Éthylo...mogie : « Aux tempes pour moi ! » - Langue-fr.net. Ça a commencé en août 1999.
Et ça a repris, par épisodes : en septembre 1999, en juin 2000, en septembre de la même année, en février-mars 2001 (avec un développement parallèle garanti pédagol), en mai 2001, en mai 2002, en juillet-août 2002. Ce n’est jamais fini. Août 1999 : les délires commencent Dominique Didier (12.08.1999). — La véritable et seule authentique forme réelle avérée — certifiée Dauzat pur sucre et non allégée — est : aux tempes pour moi. Ce message essaye - tant bien que mal - de tenir compte de l’orthographe rectifiée (Journal officiel de la République française du 6/12/90).
Comprendre le haut potentiel. How Pluto's most spectacular image was made—and nearly lost. By the end of the day on 14 July, the stunning picture of Pluto above would become iconic—the most “liked” image ever on NASA’s Instagram account.
Even U.S. The World's Biggest Physics Experiment Is About to Reboot Journey to the Centre of the Earth. Comment a-t-on découvert le nombre Pi ? - Kezako ? Gaze In Wonder at the Best Astronomy Photographs of the Year. BURNING MAN 2014. Play tetris on a Tshirt. How Big Is The Brain? Here's Some Perspective.
SExpand Imagine your brain is the size of Earth.
How big would all of its constituent parts be? The brain-mapping folks at Eyewire teamed up with Visual.ly and FEI to host a Scale-Of-The-Brain infographic competition. With competition judges like Christopher Jobson (of Colossal), Maria Popova (of Brainpickings) and MIT neuroscientist and professional brain-mapper Sebastian Seung, entries neede to be not only visually appealing but scientifically accurate. The visualization below, designed by Chris Whittaker and Laura White of Ashfield Healthcare Communications, and Craig Armstrong of CreativeFusion – took first place, but some of the runners up are pretty impressive, too. While not wrong, this statistic annoys me. H/t Amy Robinson. VIDÉO : 13,8 milliards d’années d’évolution cosmique en 2 minutes. Une nouvelle simulation numérique permet de reproduire avec une précision inédite l’évolution de la matière et la formation des galaxies durant plus de 13 milliards d’années au sein d’un cube de 350 millions d’années-lumière de côté. © Illustris Collaboration/ Illustris Simulation/Le Monde Ne pouvant réaliser aucune expérience pratique avec des étoiles ou des galaxies, les astrophysiciens tentent d’expliquer leurs observations ou de conforter leurs hypothèses en créant des simulations numériques.
Tributaires de leur compréhension initiale des phénomènes physiques impliqués, des moyens mathématiques à leur disposition pour les modéliser et de la puissance de calcul des ordinateurs, les chercheurs peuvent profiter de l’amélioration constante de ce dernier point pour raffiner régulièrement les paramètres de leurs simulations et pour tenter d’approcher un peu plus la réalité. © Mark Vogelsberger et al. Sources.
Samedi-sciences (127) : planètes habitables en stock ! En passant au crible les données du télescope spatial Kepler, une équipe d’astronomes de la Nasa vient d’identifier une planète qui présente pas mal de traits communs avec la nôtre : éloignée de 500 années-lumière environ, elle est rocheuse, a presque la même taille que la Terre (son diamètres est à peine 10% plus long) et elle tourne autour de son étoile à une distance convenable pour permettre la présence d’eau liquide, donc potentiellement de formes vivantes.
Depuis la découverte de la première exoplanète en 1996, la nouvelle venue, Kepler-186f, est celle qui ressemble le plus à la Terre. Auparavant, on connaissait Kepler-20e, un peu plus petite que la Terre, mais située dans une région beaucoup trop chaude pour être habitable ; et Kepler-22b, beaucoup plus grosse que notre planète. Le télescope Kepler a passé en revue près de 150 000 étoiles de mars 2009 à mai 2013, et a identifié 961 planètes dans cet ensemble.
Google Drones Titan Aerospace. Mapsmall.jpg (Image JPEG, 1280x792 pixels) Replay. Comment travaillerons-nous demain. A l’heure où les robots et les algorithmes sont perçus de plus en plus souvent comme une dépossession, nous subtilisant notre pouvoir, notre travail, notre connaissance, nous avons certainement besoin d’entendre d’autres manières d’interagir avec eux. « Nous avons besoin de nous engager directement avec les machines », clame l’architecte Fabio Gramazio sur la scène de la conférence Lift, qui se tenait du 5 au 7 février 2014 à Genève.
Fabio Gramazio est architecte au cabinet Gramazio & Kohler. Il enseigne l’architecture et la fabrication numérique à l’École polytechnique fédérale de Zurich et au Future Cities Laboratories de Singapour… A priori, on peut avoir tendance à penser que l’architecture n’a rien à voir avec la robotisation ou la fabrication numérique, et pourtant, l’architecte va brillamment nous prouver le contraire… Travailler avec les robots La fabrication numérique a le potentiel de créer une différenciation à coût zéro, estime Gramazio. Tomb-Raider-Infographic.jpg (Image JPEG, 1000 × 6217 pixels)