Virus, malwares : comment les éviter, les détecter et s’en débarrasser ? Offres mises à jour le 25/08/2020 Un ordinateur connecté à Internet est potentiellement soumis à de nombreuses menaces extérieures.
S’ils parviennent à percer les défenses de votre système, virus ou cheval de Troie peuvent prendre le contrôle et causer des dégâts irréparables allant de la suppression de toutes vos données personnelles jusqu’à la récupération frauduleuse de vos coordonnées bancaires ou de vos identifiants de messagerie. Quelques précautions simples, accessibles même aux plus profanes en informatique, permettent heureusement de limiter les risques d’une attaque ou d’une infection. Outre la vigilance à adopter face à un lien douteux ou à un fichier illégal, il est possible d’optimiser la configuration système de votre ordinateur pour le rendre moins vulnérable. jechange vous explique comment. Utiliser un anti-virus et un pare-feu efficaces. Bitcoin : les ransomwares à la mode en 2019. Alors que les années précédentes avaient été marquées par de nombreux faits divers de malwares de minage de cryptomonnaies, il semblerait que 2019 ait plutôt été témoin d’une forte augmentation de l’utilisation des ransomwares.
Un changement dû à la chute des cours, notamment du Monero (XMR) ? Regardons tout cela d’un peu plus près. Les malwares de crypto-minage passés de mode. Le ransomware au coeur des cyberattaques 2019. Les cyberattaques par ransomware se font de plus en plus sophistiquées, en témoigne l’Anssi qui est intervenue en 2019 sur pas moins de 69 incidents.
Finies les “simples” attaques non ciblées ou massives, la tendance est au “Big Game Hunting”. Le ransomware (ou rançongiciel en français) est un moyen d’attaque très privilégié par les cyberattaquants. Après les campagnes d’attaques non ciblées qui ont débuté en 2014, les attaques massives à propagation automatique en 2017 (comme Wannacry), le monde fait face à une nouvelle typologie d’attaques depuis 2018 connue sous le nom de “Big Game Hunting”. Chantage à la cryptomonnaie - Cet opérateur télécom paiera-t-il une rançon de 15 millions de $ ? Telecom Argentina doit payer – Les ransomwares ont été très à la mode en 2019.
Aujourd’hui, c’est la principale agence de télécommunication argentine qui se voit adresser une demande de rançon en Monero (XMR). Notre avis sur Monero (XMR) » Une rançon de 15 millions $, payable en Monero Les attaques de ransomwares (ou « rançon-giciels » littéralement) préconisent les paiements en cryptomonnaies en échange du déblocage de données et/ou d’appareils pris en otage par les pirates. Données personnelles prises en otage - CWT doit payer la rançon en bitcoin. Bitcoin fait de nouveau l’objet d’une rançon – Un voyagiste américain, connu sous le nom de CWT, vient de payer une rançon de 414 bitcoins cette semaine, après s’être vu subtiliser 2 To de données.
Notre avis sur Bitcoin (BTC) » Le ransomware Ragnar a encore frappé. Ransomware Bitcoin - “The Dark Overlord”condamné à 1,5 million de dollars et 5 ans de prison. Un crypto-hacker démasqué de plus par les autorités américaines – Un ressortissant du Royaume-Uni a plaidé coupable le 22 septembre 2020.
L’homme est accusé de vol d’identité aggravé, ainsi que de fraude informatique globale. La sentence est finalement fixée à cinq ans de prison fédérale. The Dark Overlord : un groupe actif L’accusation est de taille : Nathan Wyatt, 39 ans, a été membre d’un collectif de hackers connu sous le nom de « The Dark Overlord ». Ce groupe a fait pression sur d’innombrables sociétés aux États-Unis, et ce, à de nombreuses reprises.
La plus grosse demande de rançon en bitcoins vient de tomber - 35 millions de $, et que ça saute ! Un nouveau record établi (malheureusement) – Comme si les ransomwares ne faisaient pas déjà assez de ravages, c’est maintenant à l’entreprise Foxconn d’en faire l’amère expérience.
Cerise sur le gâteau : elle hérite de la plus grosse rançon jamais demandée… et uniquement payable en bitcoins (BTC). Comment en est-elle arrivée là ? Des bitcoins, et tout de suite ! Cette nouvelle histoire de ransomware (ou rançongiciel) est détaillée par le journal technologique Bleeping Computer. On apprend ainsi que le géant de l’électronique taïwanais Foxconn, coté en bourse, a subi une cyber-attaque sur un de ses réseaux informatiques, lors du dernier week-end de novembre.
Le géant informatique ACER victime d'un Ransomware - Une énorme rançon en Monero (XMR) exigée. Black hat sous les feux des projecteurs – Les ransomwares, cela faisait longtemps que nous n'en avions pas parlé, tant les hacks et rug pulls provenant de la DeFi sont devenus l'arnaque la plus répandue dans l'écosystème crypto, ces derniers mois.
Cependant, ce sont les membres de Black hat (des hackers malveillants) de REvil qui font aujourd'hui parler d'eux, suite à leur attaque sur le géant tech Acer, des attaques dont la cryptomonnaie MONERO (XMR) est l'acteur involontaire. 50 millions de dollars : une rançon salée UNKN est un groupe de hackers malveillants, aussi connus sous le nom « Black hat », à l'origine d'un des ransomwares les plus virulents du moment : REvil. Après s'être targué d'avoir collecté plus de 100 millions de dollars l'année dernière grâce à ce programme malveillant, les hackers continuent de l'exploiter. Les petites entreprises visées par les pirates informatiques: la région wallonne veut agir pour contrer ces attaques.
L’an dernier, au moins 2500 entreprises ont été victimes de piratage.
Parmi elles, de nombreuses PME, souvent moins bien protégées face aux attaques. "L'attaque la plus courante, qui peut viser par exemple une PME, ça va être l'attaque au logiciel rançonneur", explique Olivier Bogaert, commissaire à la Computer Crime Unit de la Police Fédérale. "Le logiciel est un virus qui va rentrer et crypter l'ensemble des données. Cybersécurité. hausse des budgets dédiés. Avec le développement des risques et dangers menaçant la cybersécurité, les entreprises et organisations marocaines ont augmenté leur budget en la matière à 11% en 2016, contre 4% en moyenne dans le monde.
Dans ce sens, Kaspersky présente ses prédictions et les enjeux à considérer en 2019. L’économie de la sécurité informatique des entreprises en 2018 reflète l’évolution de l’impact de la cybersécurité sur leurs résultats financiers. Alors que les piratages de données occasionnent des coûts et dommages croissants, les entreprises sont confrontées depuis un an à une réalité inquiétante: une hausse de 30% du coût moyen par piratage. Pour les PME, le coût moyen d’un piratage a atteint 120.000 dollars en 2018, en hausse de 37% par rapport à 2017. Virus informatiques et programmes malveillants : faits et FAQ. Les utilisateurs de PC, de Mac, de smartphones et de tablettes sont exposés à l'évolution constante des menaces que représentent les virus informatiques et les programmes malveillants.
Prendre des mesures de protection signifie comprendre ce à quoi vous êtes exposé. Voici un aperçu des principaux types de programmes malveillants et de leur impact potentiel. Bref aperçu Le terme « malware » (fusion de « malicious » pour malveillant et de « software »pour programme/logiciel) est désormais utilisé pour désigner tout programme malveillant présent sur un ordinateur ou un appareil mobile. Ces programmes sont installés à l'insu des utilisateurs et peuvent générer de nombreux effets indésirables, comme la paralysie des performances informatiques, l’exploitation des données personnelles de votre système, la suppression des données, voire même le dysfonctionnement du matériel contrôlé par ordinateur. Qu'est-ce qu'un virus informatique ? Tout comme le virus de la grippe, un virus informatique est conçu pour se propager d'un hôte à un autre, avec la capacité de se répliquer.
À l'instar d'un virus qui ne peut se reproduire sans une cellule hôte, le virus informatique ne peut proliférer sans un programme, par exemple un fichier ou un document. En termes plus techniques, un virus informatique est un type de code ou programme malveillant qui vise à modifier le fonctionnement d'un ordinateur et à se répandre d'une machine à une autre. Un malware impossible à supprimer se propage depuis des années sur les smartphones Android. Les chercheurs en cybersécurité de Dr Web ont redécouvert un malware particulièrement tenace. Celui-ci circule sur les smartphones Android depuis bientôt 4 ans. Jusqu’ici, le virus Android. Xiny.5260 se propageait de manière faible, mais constante, faisant de lui une menace relativement contenue. Ce qui a changé c’est que, selon les chercheurs, Xiny serait presque impossible à supprimer totalement. Comme de nombreux malwares, Xiny se cache dans diverses applications dont certaines sont proposées sur le Play Store, malgré les mesures de sécurité de Google.
Projet artistique : un ordinateur infecté par six virus informatiques. The Persistence of Chaos… c'est le nom d'un ordinateur portable infecté par six " virus informatiques " - ou en tout cas des malwares - connus pour avoir causé de lourds dégâts estimés à 95 milliards de dollars. Des noms qui font frémir comme ILOVEYOU, MyDoom, SoBig, DarkTequila, BlackEnergy ou encore WannaCry. Ce dernier est sans doute le plus connu du grand public car relativement récent et encore présent. L'ordinateur Samsung NC10 équipé de Windows XP SP3, et infecté par ces nuisibles qui cohabitent, est également un projet artistique sous l'égide de l'artiste chinois Guo O Dong en collaboration avec la société de cybersécurité Deep Instinct basée à New York.
La machine est isolée de tout réseau informatique. Rouen : Une attaque informatique perturbe fortement l'activité du CHU. Une attaque informatique a paralysé le fonctionnement du CHU de Rouen, nécessitant l’arrêt de l’ensemble du système informatique, sans mettre en péril la vie des patients, a-t-on appris ce samedi auprès du centre hospitalier. « Il y a eu une attaque informatique hier à 19h45.
Dès que nous avons vu que nous étions attaqués, nous avons décidé d’arrêter à 20h00 notre système d’information pour éviter que l’attaque ne se propage », a déclaré Rémi Heym, directeur de la communication du CHU, ajoutant que l’établissement avait dû « repasser à la bonne vieille méthode du papier et du crayon ». « Cela a créé de grosses perturbations dans tous nos modes de traitement informatisés, notamment la prise en charge des patients, les prescriptions, les comptes rendus, la gestion des admissions.
Cela a entraîné des délais très longs de prise en charge, même s’il n’y a pas eu de mise en péril de la santé des personnes hospitalisées », a ajouté le directeur de la communication du CHU. Google : Un virus abonne ses victimes à des services payants sans leur consentement. Quelles sont les solutions pour se protéger des virus informatiques ?