Science décalée : le chocolat chaud est meilleur dans une tasse orange. Un dossier pour tout savoir sur le chocolat Se nourrir, c'est avant tout une nécessité. Mais c'est aussi un plaisir. Or, pour le maximiser, les études montrent qu'il faut faire appel à tous les sens. La dernière en date révèle que le chocolat chaud n'échappe pas à la règle. Si sa couleur cacao ne risque pas de changer, celle de son contenant le peut, au risque de leurrer le cerveau et d'altérer le goût de la boisson brûlante...
Le contexte : les sens participent au repas On a parfois tendance à l'oublier, pourtant nos cinq sens participent de concert à de nombreux aspects de notre vie quotidienne. Il en va de même lorsque l'on mange : le goût n'est pas le seul sens à être sollicité. 4 règles d'or pour ne plus massacrer ses cocktails. On a tous un ami qui prétend faire des cocktails et qui nous a un jour servi un truc abominable avec un air extrêmement satisfait.
Dans ce genre de situation, deux solutions se présentent à vous. La première consiste à faire preuve d'une atroce hypocrisie et de dire à votre hôte que son cocktail mezcal poivron grenadine est une merveille et qu'il mérite de figurer dans le P.D.T. (célèbre recueil de recettes du bar éponyme à New York). La deuxième relève d'une approche plus éducative, elle consiste à rabâcher, avec la pédagogie qui vous caractérise, les règles de base d'un cocktail réussi. Piña colada, bienvenue à bord du «Pineapple Excess» Comment la bière est revenue à Paris. L’Histoire a le don de tricoter ensemble poésie et ironie, une maille à l’endroit, une maille à l’envers, et c’est donc à Barbès que la bière parisienne a entamé sa spectaculaire résurrection.
Loin des symboles dorés sur tranche, tour Eiffel ou Champs-Elysées, au cœur du quartier le plus populaire et le plus métissé de la capitale, rue de la Goutte-d’or, en pleine «no-go zone», Thierry Roche ouvre en 2012 la première micro-brasserie d’un Paris qui ne moussait plus guère. Cette bière japonaise prétend vous rendre plus beau. Le collagène est une protéine présente dans chaque organisme vivant, et dont le rôle est de permettre aux tissus de résister à l’étirement.
Les industriels l’utilisent pour produire de la gélatine, mais aussi pour proposer des produits de beauté luttant contre l’apparition des rides. Pour beaucoup de Japonais, explique Popular Science, la consommation de collagène permet de rendre la peau plus belle. Beaucoup de Japonaises en consomment via des poudres ou dans leur nourriture, les supermarchés et les restaurants étant nombreux à proposer des produits enrichis en collagène.
Et désormais, un nouveau produit contenant du collagène vient de faire son apparition dans le pays, et plus précisément dans la ville d’Hokkaido. La marque Suntory propose désormais «Precious», une bière contenant 2 grammes de collagène par cannette. Mais pour l’instant, aucune preuve scientifique n’appuie les affirmations de la marque, et il est impossible de mesurer les effets réels du collagène sur la peau. Notre première cuite date d’il y a 10 millions d’années. La date de la première soirée alcoolisée sur Terre est mille fois plus vieille que l’on pensait.
C’est en tout cas ce qu’affirme une étude menée par des scientifiques de l’Académie nationale des sciences aux Etats-Unis. Comment le cocktail s’est collé la pression. 17 cocktails pour vous sentir mieux dans votre corps. «A votre santé!»
Je vous sers un verre?... Oui mais pas trop, s'il vous plait... Le fameux slogan «Un verre, ça va.
Trois verres, bonjour les dégâts!» , s’il a marqué les esprits lors de la campagne contre l’alcoolisme de 1984, ne donne guère d’indication sur les quantités effectives de boisson dont il est question. Le verre, même s’il est utilisé dans les recettes de cuisine ou dans certaines études scientifiques, a besoin d’être défini avec une véritable unité de volume. D’autant qu’il peut être à moitié vide, ou l’inverse. Ou réduit à un fond ou encore rempli à raz bord... Contre la gueule de bois, les asperges. Comment survivre à une nuit blanche de réveillon après tout ce qu’on a ingurgité cette semaine?
La réponse est simple: mangez des asperges. Une étude publiée dans le Journal of Food Science reprise par Popsci nous assure que ce légume a des propriétés bénéfiques pour le foie. Les acides aminés et les sels minéraux présents dans l’extrait d’asperges (ce qui suppose que vous devez en manger beaucoup pour que ça ait un effet) semblent atténuer la gueule de bois et protéger les cellules du foie contre les toxines. Les chercheurs de l’Institute of Medical Science et de l’université nationale de Jeju (Corée du Sud) ont analysé les composants de feuilles et de jeunes pousses d’asperges. Ils ont comparé leurs effets biochimiques sur les cellules du foie chez l’humain et chez le rat. Cette étude date un peu, elle a été publiée 2009, mais comme le rappelle Popsci «c’est quand même un truc important à savoir!» Et sinon, pendant le réveillon, que vaut-il mieux boire?
Bière allemande: il n'y a pas que l'Oktoberfest! L’Oktoberfest, la célèbre fête de la bière allemande, s’est achevée lundi 3 octobre à Munich, avec ses inévitables hordes de touristes avalant des litres de bière à 9 €, qu’ils «épongent» tant bien que mal en engloutissant des bretzels énormes, des chapelets de saucisses blanches et toutes sortes de viandes rôties, le tout servi par des Bavarois à dirndl et culottes de cuir.
Ailleurs dans le monde, des bars tentent de profiter de l’aubaine en proposant à leurs clients des produits estampillés Oktoberfest ou de sombres ersatz. Il faut dire que les grandes brasseries industrielles les y encouragent en leur fournissant quantité de matériel décoratif, histoire d’associer leurs produits insipides à une tradition brassicole vieille de plusieurs siècles. Bref, l’Oktoberfest est une mauvaise chose pour la bonne bière. Pourquoi buvons-nous des mojitos? Alors que dans d'autres contrées le mojito est apprécié, en France il est tout simplement indissociable du mot «cocktail».
Le mojito est même le cocktail préféré des Français selon une étude de l'institut Nielsen publiée le 18 février 2013. L'enquête réalisée auprès de plus de 2.500 établissements et 1.000 personnes âgées de 18 ans à 60 ans souligne qu'elle est choisie par près d'un tiers des consommateurs (28%), un score équivalent au kir.