Capital de marque et Internet : les nouveaux enjeux de l'e-communication de l'insatisfaction des clients.
Syst & Management de l'info. NTIC. MS & gestion info. James R. Taylor. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
James Renwick (Jim) Taylor (1928 - ) est un universitaire canadien et un professeur émérite département de communication de l'Université de Montréal, qu'il a fondé avec Annie Méar et André H. Caron Ed.D au début des années 1970. Biographie[modifier | modifier le code] Partenariats inter-organisationnels et nouvelles formes de gouvernance : les conditions d'un compromis équilibré et pérenne. Pour faire face aux exigences accrues de flexibilité et d’adaptabilité liées à la mondialisation des échanges économiques, les entreprises contemporaines testent constamment de nouvelles formes d’organisation du travail et de mobilisation de la main-d’œuvre (Marchington et al., 2004 ; Cooke et al., 2004).
Des pratiques managériales diverses apparaissent pour répondre de façon innovante aux besoins de flexibilité et de sécurité exprimés tant par les employeurs que par les travailleurs. L’une des caractéristiques marquantes de ces pratiques émergentes est qu’elles s’établissent de plus en plus fréquemment au niveau inter-organisationnel, au sein de partenariats d’entreprises ou de partenariats mixtes (public/privé ; profit/non-profit, etc.), de territoires, de bassins d’emploi, etc. Réseaux sociaux et employés : quels impacts sur la réputation d’une entreprise ? - E-réputation et veille stratégique - blog Winello.
Alors que 56% des Français sont membres d’au moins un réseau social et que 84% des Français de moins de 40 ans les utilisent, l’entreprise ne doit pas négliger sa réputation sur le web.
Présents sur les réseaux sociaux, les employés contribuent à l’e-réputation de l’entreprise. Bien gérer cette dernière peut permettre à l’entreprise de prévenir les conflits, une crise ou encore d’avoir une meilleure visibilité. Les employés, les réseaux sociaux et l’entreprise. E-réputation : comment s’en emparer ? L’ e-réputation est devenue une étape primordiale à prendre en compte dans la stratégie d’une entreprise.
En effet, 3,2 milliards de personnes peuvent voir toute publication sur la toile en 2015, soit 45% de la population mondiale. Face au développement constant du Web, les informations circulent à une vitesse incroyable. Quelle influence des nouvelles technologies sur l’organisation du travail ? De l’influence des nouvelles technologies sur l’organisation du travail L’organisation du travail de bureau seul ou en équipe a peu évolué dans la forme.
Seulement à partir des années 1950/60, l’emploi régulier du téléphone, des machines à écrire, à calculer, puis plus tard du micro-ordinateur, ont bouleversé l’ambiance des lieux de travail. Fin des années 1970, l’arrivé du micro-ordinateur à bouleversé les habitudes avec une organisation artificielle et sur densifiée des espaces paysagers. Généralement très calme, recueilli pour certains, puisque dans le même esprit que les moines. Les lieux d’études et d’écritures ont changé radicalement cette quiétude dès l’arrivée des machines. Images org Gareth Morgan synthese GP ligne. Le Numérique, entre modélisation conceptuelle et approche critique. 1Dans l’approche que je propose depuis bientôt 20 ans, les Sic visent à penser l’informatique, les Tic et le numérique dans une tension entre une véritable modélisation conceptuelle et une approche qui reste fondamentalement critique.
Tension productive puisqu’elle permet de sortir de la seule posture critique, qui reste en quelque sorte en face de la technique, sans jamais s’y frotter et qu’elle permet tout aussi bien d’éviter la seule modélisation technique de la technique. 3Cela dit, cette approche modélisatrice, dès lors qu’elle s’inscrit en sciences sociales, doit être en quelque sorte compensée par une approche critique qui réintroduit les questions politiques et idéologiques. 4Bien évidemment il est tout à fait possible de réinjecter la logique critique dans une approche qui privilégie la modélisation : Mnémotechnologies propose ainsi une théorie générale des technologies intellectuelles (Hermès 2010) sans pour autant oublier de souligner leurs enjeux de pouvoir.
Au fondement du digital : Interactions humaines et actions sociales. 1Pour montrer comment le digital modifie nombre d’interactions humaines et instaure des changements dans les cognitions, affects et actions sociales, il convient de focaliser sur deux dimensions qui, bien que fondamentales, ne figurent pas dans le manifeste « SIC et DS » : la dimension humaine et le concept d’action humaine/sociale (humain et social étant pour nous inséparables). 2À la base de tout phénomène de communication impliquant le digital et quels que soient leurs projets, économique (e-commerce, publicité), organisationnel (web collaboratif), politique, groupal (réseaux sociaux), ludique (vidéo, jeux), éducationnel, artistique ... des sujets sociaux cherchent à interagir avec d’autres sujets sociaux, au sein de relations souvent préexistantes, dont ils ont plus ou moins conscience.
Social Business Design, le mariage réussi du Web 2.0 et de l’Entreprise 2.0. Voilà plus de 5 ans que l’on parle du Web 2.0 (« Le web en mode lecture/écriture« , « Le web comme une plateforme« ) et 3 ans que l’on parle de l’Entreprise 2.0 (« Les pratiques collaboratives et l’usage de plateformes sociales au sein d’une entreprises« ).
Ces deux sujets sont généralement abordés par des personnes différentes pour un public différent. Il est vrai que ces deux sujets sont très vastes, mais rares sont ceux qui ont réussi le très délicat exercice qui consiste à faire le pont entre les deux, c’est à dire à marier les dynamiques 2.0 internes et externes. Les premiers à avoir su formaliser cette vision unificatrice sont les équipes du Dachis Group avec la théorie du Social Business Design.
Cette approche consiste à repenser le marketing d’une marque et la collaboration au sein de ses équipes en s’appuyant sur les médias sociaux. Dans ce modèle, tous les acteurs externes et internes sont connectés et capables de contribuer. Mais bordel, c'est quoi la transition numérique ? Web2.0 et Medias Sociaux notes.