Analyse des recherches sur les TICE. L’illusion de la pédagogie numérique. Je lis avec quelques semaines de retard le texte de J.M.
Fourgous publié dans Le Monde, intitulé « Oser la pédagogie numérique ! « . Pour résumer, M. Observatoire trimestriel des marchés de gros de communications électroniques (services fixes haut et très haut débit) en France - Résultats du 3ème trimestre 2011 - Publication le 1er décembre 2011. Télécharger l'Observatoire (pdf) L’ARCEP a mis en place en avril 2009 un premier tableau de bord du très haut débit fixe permettant de suivre l’état de déploiement de la fibre sur le territoire, l’utilisation des offres de gros de génie civil de France Télécom et la mise en œuvre de la mutualisation des réseaux en fibre optique jusqu’à l’abonné par l’ensemble des opérateurs.
Ce tableau de bord recouvre à la fois les offres très haut débit en fibre optique jusqu’à l’abonné et les offres très haut débit en fibre optique avec terminaison en câble coaxial. Ces deux technologies permettent de fournir du très haut débit fixe avec des performances différentes, notamment en termes de débits remontants accessibles. Observatoire trimestriel des marchés de détail des communications électroniques (services fixes haut et très haut débit) en France - 3ème trimestre 2011 - résultats provisoires - Publication le 1er décembre 2011. Télécharger l'Observatoire (pdf) Au 30 septembre 2011, le nombre d'abonnements internet à haut et très haut débit sur réseaux fixes atteint 22,4 millions, soit une croissance nette de 340 000 abonnements par rapport à la fin du deuxième trimestre 2011.
Sur un an, l’accroissement net s’élève à 1,5 million (+7%), soit un rythme de croissance stable depuis un an. Le nombre de ventes brutes réalisées par les fournisseurs d’accès à internet au cours du troisième trimestre 2011 est de 1,175 million. 21,8 millions de ces abonnements sont des abonnements haut débit (+300 000 par rapport au 30 juin 2011). Comment lier un nom de domaine à un hébergement ? (Mon site, pas à pas) Bonjour,
Excel : Créer un tableau croisé dynamique. E learning formation. What can computers teach that textbooks and paper can't? September 06, 2011 What can computers teach that textbooks and paper can’t?
On Sunday, Matt Richtel publishing a terrific piece in the New York Times lamenting how schools are blowing billions on high-tech gewgaws, despite little evidence showing it helps learning. Richtel unearths lots of grisly facts: Study after study has found that many popular tech initiatives — such as one-to-one laptops, interactive whiteboards, and “clickers” — don’t necessarily correlate with higher test scores, and sometimes they correlate with lower ones. This hasn’t stopped schools from blowing tons of dough: The Arizona district of Kyrene has spent $33 million in tech since 2005, yet scores have “stagnated” even as those across the state have, overall, risen.
Amazingly, Kyrene is nonetheless asking voters to approve another $46.3 million for school technology over the next five years. Richtel neatly points out the various forces that drive this trend. So the question becomes: What exactly are these things? Dans la salle de classe du futur, les résultats ne progressent pas. Dans le cadre d’une série sur le « pari éducatif high-tech » (dans laquelle notamment plusieurs experts américains tentent d’apporter leur vision sur ce à quoi ressemblera l’école dans 10 ans), Matt Richtel, pour le New York Times s’est rendu dans le district scolaire pilote de Kyrene en Arizona : un secteur où tous les élèves utilisent des tableaux blancs interactifs et des ordinateurs à l’école.
Et si l’on autorisait les bacheliers à se connecter à l’internet. L’internet à l’école, c’est bien.
Mais au bac, et lors des examens ? Le Danemark a décidé d’autoriser, à titre expérimental, les lycéens à accéder au Net pendant leurs examens. Une mesure qui, si les tests sont concluants, pourrait être généralisée en 2011. Les machines regrettent la bio-expiration de Steve Jobs. Internet au théâtre. Eli Commins Anouck Durand© « Internet au théâtre », c’est le sujet qui constituera le fil rouge de cette émission.
Alors qu’on s’entende tout de suite sur ce sujet. Les deux pièces dont on va parler ne consistent pas en la représentation littérale de l’Internet au théâtre, ce type de projet existe par ailleurs, on en avait rendu compte dans Place de la toile il y a deux ans. Ce dont on va parler, ce sont deux projets de théâtre qui à un moment de leur processus d’écriture ou de leur représentation rencontrent des problématiques numériques qui nous intéressent ordinairement dans cette émission. La langue du web, l’arborescence, l’interactivité, sont quelques-unes de ces problématiques qui sont travaillées par ces deux pièces. Voir aussi comment le théâtre, comme la littérature, comme la musique de manière très évidente, peut être, de manière parfois très sous-jacente, travaillé par les technologies et leurs usages.
Quelques photos et une présentation par ici.