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Pornographie

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Des films pornos nouvelle génération à voir absolument. 365 DNI (ou 365 jours) Disponible depuis le 7 juin sur Netflix, le film polonais 365 DNI (ou 365 jours) émoustille la toile par ses scènes érotiques mais dérange certains internautes par son propos...

D'ailleurs tout ce qu'elle a écrit est top – nat_cff
Si vous avez pas lu les boutons et lingerie de Pénélope sky je vous les conseille. – nat_cff
Le livre est pas encore en français et j'ai adoré le film mais le lire c'est toujours mieux 😉 – nat_cff
Je cherche le livre, même si j'ai adoré le film je préfère aussi lire le livre – meliarita
Vous avez réussi à le lire ? Ou juste voir le film ? – audouxoceane
J'ai adoré hâte de voir la suite – bouttes

C'est le phénomène du moment sur Netflix.

365 DNI (ou 365 jours)

Après avoir ému la planète avec le long-métrage turc 7. Koğuştaki Mucize, la plateforme SVOD a décidé de faire monter la température à l'approche de l'été en rendant disponible à l'international un autre film européen au succès grandissant dans son pays d'origine. Почему порно — совсем не задорно. Une artiste russe risque 2 à 6 ans de prison pour avoir dessiné des vulves. La Russie de Poutine est indéniablement un pays où les valeurs traditionnelles sont reines.

Une artiste russe risque 2 à 6 ans de prison pour avoir dessiné des vulves

Et ce n’est pas spécialement un compliment : en effet, il ne fait pas bon être une femme ou une LGBTQI+ en Russie, puisque dans ce pays où le sexisme et l’homophobie sont la règle, leurs droits sont limités. Ioulia Tsvetkova, une jeune artiste russe, a été assignée à résidence il y a 4 mois ; on lui a mis un bracelet électronique qui ne l’autorise à sortir qu’une heure par jour, et dans un périmètre de 500 mètres autour de sa maison.

La raison ? Elle est accusée de « diffusion de pornographie auprès de mineurs ». La jeune femme habite à Komsomolsk-sur-l’Amour, une petite ville de 250 000 habitants, à 8 500 kilomètres de Moscou. Ioulia Tsvetkova n’en est pas à sa première incrimination. Elle est aujourd’hui incriminée pour des dessins considérés comme pornographiques, qui auraient été rendus accessibles à des mineurs. C’est également un pays où le sexisme et la misogynie sont plus que banalisés. Pornographie. Pornographie (1/4) : Vivons-nous dans un monde porno ? Laurent de Sutter, notre invité, n’entend pas la pornographie comme catégorie morale ou genre cinématographique mais comme une catégorie esthétique qui charrie des codes de représentations et de formes, parfois baroques ou encore kitsch.

Pornographie (1/4) : Vivons-nous dans un monde porno ?

Il repense le contemporain du point de vue de la marchandise, et la pornographie, intrinsèquement liée à la marchandise, est alors très pertinente pour explorer ce contemporain. À l’époque moderne, c’est l’art même, sous l’effet du capitalisme, qui devient une marchandise. L’œuvre de Jeff Koons, aujourd’hui, nous place face à notre époque : l’esthétique pornographique est l’esthétique contemporaine… L'invité du jour : Regarder sous les jupes devient un délit  Web Figaro Par Stéphanie ALEXANDRE Mis à jour le 09/08/2018 à 17:10 Publié le 09/08/2018 à 15:39 Recevez toutes les actualités Justice La pratique dite du « upskirting » qui consiste à regarder sous les robes des femmes sans leur consentement devient un délit puni d’un an de prison et de 15 000 € d’amende.

Regarder sous les jupes devient un délit 

The gorgeous vintage S&M of trailblazing pornographer Jacques Biederer. Czech photographer Jacques Biederer began his Parisian career in 1913 with G-rated portraiture, but soon moved on to more prurient subject matter—though this was still fairly “conventional” sexy materials for the day—ladies in their underwear, really.

The gorgeous vintage S&M of trailblazing pornographer Jacques Biederer

Then Biederer went through a period of full-on classical nudes, sometimes with couples, sometimes shot “on location,” outdoors or on a carefully arranged set. Then he got into fetish photography—whips, domination, corseting, pony play—pretty scandalous stuff, but always shot with an artistic eye. Biederer was a forerunner of someone like Irving Klaw in the US. Biederer’s work—whether a smiling ingenue or a dominatrix always valued composition, the emotions of his subjects, and sexuality—rather than simple sex mechanics. Even if it ain’t your bag, the photos are lovely and weird—they have a sense of humor about them and they aren’t misogynist or pretentious. Ces stars qui ont oublié d'avoir la classe sur scène... Publicité.

Ces stars qui ont oublié d'avoir la classe sur scène...

Polone: Three Actors Reveal the Awkward Truth of Shooting Sex Scenes. La pornographie c’est ce à quoi ressemble la fin du monde (Chris Hedges) Article original publié en anglais sur le site de truthdig.com, le 15 février 2015.

La pornographie c’est ce à quoi ressemble la fin du monde (Chris Hedges)

Christopher Lynn Hedges (né le 18 septembre 1956 à Saint-Johnsbury, au Vermont) est un journaliste et auteur américain. Récipiendaire d’un prix Pulitzer, Chris Hedges fut correspondant de guerre pour le New York Times pendant 15 ans. Reconnu pour ses articles d’analyse sociale et politique de la situation américaine, ses écrits paraissent maintenant dans la presse indépendante, dont Harper’s, The New York Review of Books, Mother Jones et The Nation. Il a également enseigné aux universités Columbia et Princeton. Il est éditorialiste du lundi pour le site Truthdig.com. BOSTON— « Cinquante nuances de Grey », le livre comme le film, est une glorification du sadisme qui domine quasiment tous les aspects de la culture américaine et qui repose au coeur de la pornographie et du capitalisme mondial.

L’envers du X. Tribune libre | Texte signé par Isabelle Sorente, ancienne élève de l’école Polytechnique, romancière et auteur de théâtre. Elle a, entre autres, publié “180 jours” (JC Lattès, 2013), “Transformations d’une femme” (Grasset, 2009), “Le Coeur de l’ogre” (JC Lattès, 2003), “La Prière de septembre” (JC Lattès, 2002), “L” (JC Lattès, 2001) et “Hard Copy” (Actes Sud, 2001) et a co-fondé la revue Ravages avec Frédéric Joignot et Georges Marbeck. Notes en fin de page. “Aussi dérangeant que cela puisse être, derrière chaque vagin, chaque bouche à pipe, chaque anus, derrière chaque trou rempli de foutre, de doigts, de poings, de centaines de bites d’affilée, se cache un être humain“. Les témoignages non officiels des coulisses de l’industrie du sexe sont rares. Un film, présenté par une association au parlement suédois en 2000 dans le cadre d’une réflexion sur la liberté d’expression et la pornographie, rassemble des confidences édifiantes d’actrices, de policiers, de producteurs.

Backstage. Le porno féministe n'existe pas. Le porno féministe est un label vendeur visant à nous faire croire qu’il existerait un «bon» porno (égalitaire, consensuel) par opposition à un «mauvais» porno (une industrie mainstream dominée par des hommes).

Le porno féministe n'existe pas

Manque de pot, le porno féministe ne plaît pas à toutes les femmes… «Les filles ont une consommation de porno assez différente des mecs : elles regardent des choses plus violentes. « Le porno n’existe pas » et autres mensonges. Il paraît que « Le porno féministe n’existe pas« , c’est ce que j’ai découvert estomaquée en lisant un article publié sur le site de Libération.

« Le porno n’existe pas » et autres mensonges

L’occasion d’y répondre de manière argumentée et de démonter un part un tous les clichés et mensonges qui circulent à ce sujet. J’ai longuement hésité à réagir. J’ai espéré que l’article passe un peu inaperçu en cette période de vacances, et que l’on ne m’ennuie pas trop avec cela. Le problème est que depuis sa parution, on me harcèle de tous les côtés avec ce texte d’Agnès Giard publié sur le site de Libération intitulé Le porno féministe n’existe pas qui m’était très directement adressé. Quelle violence dans le titre !