Aujourd’hui, Nicolas nous parle d’un sophisme récurrent chez les sceptiques (je n’y échappe pas!)
: asséner « l’échantillon est trop petit » n’est pas un argument rationnel! Epistémologie_scientifique. Qu’est-ce qu’être sceptique? (Nima Yeganefar - Deuxième prix) Note: ce billet est un article d'un auteur invité (Nima Yeganefar) dans le cadre du concours organisé pour célébrer le numéro #200 du balado Scepticisme scientifique. Cet article a reçu le deuxième prix. « Quel piètre sceptique vous faites! » me lançait un détracteur pensant gagner l’argument par une attaque personnelle.