Le numérique au secours du «petit commerce» « Il faut de l'innovation dans les boutiques, mais sur cette question-là on n'est pas très bon à Paris. Paris est une ville où les commerçants dorment.» Mathieu Lecussan vend du champagne rue de Lévis dans le XVIIe arrondissement, l'une des rues les plus commerçantes de la capitale. Ou, plutôt, il a une petite boutique pour présenter son champagne et il vend sur le Web. La Boîte à bulles a un pas-de-porte mais une bonne partie de son chiffre d'affaires se fait sur le Web. Mais ce n'est absolument pas le cas de ses voisins. « Le premier problème des commerçants de la rue, c'est le loyer, explique-t-il : 40 m2 avec une petite vitrine de 2,5 mètres c'est 3300 euros. Avec de tels loyers d'un côté, l'e-commerce de l'autre et la crise économique au milieu, ils sont obligés d'être dans le bon plan permanent, dans la promo en continu.» À quelques mètres de La Boîte à bulles, deux boutiques ont changé ces dernières semaines.
Un besion de proximité et d'authenticité L'enjeu ? « Toulouse veut devenir une ville intelligente globale » (Jean-Luc Moudenc) La Tribune. Il n'y a pas de définition unique de la ville intelligente. Quelle serait-elle, selon vous ? Jean-Luc Mondenc. C'est une ville plus facile à vivre, plus collaborative et moins chère. Une ville qui prend le parti des technologies les plus performantes pour faciliter la vie des citoyens et rendre l'action publique plus efficace.
La ville de Toulouse est-elle engagée dans une démarche smart city ? Il y a des initiatives, mais elles sont ponctuelles. Toulouse est-elle en retard par rapport à des villes comme Paris ou Lyon ? Je n'ai pas fait de benchmarking pour savoir si nous étions en avance ou en retard. Quels sont les atouts de Toulouse ? Une quarantaine de projets innovants publicprivé sont menés avec des start-up, des TPE-PME et des grands groupes. Quel est le plan d'action ?
Quels sont les besoins des Toulousains ? Y aura-t-il des résistances au sein de l'administration ? Oui, je pense qu'il peut y en avoir. La smart city repose sur de nouveaux modes de gouvernance. Hautes-Alpes : une grande campagne pour promouvoir le commerce de proximité. Face à l’achat en ligne, la fédération départementale des associations de commerçants et d’artisans des Hautes-Alpes a choisi de frapper fort à travers une campagne de dix mois intitulée « La proximité, c’est un choix ». « Une campagne dynamique, médiatique, qui implique le consommateur, qui valorise votre professionnalisme, qui se décline en fonction de votre métier, de vos actions et de votre territoire », précise Christian Breton, vice-trésorier de la fédération. Pascal Serres a dévoilé la campagne de communication élaborée par Piment rouge. La campagne reprend dix commandements. Le premier visuel, générique, adresse le message suivant : « Protégeons notre économie. Achetons local. Et vous, que faites-vous ?
». La campagne, d’un montant de 40.000€, a été financée par les deux chambres consulaires, le conseil général, Adrea et la Banque populaire. « 91% des internautes repèrent en ligne et achètent en magasin » « Certains prennent le train, d’autres restent sur le quai » Le Réveil Digital du Commerce de Proximité. L'équipe @LesDIGITAILS vous présente la E-Transformation du Commerce de Proximité. ...
L'équipe @LesDIGITAILS vous présente la E-Transformation du Commerce de Proximité. Le commerce de proximité est-il condamné à disparaître ? En quoi le digital impact le commerce de proximité, en quoi il le transforme déjà et en quoi il va le transformer ? C'est ce que @LesDIGITAILS va tenter d'élucider dans cette présentation. SOMMAIRE 1. Définition du périmètre d'étude du commerce de proximité 2. Évolution historique du commerce de proximité 3.
L'équipe @LesDIGITAILS - Stephany GOCHUICO : @stephgo77 - Véronique LIORET : @veroniquelioret - Benoit BOUTRY : @benoitboutry - Jérôme D. Barom%C3%A8tre-2014-Mappy_BVA-Etude-Web-to-Store2.pdf. Commerçants : Réagissez ! [Infographie] | Mappy. Toujours dans le cadre du second baromètre sur le Web-to-Store, nous avons pu observer l’évolution du décalage entre la perception des commerçants et les attentes des consommateurs face au digital. Assiste t-on à une prise de conscience des commerçants de proximité ? Internet capte t-il toute la croissance du commerce ? Augmentation moindre VS 2013 mais les achats en ligne continuent de progresser avec une croissance de 13,5% en 2013. Les achats en commerce de proximité ont cependant une croissance nettement plus faible : +4.7% seulement cette année. Le digital dans la communication des commerçants Le digital a une part non négligeable dans la communication des commerçants puisque 71% des commerçants communiquent en ligne.
Les usages des consommateurs en avance sur la perception des commerçants 91% des consommateurs qui achètent en points de vente, ont recherché en ligne avant. Et l’avenir ? L’intérêt du Web-to-Store chez les consommateurs se confirme. Web-to-Store : Un acheteur connecté [Infographie] | Mappy. Pour la seconde année consécutive, nous avons réitéré notre étude sur le Web-to-Store en partenariat avec l’institut BVA, dans le but d’observer l’évolution du parcours des consommateurs et la perception qu’en ont les commerçants de proximité. Qu’observe t-on ? Le comportement multi-canal se confirme dans les parcours d’achats des consommateurs : 91% des consommateurs VS 78% en 2013 recherchent des informations en ligne avant de se rendre en point de vente – ROPO (Research Online Purchase Offline).97% des acheteurs réalisent l’intégralité de leur parcours d’achat sur Internet (contre 88% l’an dernier) – Full Web.69% des acheteurs recherchent puis achètent en point de vente.
Ils étaient 63% en 2013 – Full Store.44% des consommateurs VS 41% en 2013 font leurs recherches en point de vente puis achètent en ligne – Showrooming. Néanmoins, le consommateur n’hésite pas à être opportuniste si le produit qu’il cherche n’est pas disponible dans le point de vente choisi.