Accueil - Festival Effractions - Bpi. A Sevran, un jardin maraîcher pour allier deux « besoins essentiels » : se nourrir et travailler. Par un matin frais de décembre, à l’heure où la terre givrée crisse encore sous les pas, Samuel bêche et griffe le sol, tandis qu’Angelica s’occupe du monticule de compost et qu’Erdinc surveille les plants de mâche sous serre.
A Sevran (Seine-Saint-Denis), à quelques minutes de la gare de RER, entre le stade Jean-Guimier et le quartier du Pont-Blanc, le jardin Aurore est un lieu à part : ici, on produit soixante-dix variétés de légumes bio sur un peu plus de 1,2 hectare. Pas de professionnels du maraîchage, les dix-huit salariés sont en insertion, en contrat aidé sur plusieurs mois, le temps de remettre le pied à l’étrier et de bénéficier d’un accompagnement social. Valérie Eboronzine et Hafça Chokri s’activent pour préparer les paniers de légumes : cette semaine, choux romanescos, pommes de terre, betteraves, oseille et courges viennent garnir les sacs en toile de jute, dont réchappent de généreuses feuilles de fenouil d’un vert éclatant. Extra! - Le festival de la littérature vivante. Comme toute crise profonde, la pandémie du coronavirus n’a fait qu’accentuer cet état de fait : tandis que la chute des ventes de livres se faisait durement ressentir par la fermeture des librairies, en retour de nombreuses initiatives se sont multipliées, notamment du côté du web et des réseaux sociaux, attestant combien la vie littéraire ne tient pas seulement au nombre de ses publications, mais bien à la vivacité du tissu humain qu’elle ne cesse d’entrelacer : lectures en direct, lettres radiophoniques, ateliers d’écritures, sans compter tous ceux qui ont retrouvé le chemin de l’écriture pour relater ou approfondir ce moment de confinement.
Face à la covid-19, la poésie a effectué une véritable « remontada », manifestant une présence humaine qu’elle a économiquement perdue dans le champ éditorial. Ampersand. Assez vivant - mariedequatrebarbes. Assez vivant est une installation éphémère, destinée à vivre quelques heures, activée en boucle le temps d’un récit-poème par l’artiste Catherine Beaugrand et l’auteure Marie de Quatrebarbes.
Assez vivant prend la forme d’une installation déposée sur un espace scénique. L’espace est ici moins pensé comme un espace immersif dans lequel le spectateur évolue qu’une scène autour de laquelle il peut déambuler. Il n’est pas captif, il peut entrer, sortir, circuler librement autour de l’installation sur le plateau. C’est l’espace de l’atelier-boutique ouvert aux passants. Festival international des arts & des écritures contemporaines. Le Bureau des Idées / Festival (Re)faire société : mode d'emploi - lycées - VILLA-VOICE. Air.laclasse.com. Avec Rubin Steiner et Nicolas Martel - Villa Gillet - Les idées sous couvre-feu. Tiers-Lieux, acteurs de la réinsertion professionnelle - France Tiers Lieux. Mieux faire connaître l’action des tiers-lieux en matière d’emploi pour plus de soutien de l’administration publique.
C’était l’objectif de la table ronde organisée par la DGEFP et France Tiers-Lieux, qui s’est tenue en ligne le 25 novembre. Quatre acteurs des tiers-lieux ont pu partager leurs expériences en la matière et tous se sont retrouvés autour d’un constat : la nécessité de travailler le maillage territorial et les relations aux collectivités et acteurs publics locaux en amont de toute action. Lucile Aigron, de La Coopérative des Tiers-Lieux (Nouvelle-Aquitaine), en a témoigné : “nous avons travaillé pendant 10 ans pour faire exister les tiers-lieux qui proposent des approches alternatives. Forts de cette coopération territoriale, nous avons pu créer des partenariats dans le cadre de notre action d’insertion.” Organisme de formation, la Coopérative des Tiers-Lieux travaille auprès d’un public en transition professionnelle comme personnelle. La Formation Professionnelle - Campus des Tiers-Lieux. L'Hermitage - L'Hermitage, semons les champs des possibles.
Appel à Candidatures Incubateur Tiers Lieux prolongations. Neil gershenfeld - Recherche Google.