Ilmatar. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Ilmatar est la déesse primordiale vierge de la mythologie finnoise, associée à l'air. En effet, ilma veut dire l'air et le suffixe -tar désigne une être féminin ou la fille, faisant d'Ilmatar la « fille de l'air »[1]. Elle a été comparée à la Vierge Marie[2]. Ilmatar dans le Kalevala[modifier | modifier le code] Elle est la mère de Väinämöinen, le héros principal de l'épopée Kalevala[3]. Ilmatar réapparaît dans le chant V du Kalevala, où l'on apprend qu'elle est morte. Hommages[modifier | modifier le code] Ilmatar est l'une des 1 038 femmes dont le nom figure sur le socle de l'œuvre contemporaine The Dinner Party de Judy Chicago. Notes et références[modifier | modifier le code] ↑ Elias Lönnrot (Trad : Jean-Louis Perret), 2009 - Le Kalevala.
Lien externe[modifier | modifier le code] Site sur différentes mythologies [archive] Portail de la Finlande. Mythologie nordique : Freyja. Freyja d'après Bloomer National Museum, Stockholm Sœur jumelle de Freyr , elle était la déesse de la Terre et de la Fertilité.
Freyja , la mystique aux yeux bleus et à la chevelure dorée, était la déesse de l’Amour et de la Beauté. Elle avait un beau collier magique qui s’appelait Brisingamen et portait une peau d’épervier. On dit que Freyja voyageait dans un chariot tiré par des chats. Valkyrie. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Les Valkyries, dans la mythologie nordique, sont des vierges guerrières, des divinités mineures dites dises qui servaient Odin, maître des dieux. Les Valkyries, revêtues d’une armure, volaient, dirigeaient les batailles, distribuaient la mort parmi les guerriers et emmenaient l’âme des héros au Valhalla, le grand palais d’Odin, afin qu'ils deviennent des Einherjar. Ces héroïnes sont destinées à se battre aux côtés d'Odin à la venue du Ragnarök. Elles sont à l'image de ces femmes guerrières, les Skjaldmös que content les sagas nordiques.
L'étymologie de leur nom provient du vieux norrois valkyrja (pluriel : valkyrur), des mots val (abattre) et kyrja (choisir) (littéralement, « qui choisit les abattus »). Interprétations[modifier | modifier le code] Il n'y a pas de distinction claire entre les Valkyries et les Nornes. L'origine des Valkyries en général est incertaine, mais plusieurs Valkyries connues semblent avoir des parents mortels. Ondine (mythologie) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Pour les articles homonymes, voir Ondine. Les ondines, dont le nom dérive du mot « onde », sont des génies des eaux dans la mythologie germanique (où elles sont également désignées sous le terme de « nixe ») ou alsacienne. On attribue l’alimentation en eau des fontaines aux larmes des ondines, et celle-ci se tarit dès qu’une fée se sent offensée. Ainsi, il est de coutume de laisser diverses offrandes auprès des fontaines, tels que guirlandes de fleurs, épingles ou tessons de bouteilles, qui sont pour les fées des eaux, de véritables trésors scintillants et miroitants dans l’eau. Sirène (mythologie) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Pour les articles homonymes, voir Sirène. Une sirène (du grec ancien : Σειρήν / Seirến[1], du latin : Siren) est une créature mythologique hybride : mi-femme et mi-oiseau (tradition antique) ou mi-femme et mi-poisson (tradition médiévale). Sirène sur une stèle funéraire grecque, vers -330 Selon la tradition homérique, les sirènes sont des divinités de la mer qui séjournent à l’entrée du détroit de Messine en Sicile. Musiciennes dotées d’un talent exceptionnel, elles séduisaient les navigateurs qui, attirés par les accents magiques de leur chant, de leurs lyres et flûtes perdaient le sens de l’orientation, fracassant leurs bateaux sur les récifs où ils étaient dévorés par ces enchanteresses. Une autre explication de leur métamorphose en attribue la cause à la colère d’Aphrodite. Ces divinités d’origine fluviales étaient très fières de leur voix et défièrent les Muses, les neuf filles de Zeus et de Mnémosyne.
Les sirènes dans la tradition scandinave. Filles du Rhin. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Les trois Filles du Rhin jouant autour de l’or. Illustration de H. A. Guerber dans Stories of the Wagner Opera, publié en 1905. Lorelei. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Heine + Turner Lorelei (Loreley, Loreleï ou Lorely) est le nom d’un rocher qui culmine à 132 mètres au-dessus du Rhin à proximité de Sankt Goarshausen (Saint Goarshausen en français) en Allemagne (Rhénanie-Palatinat)[1]. C’est l’endroit le plus étroit du fleuve entre la Suisse et la mer du Nord. L’avancée du rocher réduit d’un quart la largeur du fleuve.
Le courant très violent et les nombreux rochers immergés ont causé de nombreux accidents de navigation[1]. Cette légende de la Lorelei sur son rocher a inspiré de nombreux artistes, dont le poète allemand Heinrich Heine qui écrivit en 1824 l’histoire (Die Lore-Ley) qui sera mise en musique et popularisée par le compositeur Friedrich Silcher. Nixe. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Étymologie et terminologie[modifier | modifier le code] Les noms de « nixe » et « neck » sont issus du proto germanique nikwus ou nikwis, lui-même issu du langage proto-Indo-Européen, neig, qui signifie (« laver »)[2]. Cette forme est à mettre en relation avec le sanskrit nḗnēkti (« laver »), le grec nízō et níptō, et l’irlandais nigther[3]. La forme neck apparaît en Angleterre et en Suède (näck ou nek)[3].