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Psychologie sociale

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Théories systémiques. Dissonance cognitive. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Dissonance cognitive

En psychologie sociale, la dissonance cognitive ou distortion cognitive au Québec[1] est la simultanéité de cognitions qui entraînent un inconfort mental en raison de leur caractère inconciliable ; ou l'expérience d'une contradiction entre une cognition et une action. Dans sa théorie de la dissonance cognitive, Leon Festinger étudie les stratégies de réduction de la tension psychologique induite et de maintien de leur cohérence personnelle, y compris des stratégies d'évitement des circonstances identifiées comme source de dissonance. Relations entre les cognitions[modifier | modifier le code] Trois sortes de relations sont possibles entre deux cognitions ou entre une cognition et un comportement[1] : Ampleur de la dissonance[modifier | modifier le code] Empathie. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Empathie

L'empathie (du grec ancien ἐν, dans, à l'intérieur et πάθoς, souffrance, ce qui est éprouvé) est une notion désignant la « compréhension » des sentiments et des émotions d'un autre individu, voire, dans un sens plus général, de ses états non-émotionnels, comme ses croyances (il est alors plus spécifiquement question d'« empathie cognitive »). En langage courant, ce phénomène est souvent rendu par l'expression « se mettre à la place de » l'autre. Cette compréhension se produit par un décentrement de la personne (ou de l'animal) et peut mener à des actions liées à la survie du sujet visé par l'empathie, indépendamment, et parfois même au détriment des intérêts du sujet ressentant l'empathie. Dans l'étude des relations interindividuelles, l'empathie est donc différente des notions de sympathie, de compassion, d'altruisme ou de contagion émotionnelle qui peuvent en découler.

Théories et théoriciens[modifier | modifier le code] Voir, par exemple : Expérience de Milgram. Graphique montrant que 65% des sujets de l'expérience infligent des souffrances maximales si on le leur ordonne Reconstitution de l'expérience de Milgram (extrait)[1].

Expérience de Milgram

L’expérimentateur (E) amène le sujet (S) à infliger des chocs électriques à un autre participant, l’apprenant (A), qui est en fait un acteur. La majorité des participants continuent à infliger les prétendus chocs jusqu'au maximum prévu (450 V) en dépit des plaintes de l'acteur. L’expérience de Milgram est une expérience de psychologie publiée en 1963 par le psychologue américain Stanley Milgram[2]. Cette expérience évalue le degré d'obéissance d'un individu devant une autorité qu'il juge légitime et permet d'analyser le processus de soumission à l'autorité, notamment quand elle induit des actions qui posent des problèmes de conscience au sujet.

Animation de groupes. Le collectif est fortement valorisé à l'heure actuelle.

Animation de groupes

Que ce soit pour travailler ou pour apprendre, il semble que l'on redécouvre tous les bénéficies du faire ensemble. Parfois jusqu'à l'aveuglement : faire ensemble ne va pas de soi, et éprouver les limites de cette modalité de production constitue en soi un excellent apprentissage. Comme en de nombreux domaines, le tourisme a beaucoup à nous enseigner sur la gestion de groupes. Les professionnels de ce secteur ont constaté que plus nous étions connectés aux groupes et sources d'information dans les nuages, plus nous aspirions à rencontrer de vrais gens pendant nos vacances.

De nouvelles formes de vacances sont en train de voir le jour, plus loin des groupes, plus près des individus. Le groupe trouve également sa place dans la formation à distance, qui s'appuie sur des outils de communication et de production en commun toujours plus ergonomiques et performants. L'animation de groupe se renouvelle sans cesse, quel que soit son cadre. Comment développer des compétences relationnelles et sociales. Comment développer des compétences relationnelles et sociales : Coopération, prévention des conflits Les « compétences psychosociales » sont, selon l’OMS (l’organisation mondiale de la santé) « l’aptitude à maintenir un état de bien être mental, en adoptant un comportement approprié et positif à l’occasion des relations entretenues avec les autres, avec sa propre culture et son environnement ».

Comment développer des compétences relationnelles et sociales

L’OMS a ainsi défini dix compétences susceptibles d’influer sur la promotion de la santé et de la prévention de la violence chez l’enfant et l’adolescent (chaque compétence se présente comme une combinaison de connaissances, d’aptitudes et d’attitudes). Les recherches réalisées ces dernières années montrent que le renforcement de ces savoir-faire et de ces savoir-être constitue la meilleure prévention contre la violence et les conduites addictives.